Syliur était d'humeur nostalgique aujourd'hui. Il n'avait plus de mission depuis la semaine dernière, et il se promenait dans des endroits qui éveillaient une certaine inspiration ce lac était beau et d'une profondeur inconnue, du moins c'est ce qu'il pensait. À ses yeux il symbolisait tout simplement cet indescriptible chose qu'est l'infini. Le temps semblait présager un orage, il ne se mit pas à l'abri, au lieu de cela il attendait que la pluie ,qu'elle soit violente ou moindre, s'abatte sur lui et ce lac cassant des dizaines de milliards de fois le l'onde paisible de ce magnifique lieu. Il sortit une flûte de sa poche, une belle flute et songea, cela faisait quelques temps qu'il l'avait trouvée chez ses parents. Cétait la dernière fois qu'il était venue y chercher de l'argent, pour le nouveau coutelas qu'il cache précieusement dans la protection de son bras droit, un deuxième se trouve attaché à un mini ceinture, sur son mollet gauche. Il songeait à cette flûte d'un bois sombre qui ne laisse aucun doute sur l'endroit ou elle fabriqué. La cité mystique de sa jeunesse cache encore bien des secrets qu'il finira surement par mettre à jour. Ne se rappelant plus le nom de cette flûte qui se joue de biais, il réfléchit ,ses pensée affluait mais jamais dans le bonne ordre, après deux ou trois minutes il trouvât :une flûte transversale, vu la façon dont elle se joue, ce n'était pas très compliqué, mais à cause de l'extraordinaire quantité de dialectes de toute sorte que contenait son cerveau, il avait du sacrifier quelque mots de vocabulaire de sa langue maternelle. Lorsqu'enfin il se mit à jouer un son mélodieux, il ne perd quasiment jamais la main, la pluie avait depuis quelque temps commencé à s'acharner. L'eau tombant de hauteurs inconnues voir infinies sous forme de gouttes pour tomber , le plus souvent dans des profondeurs infinies
soupir*Quel si beau élément, l'eau source de vie, de survie et de joie*, pensait-il tout en laissant les goutte tomber sur son visage.
Et dans cette élan de nostalgie mêlée à une pincée de science ainsi qu'à une grande quantité de mélancolie, il se remit à jouer.
Jeune, il était charrié pour ses pensée nostalgique pour ses camarade d'autrefois et pour toutes les autres créatures de ce monde naître drow signifiait forcément que l'on deviendrait foncièrement cruel avec tout ce qui nous entoure, ce qui à l'origine n'est pas faux mais, sa peau blanche, ses yeux noir et ses pensée "différentes" montre soit une malformation car chaque membre de ma famille est un drow et que si, ne serait ce que l'un d'entre eux, aurait trompé son mari, ou sa femme, pour un elfe ou une fée normale, en plus de s'auto couvrir de honte, il se serait suicidé, et tous ,malheureusement, sont bien vivant. Syiur lui, préférerait la deuxième solution, du moins il espère que c'est cela mais il en doute: ce serait la fin d'une malédiction, et bientôt toute personne dîtes drow serait une personne ayant eu de lointain parent avec la peau noire et les yeux rouge, quelque bribes de caractère resteront, c'est difficile de perdre des habitudes.
De sa main il traça dans la terre ces mots:
Onde perturbée de milles éclats
Frisson de la peau au contacte de la fraicheur
Pluie
Puis il se leva et alla lavé sa main dans le Lac, une fois revenue à sa place originel, le poème n'y était plus, il soupira à nouveau
Il traçait souvent ce genre de petit poème éphémère sans vers ni forme apparente, mais si beau à son oreille.
Il inspira encore et se remit à jouer improvisant ne fonction de l'arrivée désordonnée de ses pensées.
Un bel air ôtant, à tous personne se donnant la peine d'écouter, la capacité de réfléchir tellement cela est beau[i]