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L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron)
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Sam 3 Jan - 15:44 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
La capitale elfique, une heure après le départ du jour. Le froid enveloppait la forêt depuis la tombée de la nuit. Une auberge, l’un des rares bâtiments construits au sol et non en hauteur, laissait échapper une fumée blanche par l’ouverture de sa cheminée. Preuves aussi de l’activité y régnant, la lueur de lanternes et d’un feu accueillant filtrait par les fenêtres ainsi que le son assourdi d’une vièle.
A l’intérieur de « La Silve », l’activité battait son plein. La totalité des tables étaient occupées. Seul l’étage, auquel on accédait par un escalier débutant près du comptoir, restait silencieux car les quatre chambres l’occupant étaient vacantes en ce début de nuit. Et, des lanternes à la flamme protégée étaient fixées aux poteaux boisés soutenant la charpente et l’étage – qui lui ne recouvrait qu’un tiers de la salle. A l’opposé du comptoir, sur une estrade placée devant l’immense cheminée – seule construction en pierre de l’édifice –, deux troubadours représentaient. L’un jouait de l’instrument à cordes audible de l’extérieur, l’autre – pour l’instant – jonglait habilement avec cinq lames ne touchant qu’un court instant ses mains avant de virevolter au-dessus de lui.
Les regards des assis, principalement des elfes et fées, se portaient majoritairement sur les artistes. Une partie restait fixée sur le fond d’une chope plus ou moins remplie selon le buveur avachi en face. Une autre, plus restreinte encore, regarda brièvement la petite occupante de la table installée sous les marches.
Pour cause, il s’agissait d’une naine. Un être très loin de chez soi semblant perdu en un lieu n’appréciant généralement guère les nains. Hélianthe ne prêtait attention à cela. Elle était trop occupée à réfléchir où donner de la tête. C’était la première fois qu’elle voyait autant d’elfes ; elle en avait cependant vu lors de son cheminement lent en direction de la grande ville. De plus, deux d’entre eux, jouaient, dansaient, jonglaient, cabriolaient. Même l’endroit, par sa grandeur et son animation, était une nouveauté pour l’enfant.
Hélianthe tripotait sa longue chevelure qu’elle avait simplement coiffée en une longue tresse pendant par-devant son épaule gauche. Elle commençait à trouver l’attente longue. Elle avait commandé une soupe chaude une heure plus tôt. De plus, étant située dans l’enfoncement formé par l’escalier, la luminosité était faible – cela ne gênant – et la chaleur n’arrivait efficacement jusqu’à elle. Elle était isolée du reste de l’endroit. C’est donc avec un léger frisson que la naine termina la boisson qu’elle réussit à avoir lors de son arrivée.
Comme sa curiosité éclipsait son impatience et sa faim, elle n’y porta davantage d’attentions et reporta ses yeux brillants sur les agiles acrobaties. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Sam 3 Jan - 20:47 | |
| Le nain venait d'arrivez dans la citadelle elfique . Il avait perdu pas mal de temps a cause de sa rencontre avec certain de ses congénère draconique .
Cette expérience avec ses "frére" c’était avérer très constructive .
Le maître forgeron fessait route vers l'auberge dans sa diligence naine blinder qui semblai étre faite d'un seul et unique bloque d'un alliage sombre. Cette construction atypique était traquer par enirku .Sur c'est quatre patte il étais aussi grand que son maître(1m50environ)
Le chant de cette étrange chef d’attelage comansai a être audible a la taverne. Vu la discrétion avec la quelle il chantai c'était clairement un nain
" Amis restons bien a l'abris Mangeons buvons dans nos maisons de pierres La haut, c'est peuplé d'abrutis Aller patron ressert donc une bierre.
Nous sommes les nains sur la montagne On creuse le jour, on boit la nuit Et on aime pas ceux de la montagne. "
le champ tombait parfaitement . Les dernière note résonairent au moment précis ou il arrêta sa diligence devant la porte de l'auberge de la silve
Il dessella sa monture qui s'instala comme a son habitude sur le toit de la diligence. Puis le vieux nain entrât dans l'auberge et alla directement au comptoirs .
"Bsoir tavernier me faudrait une chambre pour 2 nuit les repas qui vont avec pour moi et mon titloup . Mais dans l’immédiat un tonnelet d'hydromel et une carcasse pour enir. Je règle quand? " Dit-il en posent une bourse sur le comptoirs qui avait l'aire garnie
le tavernier lui répondit " on vous attendait maître forgeron . A votre départ sa ira bien . Je vais chercher la carcasse de mouton que nous lui avons garder " Il fit signe a la serveuse pour venir au comptoirs puis il disparut en cuisine
Le nain se retourna ver la salle a la recherche d'une table de libre pour si installer |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Dim 4 Jan - 3:16 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Les deux amuseurs elfes changèrent de tour. L’acrobate s’empara de l’instrument et en joua. L’autre dansa en un rythme lent et coulé, harmonieux.
Hélianthe observait le spectacle, captivée. Elle en oubliait presque le froid et la faim. Presque seulement. Un grelottement incontrôlé la sortit de son observation attentive. La soupe chaude absente se rappela à son bon souvenir. L’oubli de sa personne se prolongeait. Elle se demanda ce qu’elle devait faire dans une telle situation.
* Tu bouges ton gros cul et tu vas la chercher toi-même ta bouffe !, lui aurait gueulé Ellya. * * Il faut que vous fassiez preuve d’autorité et de fermeté. Allez signaler derechef cet oubli et réclamer réparations !, lui aurait conseillé Anhiya. * * Retourne au comptoir et passe simplement commande, lui aurait juste dit Saega. *
La naine décida de suivre le conseil du mort. Elle se leva, abandonnant à regret la contemplation du danseur. Hélianthe resserra sa cape bleu roi qu’elle gardait encore n’ayant assez chaud pour s’en dévêtir.
Elle se fraya laborieusement un chemin à travers les tables bondées jusqu’au comptoir. Ce dernier, aussi haut qu’elle, lui bloquait la vue. Elle ne savait où l’aubergiste se situait avec précision.
« Bonsoir, lança-t-elle à l’aveuglette. Je voudrais un bol de soupe très chaude. S’il vous plait. »
Hélianthe attendit une réponse qui ne vint. Seul un silence indifférent lui répondit.
Elle allait réitérer sa demande lorsqu’un compatriote fit son entrée. Elle ne put en détacher son regard. Il était immense. Il devait la dépasser d’au moins deux têtes. Voire d’une troisième.
Ce dernier se dirigea avec autorité vers le comptoir et passa aisément une commande prise en compte de suite. De plus près, il paraissait plus grand encore. Seulement, ce n’était sa taille qui l’interpella présentement, mais le fait qu’on lui répondit. Elle se demanda comment cela se faisait.
* Il ne tergiverse, lui aurait dit Xakta. * * Crôa, aurait confirmé Morfale. * * Profites-en pour vite passer commande toi aussi, lui aurait conseillé Gaellia avec un sourire moqueur. *
« Bonsoir, je voudrais un bol de soupe brûlante, s’il vous plaît, débita Hélianthe d’une seule traite. » « Tout de suite, lui répondit-on enfin. Et, une soupe pour la petite, hurla l’elfe après s’être penchée pour trouver la demandeuse. »
La naine, satisfaite, retourna donc à sa table certaine qu’au terme d’une courte attente un repas réchauffant et remplissant serait servi.
Elle était déjà attablée lorsque la serveuse, toujours au comptoir, désigna au dernier arrivant sa table pour pouvoir s’y installer.
Le repas d’Hélianthe arriva accompagné par l’imposant nain qui se vit offrir la chaise voisine de la sienne. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Dim 4 Jan - 12:25 | |
| - HRP :
mais je suis un colosse a coter de toi tOo
Le vieux général récupéra sa carcasse de mouton et la tréna jusqu’à l'extérieur . L'imence loup ne boujat pas de son toit aven que son maître lui dise de ce mètre a table . Le loup descendit alors de son perchoirs pour y remonter avec la viande légèrement faisandé le nain retourna a l'intérieur récupéra son tonnelet et suivit la serveuse qui tenait une soupe d'ortie jusqu’à la table ou il restait quelque place. Il regarda les autre cliant a cette table et il fut surprit mais moins que l'on aurait put croire . L'odeur de la naine lui avait titilliez les narine au contoire Il s'installa en fasse de la jeune naine ;regarda la table et dit en posant son tonnelet et en décrochant sa corne de sa ceinture "Bsoir; Vous êtes a malade ma petiote ? c'est de la soupe d’ortie et je ne vois même pas une chopine " Il fit signe a la serveuse de poser la soupe mais de remédia a l’absence de chopine . " Pardonner mon manque de politesse mais il est rare de voire une naine en ses terre. Je me pressente Haron fis de Malaron et frére de Horon; naît sous le signe de Dagon ;Dans la ville noble et royale de Zog Arat . Represanten actif de la forge des Cousland et aussi en temps que tel membre du conseille des clans. m'en voulez po je vous passe la section militaire ." Dit-il sur un ton solannel tout en retirant le harné de favor . Il posa la hache a deux main sur la droite du siège ou il comptai s’installer " A qui ai je l’honneur ?"avait-il continuer en posant sa cape en fourrure sur le dossier de la chaise ou il s’installa . Méme sans cette cape de voyage il étai masif comme nain. Voir même plus au vu qu'il ne portait pas de haut mise a part la lourde chaîne d'abordage enrouler sur son torse qu'est daqui . La chaines et sa barbe étaient encore trop petites pour camoufler entièrement le tatouage représentant un dragons sans aille sur un champ de bataille et les rare cicatrise que le nain arborait sur tout son buste Le vieux général une foi installer avait commencer a remplir d’hydromel la corne puit la chopine qui cette dernière arrivait a point nommer en attendant la réponse a sa question |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Dim 4 Jan - 19:15 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe huma la bonne odeur de la soupe encore dans les mains de la serveuse. Elle reconnut le piquant de l’ortie. Ce n’était ce qu’elle préférait, mais la chaleur se diffusant jusqu’à elle suffisait à la contenter.
Puis, le grand nain se plaça face à elle. Le temps de se désencombrer, il lui posa une brève question.
« Non, non, je ne suis pas malade. J’ai juste froid et faim. Ou alors, faim et froid, répondit-elle tandis qu’elle suivait scrupuleusement le bol du regard. »
Le repas à peine déposé, la serveuse repartit. Hélianthe allait se jeter sur la soupe tant attendue mais son compagnon de tablée préféra faire les présentations. Elle l’écouta donc attentivement. Elle se demanda un instant s’il n’allait manquer de souffle. A sa place, elle n’aurait pu en dire autant d’une seule traite. Elle n’en aurait dit autant, tout court.
« Non, mais vous n’avez pas à vous excuser. Vous n’avez rien fait de mal. Moi, je m’appelle Hélianthe. Comme la fleur, d’après mes parents. Hélianthe Sonnedottir exactement. Je ne sais pas à quoi ressemble la fleur dont je porte le nom. Ils ont juste dit que ça avait la même couleur que mes cheveux. »
La naine posa ensuite ses yeux sur tout l’attirail d’Haron. Comment faisait-il pour transporter tant d’objets si encombrants et lourds ? Elle jeta un bref coup d’œil à sa légère – en comparaison – sacoche usée par ses précédents possesseurs – ses parents – en cuir.
* C’est parce que lui n’est pas une grosse feignasse, aurait insulté Ellya. * * Il est vrai que tu devrais faire davantage d’exercices, aurait rajouté Tholème. * * Avec les muscles saillants qu’il possède, sa force doit être suffisante pour cela. Et bien plus, aurait dit Friedrich avec un regard égrillard. *
Puis, Hélianthe termina d’ingurgiter la quantité d’informations que le forgeron avait fournie. Il en faisait des choses. Il était donc forgeron ou marchand ou les deux, membre du conseil des clans donc une personne importante, et un soldat ou un gradé. Qu’il n’ait voulu décrire davantage cette facette rassura la naine, n’aimant tout ce qui avait trait à la violence.
Cependant, elle trouvait les armes intéressantes. Non pas dans leur utilisation, mais leur conception. Elle adorait découvrir comment les choses étaient faites. Quelles qu’elles soient.
« Dites, monsieur Haron, c’est vous qui avez fait la grosse hache et le machin qui ressemble à une chaîne ? Comment vous avez fait ? C’est difficile ? Vous savez faire d’autres choses ? Autre chose que des armes, je veux dire. Et, pourquoi vous voyagez, vous ? »
Hélianthe avait trouvé un nouveau sujet intéressant. Au point qu’elle en oublia la présence des deux saltimbanques. Elle négligea même sa soupe tant désirée qui refroidissait. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Lun 5 Jan - 10:52 | |
| Le général poussa la chopine ;suffisamment pleine pour le jeune age; et écouta la jeune naine. Cette dernière avait l'aire un peut perdu ; quand a lui il la laissa s’exprimer a son allure en gardant la serveuse qui arrivait avec la charcuterie au coin de l’œil . Le voyage avait été long et la fain ce fessait sentir.
"Sa te réchauffera un peut. Je connait po cette fleur suis plus caller en trésor sous terrain"
Il bu quelque gorgé dans sa corne et continua l'écoute de la jeune naine . La serveuse fée posa l'assiette de viande devant le nain qui fessais des yeux gros comme des ballon a l’arriver de la multitude de question
"Doucement ma petiote ! le repas vient a peine de commencer ! Je vend mes oeuvre dans les grande ville ; je vend tout ce qui peut sortir d'une forge des cloues a l'armure d'un roi . La difficulté est variable en fonction du matériaux "
Lansa t-il un saucisson dans la bouche tout en retirant le tissu sur la lame de favor . Cette action laissa apparaître le métal noir mat de la lame et la bonne douzaine de géme presseuse incruster a l'intérieur du tranchant .
" Favor est forger par mes ancêtre c'est de l'acier stellaire ."
dit-il en tapotent la lame de la hache a deux main. Puis il tapota sur sa chaîne en disant
"Daquii quand a elle est en Laen forgé par mes soin et c'est une chêne d’abordage . Elles non pas été forger pareille . Favor a été forger a chaud sans aucune pause pendant pratiquement un mois ; mon arrière, arrière, arrière grand père la forger avec ses 3 fis . Daqui quant a elle a été forger maillon par maillon dans une forge a basse température"
Il remit le tissu sur la hache et reprit
" Mais sinon jeunette quesque tu fout ici ?? et cette soupe c'est pas ton repas ?" |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mar 6 Jan - 1:54 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe remarqua à peine l’arrivée de nouvelles victuailles sur la table.
La réaction d’Haron doucha légèrement l’enthousiasme de la jeune. Légèrement, seulement. Et, fugacement, surtout. La réponse confirma son impression. Il possédait de multiples talents. Talents que rien ne semblaient relier dans le jeune esprit. Cependant, elle eut quelques difficultés à saisir la fin de la phrase, le causeur mâchonnant simultanément.
Puis, une fois la bouche vidée, il reprit. L’explication captiva la naine. De l’acier stellaire. Venant des étoiles donc. Elle se demanda comment le nain avait réussi à en avoir. Comment il avait voyagé jusque dans le ciel. Peut être à dos de dragon. Elle aimerait bien en voir un.
* P’têt qu’il a volé tout tout haut dans l’ciel et qu’il a cueilli une ‘toile ‘fin l’truc qui brille quand i’fait nuit. Ou alors il a d’mandé à la fée d’lui en ram’ner. Ou alors y’a le brillant qu’est v’nu pour lui d’ner un morceau d’lui, ‘fin d’toile, aurait baragouiné Fell. * * Cçça vient d’une sssidérite qui a voyagé des cccentaines et des cccentaines d’années avant d’être attirée par la forccce gravitatttionnelle de la planète, de traverssser l’atmosssphère pour sss’écraser sssur terre avant d’être retrouvée des cccentaines et des cccentaines d’années plus tard, aurait dit Sarsa sans qu’elle n’en comprenne un traitre mot. *
Hélianthe ne comprit pas quand chose des explications du forgeron. Elle retint qu’il fallut un mois à quatre personnes pour forger l’impressionnante hache. Un long mois. Elle n’aurait jamais tenu aussi longtemps. Déjà, au bout d’une journée, elle aurait été obligée d’aller dormir. Alors, un mois sans dormir, elle n’aurait pas survécu. De plus, elle était sure qu’elle aurait trouvé cela barbant plus tôt et aurait donc abandonné avant la nuit. Elle trouva Daqui étrange. Le fait qu’il s’agisse d’une chaîne d’abordage, d’abord. Que pouvait-on aborder sinon des bateaux. Pour l’enfant, les navires devaient voguer sur les mers mais personne n’était assez téméraire pour affronter les basfonds. Que pouvait bien faire le nain avec une telle chose, cela dépassait l’imagination de la naine. Haron parla aussi d’une forge à basse température. Hélianthe imagina donc une forge complètement gelée. A la place de flammes mouvantes de feu, il y en avait de glace, solides, immobiles. Rien que d’y penser, elle frissonna.
Le froid, illusoire, la ramena à la réalité. A la vraie fraîcheur. Et, à la faim que son voisin lui rappela aussi en mentionnant la soupe.
« La soupe ? Quelle soupe ? Mince, ma soupe ! Je l’avais complètement oubliée. J’espère qu’elle n’est pas glacée. »
Hélianthe s’empara du bol plein. Elle plongea un doigt dedans et le ressortit de suite en poussant un souffle de surprise. La chaleur était encore suffisante. Ne prêtant momentanément plus attention à Haron, elle déglutit la soupe par grandes gorgées. La naine soupira en sentant la chaleur se répandre progressivement dans son corps. Elle ressentit aussi la satiété croître. Rassasiée, elle se focalisa sur Haron.
« Ah oui, pourquoi je suis ici ? C’est parce que… »
Puis, elle remarqua enfin la chopine poussée antérieurement vers elle. Elle regarda l’intérieur et y découvrit un clair liquide ambré.
« C’est quoi ? C’est pour moi ?, demanda-t-elle en direction du géant à ses yeux. »
Hélianthe n’attendit vraiment la réponse avant de goûter la boisson. La première gorgée, petite, lui piqua la langue. Elle fit une moue fugace. Mais, l’arrière goût sucré la poussa à en reprendre. Au point qu’elle termina le contenu rapidement.
« Hum, c’est très bon ça. J’adore cette boisson, même si elle pique un peu. J’en voudrais bien d’autre. On demande ça où ? Oh, mince, j’ai toujours pas répondu à votre question, réalisa-t-elle finalement. Je suis vraiment désolée. Si je suis ici, c’est parce que j’ai toujours voulu voir des elfes. Ils sont tellement mystérieux. Bon, j’ai aussi envie de voir des humains, des démons, des dragons, même des gobelins. Mais, chez moi, je m’ennuyais. Il y avait vraiment rien d’intéressant à faire là-bas. Et puis, j’aime bien voyager. Et, j’en ai besoin, fit-elle en tapotant son ventre et pensant à Ellya qui insulterait son surpoids disgracieux. Il y a plein de choses à voir. Des choses qui changent tout le temps. Pas comme les tunnels sombres et marrons où je vivais avec mes parents qui font toujours la même chose. »
Hélianthe se racla la gorge. Parler autant d’un coup l’avait asséchée. Elle saliva un peu pour humecter son gosier.
« Dites, pourquoi vous êtes ici, monsieur Haron ? Vous venez pour vendre quelque chose ? Comme la très grande hache avec toutes les pierres dedans ? Au fait, c’est aussi votre arrière-arrière-arrière-arrière-arrière grand-père qui les a mises ?, demanda la curieuse ne se souvenant plus du nombre d’arrière qu’il y avait. Et, vous êtes venus comment ? Vous avez marché jusqu’ici avec vos grandes jambes ? »
La bavarde avait pléthore de questions, mais un regard vers Haron lui conseilla d’attendre un peu avant d’en lancer une nouvelle rafale. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mar 6 Jan - 14:26 | |
| "Wot doucement y a pas le feu !! Serveuse vous lui amènerai aussi des quoi manger et une chope de lait au miel chaude." Lança le général a la serveuse avec quelle ne reparte .
" Chaque chose en son temps . Je suis ici pour vendre au marcher de demain et amenée la nouvelle armure a Caen Ehta'jar ;le nouveaux roi elfe . Et oui les pierre son incrustée dedans par mon mon arrière, arrière, arrière grand prére "
Le vieux nain avait insisté sur le nombre d'arrière . Il proposa un bout de charcuterie avent de finir son assiette. Puit il reprit calmement la discutions après avoir pousser l'assiette au bort de la table pour simplifier le travaille de la serveuse
" Apres sa dépen comment je viens soi avec mes palntar ou sur ma charrette tracter par enirku"
Il montra alors la grosse diligence de métal devant la fenêtre
La serveuse arriva quelque seconde plus tard avec un plateaux contenant une grosse chopine du pain et deux bolle de ragoût quelle posa sur le table . Pendant ce temps le vieux nain remplissait sa chopine et il reprit
" les race de la surface son pas si intéressent que sa . Mais il on plein d'or et aime le oeuvre d'art . Dans tout les cas quesque tu fout loin des cité mine a cette age ?? Et au lieux de marcher a travers les danger du monde aprend a forger et a te defandre avent " |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mar 6 Jan - 20:14 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe eut raison de s’arrêter dans ses questions. Le nain la pressa de ralentir l’allure. Il passa même commande pour elle. De quoi se sustenter et réchauffer davantage. Elle se dit qu’elle avait probablement trouvé un moyen d’obtenir de la nourriture à volonté. Du moins, tant que son fournisseur inconscient ne se rendrait compte de la manœuvre.
* Déjà manipulatrice à son jeune âge ? Elle est douée, aurait remarqué Reignir. * * Moi aussi, on me récompense pour me faire taire, aurait rajouté Galrhyn. *
Le marchand comptait donc vendre ses ouvrages. Dans un marché. Hélianthe se demandait à quoi cela pouvait ressembler. Elle imagina des gens qui marchaient – d’où le nom – mais n’arrivait à se représenter les ventes. Les vendeurs devaient possiblement marcher avec leurs possessions et passer entre les marcheurs pour proposer leurs produits. Les yeux de l’enfant brillèrent à l’énoncé du roi elfe et surtout du fait que l’artisan allait le voir. Un roi. Un vrai roi. Un roi elfe qui plus est.
* Peuh ! Je suis sure qu’il a la grosse tête que parce que c’est un roi, aurait craché Ellya. * * Ne dis cela. Ahna possède le même statut et est humble, aurait tempéré Tholème. *
Ah, elle comprit qu’elle avait rajouté trop d’arrière à l’ancêtre forgeron. Deux de trop. Ce qui n’enleva rien au travail effectué.
« Oh, merci. C’est très gentil, monsieur Haron, dit-elle en prenant gentiment la charcuterie offerte et l’engouffrant d’une bouchée. C’est bon mais ça manque quand même de sucre. C’est même un peu gras quand même, fit-elle en regardant son ventre qui n’allait diminuer à ce rythme. »
Puis, elle regarda à l’extérieur et vit le moyen de transport évoqué. Il était massif, impressionnant. A l’image de son propriétaire. Elle se demanda ce que pouvait être cet Enirku capable de tracter l’engin. Probablement, un immense cheval, plus grand que ses congénères, tel Haron en comparaison des autres nains. Son regard revint vers la table et le bol déposé à sa portée humant une agréable odeur mêlée d’oignons et de chaleur. Une chopine à la senteur mielleuse le rejoignit. Elle se saisit d’un morceau de pain qu’elle humecta avec la soupe avant de le manger tout en écoutant Haron.
Il mentionna l’or avec un regard semblant signifier qu’il aimait le métal précieux. Plus encore, qu’il l’adorait. Qu’il était le but de toute chose. Qu’il était la finalité de ses actes. Mais, peut-être cela ne fut qu’une impression. En y repensant, tous les êtres attirés par l’or étaient grands. Haron, pour commencer, qui était un colosse comparé à elle, et même à ses parents. Et davantage encore les dragons – ceux décrits dans ses lectures – réputés pour leur avarice et leur besoin insatiable de trésors. Il était possible qu’elle grandirait efficacement et rapidement si elle s’intéressait aux pierres précieuses.
« Je suis loin de chez moi parce que je ne voulais plus y rester. Aussi car c’est bien de marcher. C’est fatigant, mais ça fait de l’exercice. Mais, c’est quand même très fatigant, rajouta-t-elle avant de prendre une lampée de soupe. Et puis, le monde, il n’est pas dangereux. J’ai traversé tous les couloirs nains, frissonna-t-elle en repensant à la tristesse des sombres chemins empruntés avant de prendre une gorgée à la chopine. Hum… c’est vraiment bon ça. Ah, oui, j’ai aussi traversé toute la forêt des elfes. Je n’ai pas eu de problème. Je n’ai pas besoin de me protéger de quelque chose qui n’existe pas. Pour la forge, je ne crois pas que j’y arriverais. Ca a l’air dur et compliqué. Et répétitif aussi. Même si on peut faire des trucs jolis. Et puis, je n’ai pas envie de faire des trucs utilisés pour faire du mal aux autres. »
Sur cette pensée, Hélianthe termina sa chopine avec délectation. Elle sentit le liquide sucré et chaud descendre le long de son gosier. Elle afficha même un sourire béat. Elle repensa aux propos précédents.
« Au fait, c’est quoi comme cheval, Enirku ? Il est grand comment ? Il est fort aussi ? Il ne s’ennuie pas tout seul ? Et le roi elfe, il est comment ?, changea brusquement de sujet, l’enfant. Il est aussi grand que vous ? Et, dites, je pourrais venir le voir avec vous, monsieur Haron ? »
Voir un roi, ce serait magnifique. Le pinacle de la courte existence d’Hélianthe. Et cela, jusqu’à ce qu’elle s'intéresse à autre chose. Les yeux enfantins en brillaient d’anticipation. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mar 6 Jan - 21:44 | |
| Un peut dessu de l'enfant consternant son idée l'art de la forge naine . il souflat et dit sur le ton le plus calme ,seireux et franc .
"La forge c'est comme la peinture tu a l'aire de faire le méme tableaux mais il sera complètement différent a cose des couleur que tu utilise et du dessin. et faire de la forge avec la chaleur tu perdrait le ventre qui a l'aire de te gène . et apprendre le manient a forger de façon équilibrer "
il mangea un peut but une gorger et lansa
" gamine vient que je te montre ma monture ."
Il ce leva ramasse favor ; prit un beaux morceaux de viande au contoiret fi marche ver la porte . il ouvri la porte en siflant entre ses doit .
L'imance loup blanc neigeux sauta du toit de la diligence et aterie juste devant le binôme
Le loup presque albinos mesuret le 1.50m sur ses quatre pates pour 80cm de largeur d'épol et 2m de long . Si il vous sauterait dessu vous sentirait ses 110kg de muscle
Le grand nain lanssa le morceaux de viande au loup et dit
"Ce petit loup géan de neige est Enirkun ou enqui . L'une des nombreuse créature qui traîne dans le monde . les chose on fais que je suis devenu son Alpha , son pére , son mètre. Il te mangera pas mais je te déconseille de le toucher lui ou la diligence . Sur ce j'ais pas fini mon ragoût "
Le nain tourna les talon pour retourner a son assiette et comensa a manger en atendant la jeune naine |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mer 7 Jan - 16:03 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe attendait avec appréhension la réponse d’Haron. Allait-il accéder à sa folle requête de l’accompagner à son entrevue royale ? Elle fut légèrement déçue lorsqu’il parut ignorer la question.
L’artisan, artiste dans l’âme, compara la forgerie à la peinture. Elle imagina le nain utilisant des pinceaux, immenses, pour peindre et créer ses ouvrages. Un coup le plongeant dans le feu pour dessiner dans l’air la forme générale désirée. Un coup martelant le dessin pour l’affiner. Un coup prenant le bleu du ciel pour dessiner une topaze brillante et resplendissante. Il est vrai qu’ainsi, la naine trouverait ce travail intéressant.
Hélianthe se dit qu’elle devrait réfléchir à la proposition du nain. Ca lui ferait une activité d’une part. D’autre part, elle perdrait, comme souligné, son ventre disgracieux. Et, peut-être que si elle devenait aussi douée qu’Haron, elle pourrait rencontrer les rois et les reines de ce monde. Par contre, elle refuserait de fabriquer des armes. Ce ne serait négociable.
Elle reprenait une gorgée de soupe bien chaude lorsque le colosse lui proposa de montrer son cheval. L’enfant serra les poings de joie, et se dandina sur son siège. Le nain se leva et partit. Elle le suivit aisément, profitant du sillon qu’il créa pour progresser facilement dans l’auberge. A peine ouvrit-il la porte que le froid assailli la jeune qui resserra sa cape autour d’elle dans un vain espoir de se réchauffer. Elle espérait pouvoir retourner rapidement à sa soupe. Haron siffla brièvement et une gerbe de neige aveugla temporairement Hélianthe. Elle réalisa qu’il ne s’agissait de neige, mais d’un loup couleur de neige. Impressionnant, immense. Le propriétaire de l’animal le nomma, il s’agissait d’Enirku. Ce n’était donc un cheval. L’enfant n’en fut déçue. Au contraire.
Puis, Haron retourna au chaud, en interdisant à la naine tout contact. Cela par précaution. Ou par jalousie, mais Hélianthe ne voulait prendre le risque de le déterminer. Elle était donc seule, avec une boule de poils faisant au moins le double d’elle.
* Une rencontre du destin, aurait placidement dit Kaito. * * L’arrivée à un embranchement entre divers rêves, certains menant à des songes agréables, d’autres à des cauchemars, d’autres à des délires chimériques, d’autres à des illusions éphémères, aurait prophétisé mystérieusement Sylène. *
« Bonjour Enirku, dit-elle en tendant la main vers le loup. Dis, je peux te toucher ? S’il te plait. »
Un grognement préventif lui répondit.
« Allez, s’il plait. S’te plait ! S’te plait ! S’te plait ! »
Le grognement continua inchangé.
« Bon, d’accord, je ne m’approche pas. Dommage, fit-elle avec déception. »
Elle abandonna le loup et retourna au chaud. Après avoir forcé pour passer entre les tables toujours aussi fournies, elle arriva à la sienne et s’assit. Elle termina rapidement son bol à moitié plein pour chasser le froid.
« Dites, monsieur Haron, il est vraiment beau Enirku. Même si ce n’est pas un cheval. Mais, il n’est pas gentil. Je n’ai pas pu le caresser. Il n’arrêtait pas de faire ‘grrrrrrrrreu’ quand j’approchais ma main. Et, il n’a pas froid tout seul dehors ? Au fait, monsieur Haron, je pourrais venir le voir avec vous ou pas le roi ? S’vous plait ! S’vous plait ! S’vous plait !, réclama-t-elle en espérant que cela serait plus efficace qu’avec Enirku. »
Hélianthe tenta de faire sa tête la plus suppliante, misérable, innocente possible. Elle ne savait ce que cela rendait ne pouvant se voir. Elle espérait juste que cela aurait un effet positif. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Mer 7 Jan - 19:05 | |
| Le vieux nain sourit en entendant l'affirmation irréfutable qui concernait Enirku
" Oui enqui n'est pas un cheval c'est un loup des neige originaire des simes des montagnes enneiger pour lui il fait encore chaud . et c'est très normal qu'il soit un peut méchant il y a encore quelque année il été sauvage et il ma casser une cote avent que je le domine a main nu "
Lacha le nain en montrant du doit une trace de morsure qui pourrai correspondre a la mâchoire du canidés . Elle étais sur son flans gauche juste au de su de la chaîne de Daki
" Tu a dejas un prince; si on veut; devant toi . J'en ait pas l'aire mais je suis l'un des prétendant au grand trône du conseille dont je fait déjà partie . Mais bon la n'est pas ta question tu veut venir ? . Alors répond a mes question . Le métier de tes parent ? leur clans ? leur lieux de résidence? " |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Jeu 8 Jan - 2:32 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Haron confirma qu’Enirku n’était un cheval, mais bien un loup. Un loup des neiges. Un loup des hautes cimes. Des cimes enneigées. Un lieu qui gelait la naine rien que d’y songer. Par contre, elle grimaça à l’évocation du bref affrontement, qui en observant la cicatrice sur le nain supposait qu’il fut violent. Pourquoi avaient-ils eu besoin de se battre ? S’ils avaient essayé de communiquer au lieu d’immédiatement se sentir agressé par l’autre, cela aurait pu être évité. Leur bêtise, aux yeux de l’enfant, les avaient conduit à se blesser et baser une relation sur des bases malsaines.
Hélianthe sortit de ses pensées lorsque le colosse lui révéla qu’il était un prince. Cela la choqua. Elle n’imaginait pas une personne de sang royal ainsi. Déjà, physiquement, elle pensait que cela se voyait du premier coup d’œil, que l’on dégageait une sorte de ‘royauté’ ou de ‘principauté’ dans le cas d’Haron. Ensuite, il n’était accompagné d’une suite, comme tous les personnages princiers.
* Les princes chevauchant un beau cheval blanc n’existent que des contes, aurait raconté Franel. * * Les personnes de haut rang sont semblables aux autres. Elles aussi désirent vivre sans être étouffées par le poids de leur lignage, aurait dit Anhiya. *
La petite trépigna de joie lorsqu’Haron lui demanda si elle voulait venir avec lui. Evidemment qu’elle le voulait. Elle ne le harcèlerait pas dans le cas contraire. En échange, il désirait juste quelques renseignements. Cela ressemblait à un interrogatoire, mais elle s’en fichait.
« Erm, fit Hélianthe en se raclant la gorge. Alors, mes parents sont mycologues. Enfin, ma maman élève des champignons et papa essaie d’en faire des nouveaux. Il essaie d’en faire des qui brillent la nuit, des qui sont plus gros, des qui sentent le sucre, des qui sont meilleurs. Mais, ça ne marche pas toujours. Ils en ont ramenés un jour, des très gros, qui ont fait ‘pffu’ lorsque l’on a essayé de les manger. Ca a senti mauvais pendant toute une semaine. Et, mes parents habitent, et moi aussi quand je suis avec eux, à Byertav. Enfin, juste à côté, pour être plus près des champignonnières. C’est dans une maison que mon papa tient de son papa que son papa… Enfin, elle est très très vieille. Il paraît même que le fondateur de notre clan, Haul, y a habité. »
L’enfant regarda le grand dans les yeux avec un grand sourire sincère. Elle avait répondu à toutes les questions.
« Dites, monsieur Haron, vous avez encore d’autres questions à me poser ? Je veux bien y répondre. Par contre, je crois qu’il va falloir que j’aille bientôt dormir. Ce n’est pas forcément que c’est l’heure d’y aller. De toute façon, je ne sais pas l’heure qu’il est. Mais, je commence à être un peu fatiguée. Et, je n’aime pas trop restée éveillée quand je suis fatiguée. Parce que le lendemain, je suis encore fatiguée. Mais, pas pareil. Je suis fatiguée, pas motivée. Je suis fatiguée, pas de très bonne humeur. »
Hélianthe espérait donc qu’il n’y aurait pas trop de questions supplémentaires. Et, surtout qu’Haron voudrait bien qu’elle l’accompagne. Pour la forme, elle eut un léger bâillement. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Jeu 8 Jan - 8:04 | |
| Il mangea quelque boucher de ragoût pendant que l'enfant lui répondait. Il leva un sourcil quand elle lui parlait de champignon . Il compris que ce mot blizzard qu'est "mycologues" voulait dire éleveur de champignon puit il reprit
" Petiote je vais t'expliquer un truc avec les noble du peuple elfe : ils sont très a cheval sur l’étiquette. chez le roi et devant lui je doit me présenter ainsi. Haron surnommé "Dragonos feu d'acier " . Fis de Malaron ; naît sous le signe de Dagon ;Dans la ville de Zog Arat . Maitre forgeron du cland Cousland ; conseiller et l'un des général du peuple nain
Et dit toi qu'avec tout sa je doit prendre rendez-vous plusieurs mois a l’avance pour voir le roi J'ause pas imaginer si je voulait revoir la reine sa serait des année
Donc Hélianthe qu'elle serait leur réaction si tu te présentait? sa devrait donner sa a peut prés
Hélianthe Sonnedottir fille de mycologues né dans la champignonnières de Byertav du clan de Haul.
réfléchi donc a sa petiote tu me dira la réaction la prochaine fois que l'on ce verra . Mais avent que tu aille te coucher fini ton ragoût et ton lait ;froid c'est po bon "
Dit le vieux nain en pointant de sa cuillère le bol de ragoud de mouton au millieu de la table |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Lun 12 Jan - 17:56 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe écouta avec attention, mêlée de bâillements, et déception les propos d’Haron. Il était quelqu’un d’important, suffisamment pour rencontrer un roi. Et elle, elle n’était qu’une personne ordinaire. Pour cela, elle ne pourrait paraître devant le royal personnage.
* Il suffirait d’avoir son nom chanté par les bardes pour qu’il atteigne les oreilles des plus grands, aurait dit Galrhyn. * * Si elle est louée par toi, on risque surtout de vouloir sa mort, se serait plaint Crouitch. * * Sauve-lui la vie, il t’en serait reconnaissant éternellement, aurait proposé Porcelaine. *
« Mince, j’avais oublié le ragoût. Mouais, il n’est plus très bon, dit-elle en le mangeant, la déception masquant le goût du plat. »
L’enfant laissa le reste de lait de côté, elle n’était plus d’humeur à cela. Elle était déçue et fatiguée. Epuisée et chagrinée, même.
« Et, je vais réfléchir à ce qu’un roi pourrait dire s’il me voyait, dit-elle en en ayant déjà une idée. Mais, je vous le dirai quand, monsieur Haron ? On se reverra quand ? »
Hélianthe attendit la réponse avant de sortir de table. Il lui restait encore une chose à faire avant de pouvoir profiter d’un sommeil réparateur. Réserver une chambre car elle ne l’avait encore fait. Cela se fit relativement rapidement.
La naine partit donc se coucher, dans la chambre du fond. La plus éloignée de l’animation battant encore son plein. Elle entendait juste des bribes de chants assourdis.
En poussant la porte dépourvue de serrure, elle découvrit une pièce rectangulaire chichement éclairée par une bougie mourante car allumée depuis le début de la soirée. Face à elle, une petite fenêtre entrouverte laissant un air frais jouer avec le rideau carmin. Cinq pas lui suffirent pour traverser la largeur de la chambre et passer à gauche du pied du lit afin de refermer l’entrée de fraîcheur. La couche, immense pour la naine car conçue pour un elfe, appelait la fatiguée avec son matelas apparemment moelleux recouvert d’une couverture bordeaux. Hélianthe ferma donc la porte et vit une chaise trônant dans le coin. Parfaite pour y déposer ses effets. Elle posa son sac aux pieds puis ses habits sur le dossier. Elle frissonna jusqu’au lit et s’y glissa avec délectation. Elle souffla la bougie posée sur le guéridon à sa droite puis s’endormit. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) Dim 1 Fév - 12:31 | |
| "normal c'est un ragoût elf y manque de viande et de champignon des mine mais sa reste l'un des meilleur de la ville quand tu voyage "
Pandant que la jeune naine manger il avait fit venir un autre tonnelet d'hydromel et un verre de whisky . Qu'il sirota tranquillement
"si tu veut tu me trouvera un peut plus haut a l'entrée de la place du marcher. c'est a quelque minute ver la palais a droite en sortent ver le cœur de la ville tu a une grande plateforme vide avec des accerd pour les chariot et de ou on peut voir le "palet". Jsupose que tu va sombres dans les bras de morfée donc bonne nuit petiote "
Il observa le naine monté a l'étage ; fini son ver et parti a l'extérieur pour installer la lit du loup . L'ex soldat en profita pour s'entraîner le sifflement de la hache été clairement audible si on tender l'oreille La hache incrusté de pierre peuvent acheter toute une ville. Elle semblait êtres un membre a par entière du corps du nain . quelque minute plus tard il r'entra dans l'auberge (env30)
le jours suivant |
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| Sujet: Re: L'auberge de la Silve (Hélianthe Sonnedottir - haron) | |
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