Livraison en duo [pv :Elyndrael]

Après que le magicien Dédaléos m'est téléporté à la frontière de la forêt elfique, avec le même sort magique étrange, je décidais de rentrer dans mon pays. J'avais un magnifique livre dans les mains, un livre très précieux et aucune poche pour le ranger. Aucun sac non plus. Et même aucune maison. C'était la première fois depuis des années que je possédais un bien.
Et j'avais même pas de sac pour le ranger, même pas l'argent pour acheter un sac. J'étais condamné à le garder à la main pour le moment.
Je traversais toute la forêt, en passant par toutes les villes, mais sans trouver un boulot suffisamment rentable pour me payer un sac. C'est que je déclinais la plupart des emplois que l'on me proposais car il proposait de rester sur place longtemps et je ne voulais pas me sédentariser, pas pour les petits boulots. Je réussi à gagner un peu d'argent, mais à peine de quoi survivre. Je n'avais presque pas d'argent sur moi quand j'arrivais à la capitale.
C'était ici que j'avais le plus de chance de trouver un emploi. Je passais plusieurs jours à faire le tour de toutes les guildes et de tous mes contacts. Le quatrième jour, je reçue un message me disant qu'un fabricant de textile du nom de Numil Tyl'moran, cherchait un livreur pour distribuer une cargaison jusque chez les humains.
Une fois sur place, je rencontrais un elfe dont les manières ne me plaisaient gère. Il était très directif, le genre petit chef qui a toujours son avis sur tout et qui sait ce qu'il veut sans prendre en compte l'avis des autres. Il avait décidé d'avance que je devrais faire le boulot avec une autre personne. J'étais loin d'être enchanté. Surtout parce que l'elfe avait l'air de savoir déjà qui il voulait d'autre. Et j'imaginais déjà devoir passer des jours avec le même genre de personne mal élevé que j'avais face à moi.
Pour autant, je ne refusais pas le boulot, il était bien payé.

J'étais là, avec Numil Tyl'moran, dans le bureau attenant à sa fabrique de textile, attendant l'autre personne, en me demandant si la marchandise à livrer serait lourde. Il ne me l'avait toujours pas montrer. J'étais debout et légèrement impatient, toujours avec mon livre à la main. L'employeur avait cessé un moment de s'intéresser à moi et parlait avec ses ouvriers, l'un d'eux semblait avoir un problème technique.

[hors rp : Et voilà ! J'espère que ça te plait, sinon dis-moi si tu veux que je changes quelque chose :) ]

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C'est....loin, mais le trajet est plutôt agréable une fois la frontière passait, et puis j'étais heureuse d'aller chez les elfes, la réputation de mon établissement était arrivé jusqu'à eux et leurs gouts vestimentaires n'étant pas à revoir, c'était donc un honneur pour moi que de me rendre dans leur capital. J'avais été émerveillée durant tous le trajet de la frontière à la capital,juste à partir de la frontière parce que ce qui avait avant était...Terne, vraiment il n'y avait rien de magique ou de particulier, alors qu'une fois sur le territoire elfique, c'était comme changer de monde, être sur une autre planète. Enfin, le voyage s'était très bien passé, je ne m'était pas faite attaquer par qui que ce soit, ce qui en soit était parfait vue que j'étais seul, j'avais fait le voyage de la capitale humaine jusque chez les elfes seul, montée en amazone sur mon cheval, bien entendu je ne ferais pas le trajet retour seul, je serais accompagné.

Le long trajet m'avais permit de réfléchir à ma situation, personne ne savait que des personnes torturés se trouvait sous mon magasin, tous ignorait que j'étais à l'origine de la mort de ma famille et que chaque soir j'éventrais quelqu'un pour étudier en détail l'anatomie humaine et les réaction chimique à certain produit. La renommée grandissante de mon établissement mettait en danger mes activités interdites, ça mettait aussi ma vie en danger, je serais mise à mort si cela venait à se savoir. Ma carrière était importante pour moi mais voir ces personne souffrir, c'était si bon, qui aurait pu croire que sous une apparence si fragile, un démon se cachait, enfin il s'était surement trompé de corps. Une fois arrivée à la capital j'avais cessé d'y penser, la beauté de cet endroit était bien trop magnifique pour que je laisse mon esprit dériver sur des penser sanglante.

Je trouva assez rapidement, j'avais rendez-vous avec un elfe au gout exquis, Numil Tyl'moran si je ne me trompais pas, je laissa donc mon cheval dans une écurie et allât à pied dans son établissement, un accord avait été passer entre lui et moi, son textile contre mes créations, un contrat qui nous rapporterait gros à tous les deux. Je trouva rapidement son établissement et demanda à ce qu'on m’amène voir Numil je fus donc escorté jusqu'à son bureau et fit une légère révérence de manière gracieuse.

-Bien le bonjour à vous messieurs.

Ma voix était joyeuse et un sourire ornait mon visage, ma tenu était simple, ma robe favorite, bleu foncé au armature argenté, mes cheveux tressés sur mon épaule. Je m'avança avec légèreté dans la pièce, mes pas de résonnant pas dans la pièce malgré mes talons j'observais chaque elfe présent, tous aussi beau les un que les autres bien que l'un d'eux se démarquait des autres, il serrait contre lui un livre et je vins à me demander si c'était lui qui allait me raccompagner chez les humains.

Ce fut la surprise lorsqu'une humaine entra dans le bureau. Je ne m'attendais pas à en voir une ici. Je me demandais pourquoi elle était ici. J'attendis que Numil Tyl'moran et son employé la salut avant d'en faire autant, après tout, elle était certainement venue pour voir Numil.
- Bonjour, Madame.

Je me poussais dans un coin de la pièce pour laisser Numil et l'humaine discuter entre eux. Ils avaient l'air de devoir se parler, car Numil, en la voyant arriver avait dit à son employé de retourner au travail. Ils allaient probablement se mettre à parler affaire. La politesse voulait que je me tienne à l'écart de cette discussion. Je m'apprêtais donc à quitter discrètement la pièce. En voyant cela le maître tisserand m'interpella :
- Ne partez pas, Sieur Saël. L'on va avoir besoin de vous.

J'inclinais la tête, pour signifier que j'avais compris, et je restais là. Je me demandais bien pourquoi Numil et cette humaine aurait besoin de moi. Je les écoutais pour savoir.

[désolé, j'espère que c'est pas trop court, J'me rattraperai au prochain rp, promis ^^]

Couturopoulpe Nombre de messages : 63

Lorsque Numil me salua je reporta mon attention sur lui, après tous, c'était avec lui que je faisais affaire, il avait renvoyé au travail ses ouvriers, seul un elfe semblait essayer de se faire tous petit, ah bin celui avec les livres tien. Seulement essayer de partir discrètement n'était pas ce qu'il devait faire puisque mon collaborateur lui demanda de rester, j'avais donc raison, c'est lui qui allait m'accompagner, je le parierais. Enfin bref, je parla donc avec Numil, nous parlions tranquillement, d'abord de la concurrence, des prix du marché par rapport à la qualité du tissu ou encore de la manière des coupes de chaque vêtement et de ce que réclamait la clientèle. Notre collaboration devait être parfaite, chacun aller y gagner dans cette collaboration, moi, la qualité du tissu et lui, des vêtement élégant, raffiné et unique.

Puis nous en venions enfin au vif du sujet, je releva ma robe jusqu'au haut de ma cuisse, dévoilant une petite sacoche de laquelle je sorti un crayon et un petit carnet avant de refaire tomber ma robe sur mes jambes. Je ne fis pas attention aux regards qui s'étaient posés sur moi à ce moment là et montra les croquis des robes que je lui ferais livrer quelques semaines après que je sois rentré. Chaque modèle était élégant en tapant dans l'originalité, nous visions tous deux la haute société, j'avais déjà la coure du roi humain dans la poche, mais avoir celle des elfes, c'était une toute autre affaire, un défi excitant et il fallait être à la hauteur. Numil approuva donc les croquis et me renseigna sur les préférences elfique, je nota chaque détail sur le petit carnet et souriant à mon interlocuteur, je leva de nouveau ma robe pour remettre mes affaires dans ma sacoche.

-Bien nous sommes donc d'accord...je suis ravis de notre association....alors qui avait vous choisis pour me raccompagner avec la marchandise....plus vite je rentrerais plus rapidement je pourrais m'atteler personnellement à ces créations.

Numil et l'humaine parlèrent pendant un bon moment. J'étais un peu gêné d'écouter des négociations qui ne semblaient pas ne concerner. J'entendis des banalités, mais aussi du jargon technique que je ne comprenais pas. À un moment, L'humaine releva sa robe pour prendre une sacoche cachée. J'étais gêné, je levais les yeux innocemment. C'était une bonne cachette, certes, mais ça restait inélégant. Le carnet qu'elle sorti devait être très précieux pour elle pour qu'elle le cache ainsi. Et c'était étonnant qu'elle ne fasse pas de manière et nous montre sa cachette.

Il fallut attendre quasiment la fin de la discussion pour que je sache enfin pourquoi ils avaient besoin de moi.
L'humaine demanda au tisserand qui allait la raccompagnée. Ce dernier ce tourna alors vers moi.
- Voici Saël, je viens de l'engager pour cette mission.

Ah ben ! J'aurai aimé le savoir plus tôt. Drôle de façon d'expliquer les choses. Vive la politesse. Enfin, faisons contre mauvaise fortune bon cœur. D'autant plus qu'il y avait une bonne nouvelle dans tout ça : J'allais faire la livraison avec une belle femme polie et courtoise.
Je souris à la dame.
- Enchanté de travailler avec vous. Je me nomme Saël Dalitavor Gal'Elveré, pour vous servir.

J'attendais sa réponse avant de demander :
- Quelle quantité aurons nous à transporter ?

J'espérais qu'on aurait un chariot. J'avais pas envie de porter tout ça sur mon dos. Si j'avais été seul à faire la livraison, peut-être que j'aurai tout porté sur mon dos, ça m'aurai permet d'aller plus vite. Seul j'aurais été énormément plus rapide. Là, j'allais devoir adapter ma vitesse à celle de l'humaine ou à celle du cheval qui tirerait le chariot. Ce serait un voyage 3 fois plus long.

On finit par quitter le bureau de Numil pour se rendre dans un coin de l'atelier. La quantité de tissu à transporter était énorme. Il y avait là assez de tissu pour remplir un magasin de province. Le tout était plié et rangé en ballots protégés et entourés d'un papier souple et résistant.
En premier lieu, il faudrait sortir la marchandise et la chargé dans un chariot. Il y en avait-il un de déjà préparé ?
Mais avant peut-être de l'humaine voudrait inspecter la marchandise.

[hors rp : j'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre roll

]

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Je regarda Numil, curieuse, il fit signe à l'elfe qui tenait un livre entre ses mains, ce dernier ce nommé Sael et c'était lui qui m'accompagnerait, bien, il ne semblait pas ravit, enfin surtout étonné. Je le regarda et lui adressa un sourire radieux, je m'inclina respectueusement en le regardant.

-Je suis Elyndrael Darkraven, enchanter de te rencontrer, j’espère que nous nous entendrons vue le temps de voyage.

J'écoutai ensuite sa question en souriant, je fis signe à l'elfe de me suivre, nous traversâmes l'atelier pour nous rendre là où mon nouvelle associer avait entre poser la marchandise. Je montra donc les paquet et rouleau de tissu à mon compagnon de route.

-Voilà notre cargaison Sir Sael, il n'y a plus qu'a la charger dans le chariot et nous pourrons partir en direction de la capital humaine. Mais avant cela....

J'ouvris doucement un paquet et regarda à l’intérieur délicatement avant de le refermer et de faire la même chose avec les autre paquet, inspectant minutieusement la marchandise, je voulais que tous soit parfait. Une fois que j'en fus certaine, je fis signe à plusieurs elfe et ils vinrent pour charger le chariot. Je me retourna vers les deux elfes en souriant.

-Bien, toute est parfait, nous partirons une fois le chariot près, je vous remercie Numil, je vous enverrais les création des qu'elles seront prête, nous irons loin dans cette collaboration....quand a vous Sir Sael, j'espère que vous êtes près pour un long voyage, si il vous manque quelque chose pour le trajet dites le moi dès maintenant, nous irons l'acheter avant de quitter la ville.

Je regarda ensuite les elfes qui mes firent signe que toute était près, je salua donc Numil et fit signe à Sael de me suivre. Je m'installa sur le chariot et pris les reines en des chevaux en souriant a l'elfe avant de faire avancer les chevaux.

Dame Elyndrael inspecta la marchandise et ensuite, des elfes de la fabriques approchèrent un chariot et chargèrent la marchandise. Le boulot commençait bien. J'avais quasiment qu'à me tourner les pouces.
S'il me manquait quelque chose ? C'est vrai que, payé d'avance, je pourrais m'acheter un sac maintenant. Et puis, pour le voyage, il faudrait de la nourriture. Surtout que je ne suis pas doué pour trouver de la nourriture dans la nature. Je connais quelques trucs, mais pas assez pour faire ne serait-ce un seul repas.
- Que pensez-vous de prendre des provisions pour la route ?

Il faudrait des gâteaux secs, du pain de voyage, des fruits séchés et de la viande fumée. C'est l'essentiel pour un long voyage. Je proposais à Dame Elyndrael de faire un tour par le marché des halles brunes, c'est là qu'on pouvait faire les meilleures affaires.

Pour aller chez les humains, faire une ligne droite serait impossible. On n'allait pas passer dans les montagnes, surtout que l'hiver approchait. Il faudrait, soit les contourner par le nord, en passant à côté des montagnes volantes et des montagnes naines, soit passer par le sud, En passant par le territoire démoniaque et à côté des terres gobelines.
- Avez-vous déjà décidé de l'itinéraire ?

Étant donné la saison, j'avais une préférence pour la route du Sud, plus chaude. Sur la route du Nord, on aurait peut-être de la neige, sûrement du vent glacé.

Je m'étais assit sur le chariot près de la dame, c'est elle qui avait prit les rênes. Dans la cité, l'on ne pouvait pas avancer bien vite, il y avait beaucoup de gens dans les rues. J'indiquais à Dame Elyndraël, la direction du marché des halles.

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Je souris à sa question, les chevaux avançaient tranquillement, j'avais pensé aux provisions et avaient pensé aller chez un marchand, mais il me conseilla de faire un tour au marché des halles brunes, disant que c'était le meilleur endroit pour faire des provisions, j'aquiessa donc et dirigea les chevaux vers le marché. Il avait aussi demandé par où nous allions passé, j'étais venu seul à cheval, donc la ligne droite avait été simple à faire, seulement je ne pouvais pas refaire le même trajet avec le chariot, c'était bien trop dangereux. Je réfléchis un instant, le sud serait beaucoup mieux, le froid qui régnait par le trajet nord risquait d'abimer la marchandise et je ne le souhaitais pas. Sans compter que la neige risquait de nous ralentir de manière totalement aléatoire et donc cela risquer aussi de mettre en danger nos provisions, je ne pouvais pas prendre le risque de nous faire mourir de faim.

-Nous allons passer par le sud, les température sont plus clémente et les provisions tiendrons tous le voyage. Par le nord, le climat risque de nous ralentir et mettre en danger nos provisions, je ne veux pas prendre se risque, sans compter que je ne décide pas que pour moi mais pour nous et je suppose que vous aussi vous préférez passer par le sud.

Nous arrivions lentement au marché et je descendis du chariot en lui donnant les rennes. Je lui adressa un sourire sincère.

-Je vous laisse garder le chariot, faites attention à la marchandise, je vais acheter des provisions, je vous laisserais ensuite faire un tour pour acheter ce que vous souhaitez puis nous partirons.

Je me dirigea vers un étable et commença à négocier avec l'elfe le prix de ce que je voulais acheter. Je continua ensuite mon chemin et vit un stand où se trouvait des sacs en cuir, je me pencha sur l'un d'eux et l'observa un instant, il était noir et ma foi bien fait, je négocia ensuite le prix et l'acheta moins cher. Ravis de mes achats je retourna vers le chariot avec un grand sac plein de provision, c'était un peu lourd, mais j'arrivais à le mettre dans le chariot, je pris ensuite le sac et monta à coté de mon compagnon de voyage et lui tendit le sac.

-J'ai vue que vous serrez votre livre contre vous, j'ai pensé qu'un sac serait mieux pour vous pour le transporter et cela le protégera. Considérez cela comme un plus de votre salaire, un remerciement de ma part pour le temps que vous prenez pour m'accompagner. Si vous souhaitez faire des achats personnels allez y, je surveille le chariot.

Nous allions passer vers le Sud, parfait. Je n'ai pas de vêtements suffisamment chaud pour résister à la neige.
Une fois arrivé au marché, dame Elyndrael prit l'initiative et parti la première faire des achats pendant que je gardaist le chariot. J'attendis un petit moment, on était encore dans la Forêt Blanche, donc il n'y avait pas grand-chose à craindre.
Dame Elyndrael revient avec plusieurs achats et je fus bien surpris quand elle m'offrit un sac. Un beau sac en cuir noir. Le noir ne m’allait pas au teint, mais je n'allais pas faire la fine bouche. C'était un très beau sac, parfait pour conserver le livre sans risquer de l'abimer.
« Milles merci Madame. Votre générosité vous honore et fait de moi votre obligé. »

Je saluais respectueusement dame Elyndrael avant de ranger le livre dedans et de faire moi aussi un tour au marché. J'achetais un grand lot de pain de voyage, c'était une valeur sûre. Les fruits secs aussi, mais c'était plus cher, j'en pris donc qu'une petite quantité. Je pensais acheter une fleur pour dame Elyndrael, mais on été en plein hiver. Je pris à la place une petite pâtisserie au miel. Puis, je retournais au chariot.
« Voici pour vous, ce n'est pas grand-chose mais j'espère que vous apprécierez. »
Je remontais dans le chariot et nous reprenons la route. Et j'en profitais pour entamer la discussion.
« C'est un livre auquel je tiens beaucoup, il est très ancien. Il raconte l'histoire de notre peuple ».

Il faudrait passer par le pont de Bat'tara ou d'Eïn pour traverser le bras droit du Grand Fleuve. On y sera rapidement.

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Il avait l'air heureux du cadeau, il me remercia et parti avant que je puisse lui dire qu'il n'était pas mon obligé. Je resta donc dans le chariot en regardant autour de moi, j'avais hâte de commencer a travailler ce tissu si beau, si doux, j'allais faire des merveilles et les grand du royaume s'arracheront mes créations. Je serais la première humaine à devenir associé avec les elfes, les noble n'auront plus besoin de tous faire importer. Finalement il revint après, c'était un homme prévoyant, il avait avec lui un autre sac de provision, on en avait jamais assez. Il me tendit une pâtisserie que je pris en lui souriant.

-Oh c'est vraiment gentil...vous n'étiez pas obligé....Merci beaucoup.

Je remis le chariot en marche en mangeant un bout de ma pâtisserie et lui sourit, signifiant que c'était bon. Je l'écouta me parler de son livre, il engageait la discutions comme il pouvait et j'allais pas le laisser se décarcasser tous seul.

-Oh je vois, il retrace donc vraiment toute l'histoire elfique depuis sa création ou est-ce juste d'aussi loin que possible?

« J'ai commencé à le lire, je n'ai pas encore fini. De ce que j'ai lu, l'auteur a fait un travail de recherche. Le livre regroupe la compilation de ses recherches. J'ai donc bien peur que ce livre ne regroupe pas la totalité de notre histoire. Le plus étrange dans cette histoire, ce sont les dates indiquées. Elles ne correspondent à rien que je connaisse. »

Et c'est en parlant que nous avançons sur la route. Nous avons traversé le fleuve à Eïn, puis traverser Hypae et passé par Denen avant d'atteindre la lisière de la forêt. La route s'élargissait. Les arbres s'écartaient et laissaient la place à l'herbe de la plaine.

« Il faut continuer tout droit j'imagine, en prenant plein Ouest. Dans cette direction on finira forcément par apercevoir la cité démoniaque. Vous l'avez déjà vu ? »

[Hors-rp : Pour mettre un peu d'action faudra une attaque de bandit, mais j'suis pas certaine de pouvoir les battre. Une autre idée peut-être ? ^^"]

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