Message de Kaliyah


Le vent c'était enfin lever, une brise emportait ma chevelure dans cette air qui dansait autour de moi. Je fus soulagée de ne plus mourir dans cette chaleur invivable. Pourtant, je portais des habit léger comme l'habitude mais j'ignorais pourquoi le temps d'aujourd'hui était chaud. Je continuais ma longue route derechef en attente d'une autre brise mais en vain. Mes jambes de suivait plus la cadence, j'avais peur de m'écrouler sur la terre sèche puis que j'agonise dans ce feu brûlant. Mais comme d'habitude je trouvais toujours les plus pires scénario possible. J'étais rendu près d'un petit commerce sur le boulevard principale, les nains se semblait pas remarquer ma présence mais moi, je ressentais leurs pas léger sur le sol fragile. Le commerce en question était réputée pour y vendre des minerais particulier des mines voisine. J'y venais parfois pour y acheter ce qui captaient mon regard. Au delà de de commerce, il y avait des boutiques différente et festive. Je pouvais y entendre les nains rirent au éclat un verre à la main. Je voulu suivre ces rires par pure curiosité.

Je fus plongée dans une ruelle étroite où l'odeur me donna des frissons. Mes pas étaient tremblant, j'eu peur qu'on m'attaque dans les secondes qui suivent. Vers la gauche, je remarquais des nains avec de longue barbe avec des pichets de bière entre les mains. Probablement un Pub ou Kawaii taverne du coin. Regardant l'action qui se déroulait sois mes yeux, je remarquais une silhouette qui avançait vers moi. Cette ombre était beaucoup plus grande que celle d'un nain. Probablement un homme ou une autre espèces qui vivaient en ces contrés. Je tournais ma tête en sa direction, l'allure qu'il avait était celle d'un homme. Je ne me préoccupais pas uniquement de ses traits physique mais je pouvais distinguer que c'était un homme d'un certain âge et très séduisant. D'une grandeur imposante avec des cheveux clairs, je fis de plus en plus intriguer par lui. Soudain, lorsqu'il fut à quelques pas de moi, je regardais son visage à la peau douce. Puis ses lèvres de mit à bouger de haut en bas mais aucun son ne parvenait à mon oreille. Probablement qu'il ne me parlait pas mais j'en doutais car il me regardait avec ses yeux brillant. Les seules mots qui me venait à la tête en regardant les mouvements qu'il prononçait. «Endroit» et «Bière». Je fus gêner de lui redemander de répéter alors je compris qu'il me demandais un chemin. Alors je reculais d'un pas avant de prononcer nerveusement:

— Oui.

Message de Kaliyah


Mon avant-bras était accroché à celui de l’homme du nom de Siwan Flaurot. Lorsqu’il s’était présenté, je fus surprise car il fallait que moi aussi je lui révèle mon nom. Ouvrant la bouche pour lui communiquer, j’eu un petit pincement au cœur. Je n'avais pas parler à quelqu'un depuis si longtemps et j'espérais que ceci ne paraissais pas dans mes expressions faciales.  

-Très heureuse, dis-je en m’inclinant vers lui les jambes tremblante. Je me nome... Ka.. Kaliyah, pardonner moi de cette hésitation. (Je fis une grimace nerveuse.) Vous avez bien dit que nous allions dans une taverne?

Je crus sur le moment hésiter de le suivre mais j’avais, sans le vouloir, accepté son offre. Il était donc normal que je le suive vers ce lui inconnu pour moi. Je n’étais pas une partisante de la bière, d’en boire était très rare. Parfois chez Harold (grand-père), qui buvait fréquemment cette eau de vie, il me fessait gouter mais j’en aimais pas particulièrement le gout. Mais pour cette fois, je vais me forcer à prendre un verre ou plus.  

Je me contentais de suivre mon hôte vers cette taverne tout en lui souriant apeurer de ce qui allait suivre.

Message de Kaliyah


Une fois entré dans la taverne, nous prenons place à une table entourer de petits hommes. Bien confortable sur la chaise de bois, je regardais au dessus de mon épaules les nains qui discutaient entre eux. Leurs ton de voix étaient au dessus de la normal ce qui me donna quelque peu des maux de tête. Les mouvements autour de moi captait mon attention même que j'en oubliais celui qui m'avait inviter. Jusqu'au moment où il passa sa commande. Derechef, j'hésitais de prendre une bière mais je ne voulais pas insulter quiconque ici avec un verre d'eau. Alors je pris une bière dans un grand pichet de bois.

— Un autre garçon! cria un vieux nain derrière moi. Ce dernier avait propulser son verre contre le bois de sa table. La vulgarité qu'il vaut employer m'avait fait sursauter. Celui qui servait les boissons refusa sa demande, probablement qu'il était un habituer de la place qui prenait souvent un coup. Enfin bref, je ne me préoccupais plus de lui longtemps. Je me concentra plutôt sur la conversation que me fessait Siwan Flaurot. Il me racontait sa vie, d'où il venait et du métier qu'il exerçait et plus encore. J'étais fasciner par sa façon de parler et son gestuel. Je secouais la tête de haut en bas en le regardant droit dans les yeux.

— Fascinant...

Je sursautais subitement, j'avais parler à voix haute. Comme l'habitude, de garder cela à l'intérieur était trop difficile. J'espérais qu'il pense que je croyais sa vie fascisante et non comme je le pensais: lui qui était fascinant.

Message de Kaliyah


Quand je l'entendis parler des terres démoniaque je fus troubler. Je ne voulais pas lui faire par de mon côté démon mais je sentais qu'il allait s'en apercevoir d'ici peu. Je me contentais de répondre à ça question.

— Je voyage pour la famille uniquement ou pour faire des provisions. Ce qui ma amener dans les mines naines étaient un pur hasard. (Je lui fis un doux sourire.) Sinon, vous n'aimez pas la cité démoniaque?

Je fus prise d'un instinct curieux pour le moment. Ce n'étais pas dans mes habitudes mais j'allais faire une exception avec cette homme.

Message de Kaliyah


Mes yeux avaient probablement révéler la peur qui grandissait de l'intérieur. Je ne pouvais pas lui parler de ma terre native, sa réaction sûrement être la pire. Il fallait me trouver une tentative de lui mentir même si ce n'était pas dans mes habitudes.

- Um.. La cité démoniaque? Et bien .. je ne l'ai jamais visiter ou pas à ma connaissance. Je qui rarement la terre des Hommes. Il est fort probable que mon carnet de voyage n'est pas aussi impressionnant que le votre chère monsieur et je suis très heureuse comme cela.

Je me sentis soudainement très mal alaise, je ne voulais pas lui paraître grossière ou encore méchante mais aborder un sujet qui correspond à mes origines attisait ma rage.

- Pardonner moi si j'ai paru arrogante, j'ai passé une très mauvaise journée..

«Un mensonge de plus, je m'améliore dans ce domaine, pensais-je.» Je voulu lui dire la vérité sur le coup mais je me contentais de boire ma bière devant moi. Le goût fort et sucré me rafraichissait. De plus, je me créa avec le col, une moustache au dessus de ma lèvre inférieure..

Message de Kaliyah


Son présent fut de toute beauté, lorsqu'il me le donna je sentis un pincement au cœur. Jamais personne ne m'aurait fait cela. Mais je ne pouvais l'accepter, je ne méritais pas que l'on m'offre des cadeaux.

— Merci beaucoup, .. Mais je dois le refuser, je ne mérite point que l'on me donne des présent.

Une partie de moi le regrettais bien évidement, la beauté de cette broche était du jamais vue. Mais c'était mieux ainsi.

-Pourquoi donc ? Vous êtes charmante et vous avez accepté de me suivre et de m'écouter, c'est déjà beaucoup. Si vous ne voulez pas ceci peut-être pourrais-je vous offrir autre chose ?

Siwan était surprit de la réaction de la jeune femme. C'était la première fois qu'une femme refusait un de ces cadeaux. En plus de ça c'était un cadeau de peu de valeur. Il n'avait jamais rencontré de femme aussi timide, c'était un vrai défi. Cette journée devait être une journée de repos, Siwan aurait préféré trouver une femme pus simple et plus ouverte pour discuter, il aurait moins besoin de se prendre la tête.

- Est-ce qu'une promenade vous plairais plus ?

La demoiselle était bien énigmatique. Siwan se demandais comment faire pour la mettre à l'aise, il avais déjà beaucoup parlé pour très peu de résultat. Le cadeau n'avait pas du tout marché. Alors que faire ? Peut-être que la taverne avec tout ces nains qui parlent font n'aide pas à la rassurer. Le calme lui sierra peut-être plus. Une balade au clair de lune lui aurait sans doute plu, mais à l'intérieur de la montagne c'était impossible.