Message de Ewilane, humaine.
C'était un coin tranquille que cette région. La renégate devait avoir passé trop de temps en ville car elle avait oublié toutes les petites joies de la vie hors du luxe, de la richesse et de toutes ces petites choses. Les petites choses... Et les petites gens... Elle avait combattu pour un idéal un jour. Un idéal oublié depuis longtemps. Pas forcément depuis longtemps enfaîte, mais les événements s'étaient passée a une tel vitesse et elle avait tellement changé en si peux de temps. Comment c'était arrivé ? Comment son esprit et celui de son hôte avaient fusionné au point de devenir... Ce qu'elle avait était. Et le plus rageant c'est qu'elle avait conscience de ce qu'elle faisait. Pas comme l'autre. Pas comme celle a qui elle avait volé le corps... La vie. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, et quand elle en avait conscience c'était quand Ewilane, la vrais, dormait. Elle ne savait plus qui elle était. Ses saut d'humeur... Elle tuait et sauvait sans raison... La seul chose qui lui permettait encore d'avancer était sûrement ses activités. Pourquoi est ce qu'elle continuait de les aider ? De les diriger ?
*Peut être... Peut être... Suis-je trop vieille pour accepter de mourir ?*
Elle regardait son visage dans l'eau claire, du bassin crée par les chutes d'eau a côté d'elle. Son visage, c'était le sien. Le vrais. Pas celui qu'elle avait ces dernières années. Le royaume des humains, d'Espalion voyait sont vrais visage. Il manquait quelque détails, les cicatrices, les marques de brûlures. Il manquait ses marques de vie. Elle plongeat dans l'eau. Elle était assise au bord du lac. En haut on voyait l'auberge. La plus fameuse de la région. L'Auberge du bout du monde. Un charmant endroit. Elle n'y avait mangé qu'une fois et c'était sous l'initiative d'un noble de la région. Un idiot. Elle chassa cette idée et remonta a la surface. C'était étrange qu'un être de feu comme elle aimait autant l'eau. Ça la fit sourire et elle resta a nager sur place a scruter les arbres autour d'elle.
-Je vous ai entendu ! Et si j'ai quitté la capitale c'est pour éviter les règlements de compte dans ce genre.
Il n'y eu pas de réponse immédiate mais peu de temps après, un homme sortit de derrière un arbre. Grand, en armure, armé d'une épée et d'un bouclier, constitué d'une étrange matière. Elle le reconnaissait. Il était dans le premier labo à avoir était détruit. Il avait de ce fait était libéré il y a plus d'un an. Il y en avait d'autre, ils étaient une quinzaine a avoir formé un groupe dans les geôles. Celui ci maîtrisait une forme de magie qu'elle avait voulu s'approprier. Elle n'avait réussit qu'a créer un style égale au sien mai juste une sorte de dégénérescence. Les autres n'étaient capable que de matérialiser qu'un objet. Une arme pour la plupart, elle n'avait pas compris ce que cela pouvait signifier sur le moment, mais maintenant elle y voyait claire.
-Je vois tu es la pour régler tes comptes avec moi ? Combien de tes camarades sont avec toi ? Cinq ? Dix ? Tous ?
L'homme ne répondit pas et se contenta de regarder les affaires de sa proie. Puis il la regarda. Ewilane ne voyait pas son visage qu'il dissimulait sous son casque, mais pouvait sentir son sourire. Quatre autres personnes vêtus de la même façon étrange l'entourèrent. Enfin, entouraient le lac. La mare, plutôt même. Il y avait un archer dans le groupe. Elle ne pouvait pas lui échapper. Elle reconnue le vêtement qu'ils portaient. C'étaient le même style que elle avait lors de ses expériences dans ce laboratoire la. Son sourire s'élargit encore plus.
-Alors ? C'est pour me tuer ou me torturer que vous êtes ici ? Vous êtes pas très loquace, dites moi ! Vous aviez pourtant une belle voie. Je l'ai assez entendu pour ça, non ? Vous êtes la de votre propre chef ou quelqu'un vous envois ? Vous seriez pas si professionnel si vous n'agissiez pas pour quelqu'un. Alors ? Qui vous envoi ?
Ewilane nagea vers le bord de l'eau et se saisit de ses deux épées. Elle ne pris pas la peine de se vêtir, les flammes du feu de camp qu'elle avait fait pour la nuit vinrent tourner autour de son corps et former quelque choses d'étrange autour d'elle. Ça ne la protégerait pas, mais ça la couvrirait.