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 Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)


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Malicia

Malicia

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MessageSujet: Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)   Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil) EmptyDim 4 Oct - 20:51

Qu'il soit humble aventurier, vaillant chevalier ou fourbe tire-laine, le voyageur fatigué et frigorifié peut se réfugier dans cet estaminet chaleureux et accueillant. Sa grande porte en bois est surmontée d’une enseigne avertissant le chaland qu’il se risque au «Comptoir des légendes».

Une fois l'entrée franchie, vous pénétrez dans une grande pièce pleine de tables éparses portant les stigmates de nombreuses bagarres, et de chaises plus ou moins rafistolées. Un feu de cheminée crépite et réchauffe l'atmosphère. Sous les poutres vermoulues, soldats festifs (qui boivent leurs soldes ou la jouent aux dés), individus mystérieux (souvent encapuchonnés), voleurs aux doigts agiles et ivrognes hâbleurs échangent rumeurs, insultes et défis noyés dans les vapeurs épaisses d'herbes-qui-fait-rire. Et la poésie s’accentue lorsqu’un ménestrel se charge d’emplir l’air de sonorités aériennes... mais cela ne sera pas pour le moment, le patron de l'auberge, un elfe du nom d'Ydrasil étant parti pour quelques temps.

C'est cette jeune femme, courant à toutes jambes pour satisfaire ses clients, qui tient en ce moment la maison. Depuis d'ailleurs, la "maison" a bien changé de clientèle mais certaines règles demeurent et l'une d'entre elle risque justement d'être dérogée...

Dans une soirée où les verres de bières naines se suivent, il ne faut pas s'étonner que certains aient des besoins primaires pour éviter que leur vessie explose. C'est justement le cas de ce barbare héborien qui titube dangereusement. Le gaillard vient de quitter sa table de compagnon de beuverie pour se diriger vers le fond de la taverne, plus calme.  Il émet un rot retentissant (peut-être pour montrer aux autres mâles qu'il est l'alpha ?) et se tient debout à un mètre du mur. C'est alors qu'il baisse son pagne pour se soulager.

- Non mais sérieux !?!

C'est la jeune femme au foulard bleu vissé sur la tête qui foudroie du regard l'impudent.
Le barbare lui s'en fout, d'une, il est à moitié saoul et de deux, il sait que le plus fort à toujours raison et dans une taverne dépourvue de videur, celui qui a raison, c'est lui.
Néanmoins une sensation glacée le saisit au niveau du membre fauteur qui se rétracte automatiquement.
La sorcière avait baissé le regard au niveau du liquide jaunâtre et l'avait gelé jusqu'à l'instrument du barbare.

Son ton se fit plus ferme, plus menaçant, plus sombre, au moins autant que pouvait l'être un nécromant.

- Cher client, je vous rappelle le premier article de nos règles qui sont affichées à l'entrée. Règle n°1, il est interdit de "se soulager" sur les murs de la taverne et ce, même si vous avez une très grosse envie ! Vous êtes priés d’utiliser les latrines prévues à cet effet… Et de fermer la porte, merci !


La sorcière jette son torchon sur le sol et sort une dague, la pointant juste sous les attributs masculins de l'héborien.

- La prochaine fois, je te la coupe !

Ces yeux fixe ceux de la brute pendant que le sort se lève, libérant le barbare et la pisse suspendue qui s'effondre dans un "spoltch" très moche sur le torchon de la tavernière.
Le rustique aux muscles d'airain émet un grognement mais ne fait rien contre elle. Les barbares n'aiment pas les magots et les évitent tant qu'il le peuvent. Sans un mot de plus, il retourne à sa table sous les quolibets de ses compagnons.
L'aubergiste quant à elle ramasse du bout des doigts le torchon souillé en grommelant dans une barbe qu'elle n'a pas.
Ce petit bout de femme devait tout faire ici et commençait à en avoir vraiment marre. Voilà plusieurs jours qu'elle avait déposé des annonces pour trouver du personnel et ce sans succès. Au contraire, la clientèle se faisait plus nombreuse et elle n'était pas loin de la crise de nerf...


Dernière édition par Malicia le Ven 9 Oct - 18:37, édité 1 fois
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Nuage Adresil

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MessageSujet: Re: Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)   Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil) EmptyDim 4 Oct - 21:39

Message de Nuage Adresil, humaine.

Nuage poussa la porte du Comptoir des Légendes avec une légère appréhension. Elle passait souvent dans les auberges pour tenter de vendre ses services, essayant de ramasser un peu d'argent par-ci par-là et de ne pas se risquer à voler sans cesse sa subsistance. Dans certains coins des bas-quartiers elle commençait même à se faire un nom en tant que gamine utile et débrouillarde, ce qui lui valait quelques travaux un peu mieux payés qu'avant. Mais là, l'enfant était hors de sa zone de confiance.
L'auberge ressemblait à toutes celles que la petite fréquentait, mais là il faisait nuit. La rouquine aurait dû regagner la maison abandonnée, apporter quelque chose à manger à la petite Epona puisque c'était son jour de la nourrir... Mais voilà tout le problème. Nuage avait mangé ce qu'elle avait acquis dans la journée, et elle ne pouvait vraiment pas se permettre de laisser son amie sans rien. Et les auberges étaient des valeurs sûres.
Déambulant entre les tables en veillant à ne bousculer personne, Nuage entrait dans un monde qu'elle connaissait peu: le monde de la nuit. Avec son jeune âge, elle appartenait plutôt au monde du petit matin, des vols à l'ouverture des boulangerie ou à l'installation des marchés. Celui des soldats saouls et autres ivrognes réguliers lui était totalement inconnu et en devenait presque fascinant. Profitant d'une vision panoramique de l'endroit, elle en saisissait l'atmosphère comme pour ne rien oublier. Peut-être y aurait-il quelque chose à raconter à ses deux amis en rentrant ?
La petite ne put pas s'empêcher de lorgner sur les tables bien garnies. Qu'est-ce que ça ferait, de s'asseoir, de commander quelque chose, et de pouvoir le payer ? Qu'est-ce que ça ferait, pour une fois, d'être cliente ? Et surtout... Qu'est-ce qu'elle commanderait, si elle avait de l'argent ? L'enfant se perdit un instant dans des rêves de nourriture exotiques avant de se rappeler que tant qu'elle n'était pas princesse, elle ne risquait pas d'en voir la couleur. Et alors qu'elle entreprenait la recherche d'un plan d'attaque pour chaparder quelques denrées comestibles, elle entendit une dispute entre une dame avec truc bleu sur la tête, et un méchant monsieur.
Nuage l'écouta avec attention, jusqu'au moment où elle mentionna quelque chose d'affiché sur la porte. La petite fille regarda dans la direction indiquée, pour apercevoir des signes qu'elle ne comprenait pas, évidemment, puisqu'elle ne savait pas lire. En tout cas, la règle énoncée ensuite par ce qui semblait être une serveuse était d'une simplicité tellement enfantine que même l'enfant de 10ans éprouvait une forme de mépris pour le mâle primaire qui l'avait outrepassée. Mais ce qui se passa ensuite laissa la rouquine perplexe.
Quand elle disait à Epona qu'elle voulait lui couper quelque chose, Nuage parlait toujours de la langue. Mais là, ce n'était pas vraiment vers la langue que la dame coiffée de bleue pointait une dague. C'était vers une partie de l'anatomie que Nuage connaissait mal parce qu'elle en était dépourvue. Curieuse de nature, la petite n'eut pas de mal à se frayer un chemin pour se rapprocher du lieu du crime, où il ne restait plus que l'employée qui semblait très occupée.

 - Peut-être qu'il sait pas lire, le monsieur.  


Ça lui semblait être la meilleure explication, très franchement. Elle n'était pas encore très au fait de l'alcool et ses effets, après tout elle n'avait que 10ans.

 - Tu voulais lui couper quoi avec ton couteau ? Parce que d'habitude, c'est la langue qu'on coupe quand les gens sont méchants. Ou c'est que les enfants ?  


Nuage fixait la dame avec l'attente d'une réponse, comme si elle venait de poser une question sur le sens de la vie et la place d'Hypolaïs dans l'univers.

 - En tout cas c'est pas juste, parce que lui c'est un gros débile qui fait pipi par terre, mais lui il a de l'argent. Alors que moi, bah je fais pas n'importe quoi, et je suis obligée de chercher du travail. Y a beaucoup de gens qui font ça ? Parce que si ça s'trouve, bah ça pourrais être un métier de les empêcher de faire n'importe quoi.
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Malicia

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MessageSujet: Re: Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)   Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil) EmptyLun 12 Oct - 17:19

Sans réellement regarder qui lui parlait, Malicia continuait à s'activer, jetant dans un seau, où elle pourrait plus tard nettoyer, l'objet du litige. Machinalement, elle prit un autre torchon propre et nettoyer une table désertée. Tout en frottant elle répondait mécaniquement au question, pas de façon forcément très agréable...

- Ben, c'est pas une raison... C'est juste comme ça. On fait pas pipi sur les murs quand on est chez les gens! C'est malpoli !

Elle commençait à en avoir ras le bol des outres pleines de vins qui se croyait tout permis ici. Le seul avantage, c'est qu'enfin, l'argent rentrait et qu'elle pouvait maintenant se verser un salaire sans piquer dans l'argent d'Ydrasil, son patron.

Et voilà qu'une autre question fusait, ça devait être la saison en ce moment. C'est comme l'automne, quand une feuille commence à se détacher de l'arbre, vous savez forcément que les autres vont suivre.

- Ben je voulais lui couper les bur...

- Mali, c'est une gamine qui te parle !

La voix éraillée de l'amulette maudite s'était faite entendre. C'était rare qu'Abo (car cette amulette avait un surnom mais ceci est une autre histoire...) parle en public. mais là c'était un cas de force majeure, simplement pour préserver le peu d'innocence restant chez les gosses des rues.
La serveuse tourna la tête et vit une petite rouquine toute mignonne mais qui dépareillait avec le reste de la clientèle. Elle était haute comme trois pomme et n'avait pas plus de 10 ans.La jeune femme se trouvait un peu désemparée.

- Heu... Ouais, les messieurs méchants, on coupe la langue du bas et chez les enfant celle qui est dans leur bouche... Tu comprendras quand tu seras plus grande...

Et comme pour se dépêtrer d'une question embarrassante genre "comment on fait les bébés", Mali dévia sur sa bouteille de lait à elle, la dernière affirmation de la gosse.

- Ouais, y a pas mal de gens qui font ça, mais je suis pas sur que le métier de dame pipi ait beaucoup d'avenir*... Il y a aussi une autre règle dans le code de bonne conduite de l'auberge: il est très mal vu de ne pas consommer ! T'as mangé quelque chose aujourd'hui? T'as faim petite ? C'est moi qui offre ! Il doit me rester du ragoût quelque part...


La serveuse lui sourit. Ne croyez pas forcément que c'est un acte de bienveillance** que fait la patronne vénale de cette auberge. Elle avait bien entendu. L'aspect quelque peu squelettique de la petite, le fait qu'elle cherche un travail, qu'elle n'ait pas d'argent, tout cela avait fait que Mali l'avait mis dans la case gamin des rues sans parents. Ce qui pouvait l'arranger, d'une parce qu'elle cherchait du monde pour l'aider et deux, parce que les enfants, ça coûte moins cher...
Et quoi de mieux pour entamer un entretien d'embauche et faire connaissance que de le faire devant un bon repas ?
Alors les gens proches de l'éthique dénigreront le fait de faire travailler de si jeunes êtres, mais l'éthique, ce n'est pas vraiment ce qui étouffe Malicia et puis c'est pas ça qui remplit la marmite.

C'est donc sans honte aucune, tout en prenant la commande d'une autre table, que Malicia attendait la réponse de la demi-portion...

___________________________________________________________
*Sur ce quoi Malicia se trompait lourdement
** Quoique pour vraiment savoir, il faudra lui demander
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Nuage Adresil

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MessageSujet: Re: Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)   Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil) EmptyVen 16 Oct - 18:20

Message de Nuage Adresil, humaine.

Nuage était très intéressée par la réponse qu'allait lui donner la tavernière au fichu bleu. Après tout, elle était responsable de l'éducation de son amie Epona et toutes les techniques étaient bonne à prendre. Même si, d'un point de vue strictement personnel, la rouquine n'avait aucune idée de ce qu'on pouvait vouloir couper là.
Seulement, quelqu'un avait parlé pour empêcher la dame de finir sa phrase, et en plus traiter Nuage de gamine. Ça, ça ne lui plaisait pas du tout. Mais alors, pas du tout du tout. L'enfant voleuse prit un air indigné, et s'apprêta à réclamer vengeance quand son interlocutrice se retourna enfin vers elle -qu'est-ce qu'ils étaient mal polis ces adultes, à toujours tourner le dos aux plus jeunes qu'eux!- pour  afficher finalement un air un peu... Désemparé. Qui ne fit ni chaud ni froid à Nuage, c'était pas son problème.
Et puis, elle était nulle sa réponse. Nuage, elle avait déjà 10 ans, c'était déjà une grande ! La petite avait toujours détesté que les grandes personnes la rabaissent ainsi, parce que si elle avait été si petite que ça, elle se disait qu'on ne l'aurait pas jugée capable de vivre toute seule, et qu'on ne l'aurait pas abandonnée. Sa joie de vivre naturelle la poussait à croire que si elle était à la rue, c'était justement parce qu'elle était meilleure que tous les autres enfants qui avaient leurs parents. On l'avait trouvée assez grande pour la laisser se débrouiller !
Enfin bref, Nuage se reconcentra sur les paroles de celle qui semblait être la parole. Et, comble du mauvais signe, la gamine fronça les sourcils.
Les grandes personnes étaient toujours louches, même sans le faire exprès. Par contre, lorsqu'ils s'intéressaient à son repas du jour c'était encore pire. Après tout, elle ne la connaissait pas ! Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire de savoir ce qu'elle avait ingurgité depuis ce matin ? C'était sûrement encore une histoire de je-te-propose-un-truc-gratuit-que-tu-finis-par-payer.  Mais il fallait bien qu'elle trouve quelque chose à ramener à Epona, parce que la petite allait encore faire une crise si elle n'avait pas à manger. Et puis Nuage commençait à la trouver vraiment maigre, même pour une petite fille.

-J'aime bien le ragoût.


Elle n'allait quand même pas lui avouer qu'elle pensait piquer les morceaux pour les ramener à son amie. Elle n'allait pas non plus la supplier, ce n'était pas son genre. Sinon, Nuage serait une mendiante et non pas une voleuse. De toute façon, la femme n'avait rien dû entendre avec tout ce bazar autour d'elles.
Elle s'approcha de la dame, tira brusquement sur son vêtement pour attirer son attention. Les grandes personnes étaient souvent incapables de laisser les enfants réfléchir sans partir faire autre chose. Ça déplaisait beaucoup à Nuage, mais elle n'avait pas d'autre choix que de passer outre : c'étaient les grands qui avaient la nourriture et l'argent. Ça méritait bien un petit effort. Elle répéta donc.

-J'aime bien le ragoût. Mais t'es sûre que c'est gratuit ? Parce que des fois, y'en a qui mentent.

Malgré son âge, il n'était pas facile d'entourlouper la gamine. Elle en avait déjà vu une paire, qui croyaient pouvoir la berner avec leurs propositions mielleuses et malhonnêtes. Même lorsque l'appel du ventre se faisait fort, il fallait garder les pieds sur terre.

-Et moi j'aime pas les menteurs. Et en plus, maintenant je sais ce qu'ils faut couper aux grandes personnes qui mentent.



[HRP : Désoléééééeeeee grosse semaine ! ]
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Malicia

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MessageSujet: Re: Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil)   Là où l'on apprend qu'on ne badine pas avec les règles (Malicia - Nuage Adresil) EmptyMar 20 Oct - 15:32

Plutôt méfiante la gamine vu son froncement de sourcil. Et en plus elle l'a traité pratiquement de menteuse!
Ce qui n'était pas forcément faux dans son autre métier, mais là, la proposition était plus qu'honnête...
La mine de la serveuse se fit dubitative avant de rétorquer:

- Et bien si je dis la vérité, ce que viens de dire risque de me vexer et je pourrais même retirer mon offre. Et si j'étais une menteuse, et bien je continuerais sur ma lancée pour te dire que bien sûr, il n'y a pas d'arnaque... Dans tous les cas, il te serait impossible de le savoir alors profite simplement, enfant ingrate !

Le guerrier dont elle attendait la commande et qui tentait de s'intéresser à la situation ne semblait pas avoir compris toute la subtilité de la dialectique. Malicia se retourna vers lui et demanda sèchement.

- Alors, z'avez choisi ?

- Heuuu... Bière...

Une fois la commande noté, elle se retourna vers la petite.

- Mais je t'oblige pas à le manger hein... Allez, assis-toi, j'arrive de suite...


Et elle repartie aussi promptement qu'elle était arrivée. Il fallu attendre un peu, le temps qu'elle prenne encore quelques commandes, avant que la mignonne ne revienne avec une chope de bière et un verre d'eau. Elle prit l'argent du guerrier et laissa ce qu'il fallait à la demi-portion pour sustenter son estomac.

Elle repartit à nouveau. Les clients commençaient à partir, elle pouvait respirer un peu.
La jeune femme revint vers son invité, regarda si elle avait commencée à manger et s'assied en face d'elle.

Si jamais la gamine avait commencée son assiette, elle demanderait:

- Alors c'est bon ? Ca fait du bien un truc chaud dans le corps ! Ca fait combien de temps que t'as pas avaler un vrai repas ?

Elle laisserait un temps pour lui laisser le temps de répondre puis enchaînerait:

- Tu cherches pas du travail par hasard ? J'ai besoin de quelqu'un pour m'aider ici. Après ça dépend de ce que tu sais faire... Tu m'as dit que tu ne savais pas lire tout à l'heure, mais sais-tu compter ? Faudrait que je vois un peu ce que t'es capable de faire... Du moins, si le job t'intéresse... Ca te permettrais de manger bien comme ce soir en tout cas...

Elle laissa la gamine lui répondre librement...

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