Prête à découvrir. (Zaïne -Aphrodia - Le Vétéran)

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Message de Zaïne, fée.

La jeune fée avait entendue parler des nains, nouvelle race arrivée depuis peu sur Hypolaïs... Curieuse de découvrir cette nouvelle race elle décida de s'envoler vers cette contrée et se retrouva rapidement à coté de petites personnes plutôt bourrue qui se dirigeait toute vers le même lieu. Emporter par les petits hommes elle ne put s'envoler pour étudier la ville ou observer les nains et fut emporter dans la taverne la plus proche.
Lorsque Zaïne passa la porte tous les nains la dévisagèrent et rigolèrent, moqueur. Elle se figea et la tête basse chercha une place. Les petits l'évitèrent lui lançant de drôles de regards et l'elfe n'insista pas. Pour montrer qu'elle n'était pas contre eux elle s'assi à une table et commanda une bière pour se rafraichir. Elle gouta. La première gorgée ne fut pas très bonne et elle dut réprimer une moue. Les nains l'observait. Elle leurs sourit et posa sa chope. Elle n'aimait pas l'alcool. En tant qu' Elfe elle ne pouvait pas supporter les manies des nains et commença a éprouver de la rancœur envers eux sans savoir exactement pourquoi.
Après quelques minutes elle s'apprêtait à partir lorsqu'elle vit une autre personne rentrer.. Différente. Alors elle se rassit et fit signe à la femme de venir à la même table qu'elle.

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia se promenait dans la région, une des plus fertile de cette contrée, et qui ne soit pas souillé par les mortels. Elle fit un tour sur elle même et vit cet établissement ingrat et une multitudes de galeries creusé a côté. Aphrodia fut prise de colère, qui aurait pu faire une chose pareille a ce lieu qu'elle a elle même béni. Elle se dirigea vers le bâtiment en bois et vue l'ambiance, c'était une taverne. Elle entra discrètement sous sa forme humaine mais fut quand même repéré par une jeune femme Elf. Elle lui proposait de s'asseoir a sa table, et Aphrodia accepta avec plaisir. Elle observa un long moment la jeune Elf et finit par tomber sur ses yeux. Sa colère ne tarda pas a se transformer en stupeur, " Ce ..... ce ......... ce n'est pas possible, ces yeux, ce sont les miens. Comment peut elle avoir les mêmes yeux que moi ?" Elle était bouche bée. Elle se rappela donc des protocoles mortels :

-"Bonjour, je m'appelle Aphrodia, dé ...... Femme de Joie. Et a qui ais je l'honneur ?"

Elle avait dit ça d'une voie tremblante, car elle craignait que cette fille ne soit sa décendante. Elle avait des yeux magnifiques, et son corps lui rappelait celui de l'homme a la capuche noire qui était tombé sous son charme et avec qui elle avait eu son seul enfant.

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne vit la femme s’approché d’elle et s’assit à sa table… La jeune fée vit que la femme l’observait et ne réagit pas. Avec tous ces nains de chaque côté qui lui lançaient des regards elle n’en fut pas gênée. Elle était une intruse parmi eux et cela était assez angoissant. Mais elle observa aussi la femme qui lui parla prise de stupeur pour une raison inconnue.
-"Bonjour, je m'appelle Aphrodia, dé ...... Femme de Joie. Et a qui ais je l'honneur ?"

Zaïne lui lança un regard amical et répondit souriante :
« Je vous remercie de m’avoir rejoints. Je me sentais… Enfin je n’étais pas à l’aise. Maintenant que vous êtes là je me sens déjà mieux ! Et mon nom est Zaïne, enchantée de vous connaître. »

Soudainement Aphrodia se figea et une palette d’émotions passa sur son visage. La jeune fée fronça les sourcils et attendit la suite en se demandant ce que lui réservait son avenir dans le petit monde des petits hommes !

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

Cette fois c'était sur, cette adolescente en face d'elle était bien sa fille. Elle avait les même yeux, et le nom qu'elle lui avait donné il y a plus de 50 ans. Elle détendit son visage et observa avec précision sa fille. Elle fut tout a coup très fier d'elle, car elle est d'une beauté incomparable comme sa mère. Bien sur elle avait hérité des innombrable défauts de son père, mais elle était tellement charmante que Aprodia ne s'attarda pas a ces détails. Elle ne savait pas si elle devait le lui dire, elle ne pouvait tout de même pas laisser ça sans dénouement. Mais elle décida tout de même de ne pas le lui avouer. Elle se contenta d'inventer une excuse :

-" Je vous trouve magnifique et vos yeux sont superbes, vous êtes aussi belle qu'une ...... heu ....... déesse. Vous pouvez être fier, je pense que votre compagnon doit être comblé. "

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne continuait d'observer Aphrodia et sans savoir qui elle lui rappelait quelqu'un. Elle se demandait toujours quels étaient les sentiments qu'éprouvait la femme de joie mais celle ci lui sortit une conclusion simple:
-" Je vous trouve magnifique et vos yeux sont superbes, vous êtes aussi belle qu'une ...... heu ....... déesse. Vous pouvez être fier, je pense que votre compagnon doit être comblé. "

Zaïne fut touché par le compliment mais sut que la femme en face d'elle cachait quelque chose. Cependant Zaïne domina sa curiosité et regarda les nains en silence qui allait se souler. Ou bien se soulait. En observant bien on en trouvait quand même une majorité de nains déjà soul. Secouant la tête elle répondit à l'humaine:
-Je vous remercie de cette agréable attention. C'est gentil de votre part. Mais on peut vous retourner le compliment. Vous êtes vous aussi très belle.

Zaïne lui sourit mais se crispa en voyant qu'un autre elfe venait de rentrer dans la taverne. Elle le reconnut et se cacha derrière Aphrodia.
Tremblante elle annonça:
-Je crois que mon père vient de rentrer. Ne bougez pas et évitez d'attirer son attention.
Mais déjà son père se dirigeait vers elles.

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

Le Vétéran avait couru toute la journée pour s' habituer a sa nouvelle armure qui pesait désormais 50 kilos. L' ancien était mort de fatigue mais avait trouvé un cascade a la fin de son périple qui lui permit de s' abreuver et de se laver de toute la sueur mêlée à la poussière qui lui collait a la peau. Il marcha pendant quelques temps au milieu de la vaste plaine du royaume des nains et aperçu le souterrain qui menait au aux mines naines, et a la taverne... Un petit remontant ne lui ferait pas de mal! L'elfe pressa le pas rêvant d' un petit cognac nain bien fort. Il poussa la porte et s'arrêta au seuil pour scruter la pièce, où les joyeux nains lui semblaient beaucoup moins festifs qu'a l'habituelle quand il remarqua leur centre d' intérêt: deux femmes, dont sa fille. L'éternel s'approcha d' un pas tranquille de la table quand Zaïne se cacha derrière l'autre dame, l'obligeant à croiser leurs regards. L'immortel se figea. Un court instant, ce regard d' une profondeur inégalable le transperça, il se sentait désarmé, et une suite de flashes back se succédèrent dans sa mémoire. Elle était morte... pourtant ... Dans l' ombre de sa capuche, une larme de regrets, une larme de tristesse, une seule et unique larme brilla; telle la pluie qui tombait lors de ce jour de deuil, elle s' écrasa sur le sol, lourde de sentiments. L'elfe s' avança en retirant sa cape et sa lourde armure qu'il déposa délicatement sur le sol, puis s' assit. L'ancien tenta de défier le regard une nouvelle fois mais sentit en lui un déchirement si douloureux qu'il détourna rapidement la vue. Le père commanda le meilleur cognac, et dit qu'il paierait la note des demoiselles. Sa vision se détourna vers sa progéniture. C' en était trop. Une averse se déversa dans le cœur de l'homme, inondant ses entrailles, inondant son esprit, inondant sa tristesse. Le verre arriva. L' ancien regarda l' alcool qu' il contenait, et y trempa ses lèvres...

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Quand Aphrodia vit l'Elf s'approcher, elle se rappela le combat dans cette même Taverne il y avait peut.
Elle le regarda un sourire au lèvres, et lui dit d'une voix douce et mélodieuse :

-"Alors vous revenez pour mes services ?"

Mais quand elle vit qu'il ne faisait que détourner son regard elle fut encore une fois prise de colère.

-"Hey, on regarde dans les yeux quand on t .... vous parle !!!!!"

Puis elle se souvint une phrase de sa fille "Je crois que mon PERE vient....." Alors comme ça c'était avec cet homme qu'elle avait eu ce magnifique enfant. Elle eut un mouvement de recul et trébucha sur sa fille qui se tenait derrière. Elle se releva péniblement et elle qui aurait voulu rester une éternité avec sa fille, prit la direction de la sortit en allant tout droit et en renversant les nains sur son passage

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne ne comprit pas bien ce qui se passa. Apparemment son père avait déjà croiser Aphrodia. Et il l'ignorait, triste. Il but un coup et la fée détourna son regard de lui et fronça les sourcils en observant la suite de la scène.
L'humaine a qui elle avait fait signe de venir s'assoir lui parla en lui demandant de la regarder dans les yeux. Mais celle ci s'arrêta et trébucha sur Zaïne. Rapide elle se leva pour voir Aphrodia prendre la direction de la sortie. Il se passait quelque chose. Et la fée voulait savoir quoi. Elle tenta de se concentrer et fit un mur d'air devant la sortie. Plus personne ne pouvait ni rentrer ni sortir. Elle eut juste la force de dire à la femme de joie:
-Revenez. Je vous le demande. Arrêtez de fuir. Pourquoi fuir? Revenez vous assoir! Vous êtes coincés ici de toute façon! Vous n'avez plus le choix.

La fée avait décidé de ne plus fuir et s'approcha de son père. Affronter les problèmes. Elle tendit la main à son père. Il la prit, tremblant. Ils s'approchèrent de la table que Aphrodia n'avait pas rejoints. Zaïne la regarda tentant de sortir. Mais elle ne pouvait rien. Le mur d'air était toujours là. La fée dit à son père:
-Restes ici. Nous avons besoin de parler. Je reviens.

Alors la jeune alla jusqu'à la porte. Tous les nains les regardait et Zaïne ne put s'empêcher de rougir. Elle s'approcha de l'humaine et lui toucha l'épaule. Mais celle ci semblait faible. En pleurs.
Parlant à Aphrodia qui lui montrait son dos elle énonça d'une voix calme:
-Allons. Venez. J'ai besoin de vous parlez. Vous semblez me cachez quelque chose. Une discussion n'as jamais fait de mal!
Alors sans insister elle se rassit à sa table a coté du vétéran qui avait une lueur nouvelle dans les yeux.

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

L'ancien avait plus ou moins retrouvé ses esprits, et commençait à calmer les déluges de son cœur. Il but une autre gorgée du cognac nain, décidément le meilleur de la cave, sans aucun doute. L'elfe regarda autour de lui et remarqua que les nains avaient les yeux rivés sur eux. C' est alors qu'il sortit sa bourse pleine à craquer, qu'il ouvrait rarement, et la jeta sur le comptoir:

"- Tournée générale, servez ces gosiers assoiffés!."

Tout d' un coup, la taverne s' anima de grand hourras et autres, et cette ambiance était bien plus agréable que la précédente, qui devenait trop pesante. Sa vue s' arrêta d' abord sur sa fille, laquelle il regardait d' un air grave, pénétrant ses yeux presque aussi profond que ceux de sa mère, et le détourna vers son aimée. Il déglutit, en revoyant ces yeux sans fond, ces yeux où il se noyait, ces yeux qu'il ne fuirait plus jamais. L'éternel soutint pourtant ce regard, retenant ses larmes qui lui venait, ses larmes qui montraient l'étendue de ses émotions, et commença d' une voix tremblante, après une une gorgée d' alcool:

"- Moi... qui te croyait morte, alors... tu as survécu. Cela fais 58 ans désormais, 58 ans sans toi, 58 ans pendant lesquels ma fille a souffert mon absence ... Et tu réapparais, toi l'une des seules personnes que j' ai aimé, toi, Aphrodia, déesse exilée des cieux, toi, mère de Zaïne...

Le cœur déchiré, en discorde, il baissa les yeux, lui, dont les jours l'accablent de plus en plus, lui, dont l'éternité n' en finit de le faire souffrir, lui, qui ne voit que de morts autour de lui...

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia revint s'assoire sur le Banc, attrapa Zaïne par le bras et la serra contre elle. Elle lui chuchota d'une voix douce :

-"Je ne te cache rien, je ne fait qu' éssailler de te communiquer ce message d'une autre manière. Regarde moi dans les yeux et tu connaîtra la vérité. Puisque tu tien vraiment a la connaitre."

Puis c'est là qu'intervint ce satané Elfe. Encore une fois, elle voulait l'étriper pour toute la culpabilité qu'il voulait lui mettre sur le dos.

-"Comment osez-vous me dire une chose pareil. C'est vous qui ne vous en occupiez pas, car c'est a vous que je l'ai confier. Je ne voulais pas que Zaïne apprenne au côté d'une prostitué. Au lieu de ça vous l'avez laisser je ne sait où pendant que vous jouissiez de vos occupations auprès de la reine. Vous mériteriez que je vous tue. vous ne valez rien a mes yeux, la seule chose qui soit vraiment un trésor ici c'est Zaïne. Vous et bien vous vous êtes un idiot égoïste, tout comme moi d'ailleurs. "

Elle avait lancé ça d'une traite, en un souffle, une respiration. Elle aurait gagné a main levé un concours d'apnée. Elle lui en voulait tellement et s'en voulait aussi a elle même. C'était psychologiquement intenable pour une déesse qui a toujours vécu dans le confort et qui n'avait jamais rencontré de problèmes épineux. Même ce démon qui voulait la tuer, ce Ulquiorra avait été facile a a berner.

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne écouta son père assit à la table en face d'Aphrodia. Elle se tenait toujours debout lorsque son père commença a parler:
"- Moi... qui te croyait morte, alors... tu as survécu." Zaïne les regarda. Tous les deux. Et elle les vit. Avoir une fille. Et elle sut. Faible elle s'assit au milieu d'eux et écouta la suite tremblante. "Cela fais 58 ans désormais, 58 ans sans toi, 58 ans pendant lesquels ma fille a souffert mon absence ... Et tu réapparais, toi l'une des seules personnes que j' ai aimé, toi, Aphrodia, déesse exilée des cieux, toi, mère de Zaïne..."

La fée se figea. Son père lui avait appris trop de choses en même temps. Alors qu' elle ne lui avait que très peu parlez dans sa vie. Tous se figea. La fée ne bougea pas. Comment voulait t'il qu'elle réagisse? Qu'elle se précipite dans les bras de ces parents? Non. Elle n'en avait pas la force. Elle ne pouvait pas fuir non plus. *Fille de déesse. Je suis a moitié une...déesse* Et elle comprit la réaction d'Aphrodia envers elle. Mais elle prit justement la parole:

-"Je ne te cache rien, je ne fait qu' éssailler de te communiquer ce message d'une autre manière. Regarde moi dans les yeux et tu connaîtra la vérité. Puisque tu tien vraiment a la connaitre."
-"Comment osez-vous me dire une chose pareil. C'est vous qui ne vous en occupiez pas, car c'est a vous que je l'ai confier. Je ne voulais pas que Zaïne apprenne au côté d'une prostitué. Au lieu de ça vous l'avez laisser je ne sait où pendant que vous jouissiez de vos occupations auprès de la reine. Vous mériteriez que je vous tue. vous ne valez rien a mes yeux, la seule chose qui soit vraiment un trésor ici c'est Zaïne. Vous et bien vous vous êtes un idiot égoïste, tout comme moi d'ailleurs. "

Zaïne aurait voulu sourire devant la haine que sa mère portait pour son père, mais n'en eu pas la force. Son père avait du mal a se faire apprécier par les femmes qu'il aimait. *Quel ironie*
Les regardant elle se leva de table. Elle ne voulait pas entendre les arguments ni de l'un ni de l'autre. Elle ne voulait pas se disputer avec eux.
Alors qu'elle avait devant elle la famille dont elle avait toujours rêvé elle leur dit:
- Je regrette. Cela fait 58 ans que je n'ai plus de parents et que je suis seule. Je suis contente de vous avoir retrouvé. Mais je n'ai pas plus de sentiments pour vous que pour des inconnues. Comme je l'est déjà dit je ne vous déteste pas. Mais vous me répugnez. Vous vous déchirez pour savoir à qui appartient la faute de m'avoir abandonné. La fée sourit, dégoutée. Non. C'est vous deux, ensemble, les coupables! Je ne vous remercie pas. Et si vous le permettez j'aimerai me retrouvez seule. Encore.

Zaïne se dirigea vers la sortie lorsqu'elle remarqua que son mur d'air était toujours en place. Elle tenta de le détruire. En vain. Tous se brouillait tellement dans sa tête qu'elle ne pouvait plus maitriser ses pouvoirs. De rage elle donna un coup de pied dans le tabouret le plus près. Mais elle ne réussi qu'a énerver un nain qui le reçût dans la jambe. Elle s'excusa humblement. Elle aurait voulu disparaitre, mais son pouvoir ne fonctionnait plus. Alors vexée et blessée dans l'âme elle s'assit dos à ces parents. Et ne put empêcher ces larmes de tomber, son dos de trembler et sous sourire de s'effacer.

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia fut étonné de la réflexion de sa fille, et l'étonnement fut vite remplacé par la colère, encore la colère, c'était un sentiment nouveau pour elle qui n'est consciente des danger de ce monde que depuis peu. Elle s'approcha de sa fille et la prit par l'épaule, sans même se rendre comte qu'elle appuyait beaucoup trop fort elle cria pour déchaîner ce qui la mettait hors d'elle :

-"Je ne t'ai jamais abandonné, mon cœur a toujours été avec toi et puis, tu me fait rire avec tes 58 ans de solitude. Tu a l'éternité devant toi, j'en ai vécu 100 000 des années de solitudes. Tu est la seul descendance que je peut avoir tout les 5 000 ans alors ..... Ne gâche pas ta saleté de vie éternel avec de telles broutilles, ne devient pas comme moi : égoïste, prétentieuse, inculte et j'en passe ....... La seul vertu que je possède, c'est ma beauté. Mon âme est vide, et je ne souhaite pas que ce soit ton cas. Profite de ton éternité pour acquérir la connaissance, connaître l'amour etc ..."

Son ton colérique et sa prise s'était estompé dès les 3 premier mots.

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne sentit Aphrodia dans son dos qui lui posa une main lourde sur l'épaule pour lui crier:

-"Je ne t'ai jamais abandonné, mon cœur a toujours été avec toi et puis, tu me fait rire avec tes 58 ans de solitude. Tu a l'éternité devant toi, j'en ai vécu 100 000 des années de solitudes. Tu est la seul descendance que je peut avoir tout les 5 000 ans alors.... Ne gâche pas ta saleté de vie éternel avec de telles broutilles, ne devient pas comme moi : égoïste, prétentieuse, inculte et j'en passe..... La seul vertu que je possède, c'est ma beauté. Mon âme est vide, et je ne souhaite pas que ce soit ton cas. Profite de ton éternité pour acquérir la connaissance, connaître l'amour etc ..."

Sa voix au fur et à mesure s'apaisait et retrouvait son doux timbre. La fée se retourna lentement et répondit:
-Je viens d'apprendre que je suis la fille d'un déesse et que par conséquent ma vie s'allonge. Je te croyais morte. Tué par Ulquiorra. Pour me venger je l'ai défier. Mais j'ai abandonné car mon cœur lui appartient, Baissant la tête de honte la fée reprit. Je ne suis pas comme toi. Je ne me sens pas remplie de prétention. Je peux aider un démon si il en a besoin et que son dessein n'est pas maléfique. Je ne suis plus inculte car j'ai étudié avec un mage de l'air. Il m'as appris comment contrôler mon esprit. Ce que je n'arrive pas maintenant. Et mon âme... Elle est remplie de bonté et d'amour. Je ne cherche pas le mal mais je dois admettre que je suis devenue moins bonne qu'avant. Savais tu que pendant ton absence j'avais rejoins celui qui a voulu ta mort et que je l'aime? Savais tu que pendant ton absence j'ai vécu malheureuse dans un village humains? Savais tu aussi que j'avais menacé ma reine pour aider Ulquiorra? Le savais tu? Je n'ai eu personne pour m'aider à grandir. J'ai appris à le faire seule en forgeant mes propres armes. Et justement la seule vertu que tu possède je n'en veux pas. La beauté ne m'est pas utile. Je suis désolé mais c'est ainsi. Qu'aurais je encore à apprendre en votre présence?

La jeune fée avait regarder sa mère en parlant et n'avais pu réprimer ces larmes. Elle la regarda et se leva pour la prendre dans ces bras.. Ces idées était plus clair à présent. Tout en pleurant sur l'épaule de sa mère elle désactiva le mur qui les emprisonnait. Ils étaient de nouveau libres mais la fille ne vouait plus sortir. Elle voulait rester là. Avec sa mère.

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

Le Vétéran avait écouté la scène avec attention, puis finit son cognac. Son verre se brisa au nom d' Ulquiorra, comme si ce mot était tabou. L'ancien poussa une très long soupir, une soupir de désespoir, un soupir comme pour tout évacuer, même si toute cette tornade de sentiments revenait. Il ne savait plus ce qu'il devait penser de sa fille, devait-il être heureux de la réussite de sa fille? Mais il savait une chose, si elle suivait le chemin du démon, un jour, il devra la combattre, mais aura-t-il la force ou la lâcheté? Non. L'elfe se revêtit, s' encapuchonna et s'approcha des deux déesses, d' un pas lourd et lent, craignant leurs réactions. Il tint l' épaule de sa fille et commença d' une voix remplis de tristesse et de gravité:

"- Je pars désormais, mais sache que nous nous reverrons, je tiens toujours ce pacte ( il montre son bras ), peut-être devrais-je te protéger de moi-même. Tu as choisis ton camp, tu es désormais une adulte, mais je devrais t' empêcher, toi et Ulquiorra de conquérir cette terre, et un combat entre nous serait inévitable... Ce jour-là viendra bien plus tôt que tu ne penses, prépare-toi."
Il se retourna vers celle qu'il aime, puis tout en lui déclarant d' un ton un peu plus jovial, il lui dit:

"- Je suis sûrement le pire homme que tu as rencontré durant toute ta longue existence! Donc je te souhaite bon courage pour la continuité de ta vie, et de ne plus jamais me rencontrer ma vie ne t' importunera plus, même si je t' aime toujours! Adieu!"

L'éternel se retourna et ouvrit la porte, le cœur toujours remplis de malheur, le cœur rempli de regrets, le cœur rempli d'un grand vide...

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia resta serré quelques minutes qui lui parurent durer des années et des années. Elle ne fit pas attention aux paroles du guerrier Elfe et il partit, mais quand elle s'en rendit comte il était trop tard. Elle alla s'asseoir face à sa fille, et lui dit :

-"Tu as malheureusement pour toi hérité d'une bonne partie de ma beauté, dit elle d'un ton légèrement ironique.Et pour ton démon que tu semble aimer, tu dit qu'il rend ta vie dans le mal. Le mal est un camp pas une faute. Tu as choisi ce camp de plein grée et par amour pour ce démon. Ta vie n'est donc pas gâché.

Elle pouffa légèrement de rire en se rappelant le LÉGENDAIRE démon Ulquiorra, trompé par ses charmes. Elle lui confia ensuit :

- Je ne suis pas un modèle de fidélité, je suis la déesse de l'amour et du plaisir Charnel. Tu comprendra donc maintenant pourquoi je ne me suis attaché a ton père. Mais toi, ce n'est pas pareil, tu est ma seul descendance, j'aimerai rester a tes côté pour toujours si sa ne te dérange pas, dans le bien comme dans le mal, dans la vie comme dans la mort, je te suivrait ...... Oh et je doit te prévenir d'un danger qui te menace, si je venais à mourir, tu obtiendrai la totalité de mes pouvoirs et tu pourrait prendre mon ancienne place au cieux. Donc des gens mal intentionnées voudront te tuer pour pouvoir ensuite me tu.....

La porte claqua, et 4 hommes en robes a capuchon rouge entrèrent dans la taverne. Ils parcoururent la salle des yeux et quand leur regard tomba sur la table d'Aphrodia et sa fille il incantèrent un sort qui leur fit apparaître a la place de leur robe, une armure en argent, ainsi qu'une masse. L'un d'eu lança un dard empoisonné vers Zaïne qui se ficha dans une poitrine, pas la sienne, mais celle de sa mère. Le liquide pourpre et chaud se mit vite a couler en abondance.

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne lança un dernier regard à son père lorsqu'il partit. Elle aurait voulu lui parler mais n'en avait pas eu le temps. Déçue elle écouta sa mère parler.

"Tu as malheureusement pour toi hérité d'une bonne partie de ma beauté, dit elle d'un ton légèrement ironique.Et pour ton démon que tu semble aimer, tu dit qu'il rend ta vie dans le mal. Le mal est un camp pas une faute. Tu as choisi ce camp de plein grée et par amour pour ce démon. Ta vie n'est donc pas gâché. Je ne suis pas un modèle de fidélité, je suis la déesse de l'amour et du plaisir Charnel. Tu comprendra donc maintenant pourquoi je ne me suis attaché a ton père. Mais toi, ce n'est pas pareil, tu est ma seul descendance, j'aimerai rester a tes côté pour toujours si sa ne te dérange pas, dans le bien comme dans le mal, dans la vie comme dans la mort, je te suivrait ...... Oh et je doit te prévenir d'un danger qui te menace, si je venais à mourir, tu obtiendrai la totalité de mes pouvoirs et tu pourrait prendre mon ancienne place au cieux. Donc des gens mal intentionnées voudront te tuer pour pouvoir ensuite me tu....."

Zaïne qui l'écoutait attentivement se retourna quand la porte claqua. Quatre hommes venait de rentrer. Ne comprenant pas bien ce qu'il se passait elle n'eut pas le temps de réagir quand les hommes s'armèrent grâce à la magie et lancèrent un poignard. Mais sa mère sauva Zaïne et reçut le poignard à sa place. Zaïne fut stupéfiée et elle retrouva rapidement les réflexes de combat. Rapide elle s'envola pour devenir invisible et dissimula son aura. Elle réussit à condenser toute l'humidité de la pièce en un épais nuage et les nains protestèrent quand ils virent que leur chope était vide et que le contenu s'était transformés en un nuage. Les effluves de le bière flottait dans les airs et la jeune fée eut la tête qui tournait.
Se tournant vers sa mère elle créa un coussin d'air pour la porter. Mais la brume disparut comme elle était apparue et la fée vit trois guerriers super-armés se tenir face à elles. *Ils étaient pourtant 4? où est le dernier?*Une voix dans son dos répondit à sa question, gardant Aphrodia sous sa lame.
"Montre toi fille de déesse. Ou nous tuons ta mère."
La fée face à la menace s'approcha furtivement de sa mère et la rendit invisible par son contact. Les nains qui restait partirent rapidement, fuyant le danger qui se préparait. Zaïne ainsi invisible s'éloigna des quatre guerriers et enleva le poignard de la poitrine maternelle. Sa mère ne cria pas, trop faible. Il ne leur restait qu'une solution. Qu'un seul homme pour les sauver et il venait de partir.
Guettant toujours les mouvement des guerriers qui semblait ce concerter et scruter les recoins de la taverne elle se concentra et prit contact avec l'air extérieur. Transformant le vent en détecteur elle sentit son père non loin de là. Mais elle ne savait comment le prévenir du danger. Une idée saugrenue lui parvint. Elle la réalisa étant la seule qui réussissait à percer son esprit.
Elle souffla dans l'air un message de détresse et tenta de l'apporter jusqu'à son père. Croisant les doigts pour qu'il l'entende elle attendit toujours invisible tentant de soigner sa mère et de la laisser en vie..

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

L' ancien releva la tête : " Qu'est-ce que...". Un nain le bouscula, puis ce fut tout un troupeau qui fonçait vers la sortie des souterrains. Il se retourna et regarda en direction de la taverne: "Mon petit doigt me dit qu'il y a quelque chose de pas très net qui se passe la-bas. Zaïne, qu' as-tu fait?". Le guerrier déposa ses affaires dans un coin et sortit ses lames de leurs fourreaux, puis commença à s' avancer en direction de la taverne, décidé à protéger les êtres qui lui sont chers, comme il l'a toujours fait. Un coup de pied et la porte sortit de ses gonds, et la sentinelle hurla, mêlant rage et férocité:

"- Qu'avez vous fait de ma fille? Si ne serait-ce qu' une égratignure ne lui a été infligé, vous périrez de ma main!"

Il eut à peine le temps d' en dire plus que quatre poignard se dirigèrent sur lui, recouvert d' un liquide verdâtre. Une seconde réaction, le père se jeta vers l' arrière, vit les dagues lui passer par-dessus son visage, se rattrape sur les main et effectue avec souplesse un saut qui le fait retomber sur les pieds:

"- Attention c' est dangereux ces petites choses coupantes. Que ...?"

Un des adversaires s'était jeté sur lui. L'éternel para de justesse, puis donna un coup de pied dans l'armure du de cet agresseur qui alla débouler dans le décor. Il s' approcha, d' eux, à pas lents:

"- Alors, tonna-t'il, lequel veut mourir, pauvres larves?"

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia sentait comme une brûlure se répandre dans son corps, ce dard était donc empoisonné ? Elle sentait sa vie s'échapper à chaque seconde, elle allait mourir. Elle rêvait, un rêve douloureux et qui la laissera marqué pendant longtemps, si bien sur elle s'en sortait.

Elle rêvait qu'elle était du haut des cieux, comme elle a toujours vécu et au début fut bien heureuse de retrouver son doue foyer, mais en regardant vers le bas, elle vit sa fille se faire agressé par des brigands. Elle était aux cieux donc ne pouvait réagir, elle se sentait impuissante devant cette agression, et quand sa fille mourut sous les atrocité commises par ces monstres, elle poussa un crie d'horreur en découvrant la dépouille de sa fille.
Cette même dépouille finit par la hanter pendant tout le reste de cette rêverie, quand elle fut prise d'une volonté énorme, celle de survivre. Pas une survie pour avoir une chance de retourner au ciel, mais plus celle de rester sur terre pour protéger a tout jamais sa fille.

Trois gouttes d'un liquide noire sortirent de sa plaie. Ces trois gouttes était la totalité du poison que contenait le dard, et elle venait de l'expulser de son corps. Elle se réveilla prise d'effroi a cause de son rêve. Elle était allongé dans les bras de sa fille, elle la regarda dans les yeux, se releva, l'embrassa et se retourna violemment. Elle s'approcha d'un des meurtrier, lui attrapa le bras et le tordit jusqu'à entendre un craquement répugnant. Il tomba a terre, inerte, mais elle l'acheva d'une manchette sur la nuque. Elle gardait toujours son visage angélique et amicale, mais il cachait la haine. Elle s'approcha d'un second qui lui n'hésita pas. Il lui planta son couteau dans le ventre, elle n'y fit pas attention. Elle lui asséna un coup de poing dans le plexus solaire et lui coupa ainsi le souffle et l'acheva d'une violente clé qui fit craquer sa nuque. Après cette dernière victime, elle se mit a pleurer et tomba a genou.

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne observait les larmes aux yeux sa mère fuir la vie lentement. Mais soudain son père apparut et évita les poignards qu'on lui lançait. Il menaça les hommes et le temps que le premier homme l'attaque un nouvelle espoir était là. Cependant lorsqu'elle se tourna vers sa mère elle vit que celle ci n'était plus sur le coussin d'air mais en train de combattre. Pantoise, la fée ne sut agir que déjà les hommes étaient tous à terre. Toujours dans les airs elle se posa et se dirigea vers l'elfe pour lui dire admirative:
-Merci. Merci d'être venue me défendre. Merci.. papa.

A ce mot le visage du Vétéran s'illumina et la fille le serra dans ses bras. Ses parents n'avait pas lutter de concert mais avait lutté ensemble. Cela suffisait pour que Zaïne soit fière d'eux. La fée se rapprocha elle aussi de sa mère à genoux se détachant de l'étreinte paternelle pour la remercier à son tour.
-J'ai eu tellement peur pour toi. J'ai cru que.. tu allais mourir. Pour moi... Mais tu as l'as l'air en parfait santé et je suis contente pour toi. Mais..

La fée laissa sa phrase en suspens. Elle ne savait comment formuler son souhait mais elle prit son courage à deux mains et s'exprima:
-Je sais que vous avez fait ça pour moi. Je ne vous en demande pas d'avantage. Mais si vous voulez réelement me sauver laissez moi vivre. J'ai des amis qui pourront m'aider en cas de danger. Mais Malheureusement ces amis n'ont pas voulu vous voir en vie. Je pense à Ulquiorra. Je vous demande de le laisser tranquille tant qu'il ne vous menacera pas. S'il vous plait.

La fée baissa les yeux et prit la main de ses parents. Elle aurait voulu qu'il se prennent eux aussi la main. Mais cela ne se ferait pas. Sa mère ne semblait pas aimer son père suffisamment. Elle prit une chaise à coté d'elle et s'assit dessus. Il n'y avait plus un bruit dans la taverne. Uniquement leurs pleurs. Alors elle se mit à soigner les blessures que ses parents avait reçu.

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

Le Vétéran regarda sa fille d' un air grave après ses paroles, puis étreignit l' épaule de Zaïne, en lui disant:

"- Tes amis sont mes ennemis, et l'idée de conquête d' Ulquiorra m' oblige à le tuer, tout comme le reste de l'espada. Désolé ma fille, mais je ne puis accéder à ta requête. Quant à toi le jour viendra où un combat inévitable sera entre nous, il te faudra être forte, car je doute déjà si un jour j' oserais pointer mon arme vers toi. L' un de nous deux mourra, c' est inéluctable, je dois faire un choix entre mes deux promesse, toi et Hypolaïs, le devoir et l'amour. Ulquiorra n' est pas un adversaire si fort pour moi comparé à toi, mais nous ne croiserons pas le fer aujourd'hui, c' est comme cela et pas autrement, je ne sais pourquoi. Ton cœur t' a guidé vers cet amour, car je n' ai jamais été là, et c' est donc entièrement ma faute si nous sommes dès à présent adversaires, je n' ai jamais voulu cela..."

L' ancien s' arrêta, le cœur serré, le cœur dégouté par lui-même, le cœur prêt à exploser. D'un geste rapide, il serra la jeune demi-déesse en prenant sa tête qu'il posa sur son épaule. Il continua d' une voix troublée, d' une voix pleine de haine envers lui-même:

"- Je t'aime ma fille, tu es la seule personne à laquelle je n' ai jamais autant tenu de mon éternité, j' ai si peur de te perdre, si peur... Et le destin nous oblige à nous battre et je ne sais plus quoi faire pour te garder, je me demande ce que je ferais ce jour-là, mais sache que peu importe où je serais, mon amour pour toi ne faiblira jamais....

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia ressera son entreinte sur se fille et dit dans un sanglot :

-"Non !!! je reste avec toi, quite a rejoindre cet Ulquiorra. Je ne te laisserai pas une deuxieme fois. Je ..."

Le vétéran coupa vite on sanglot pour affirmer:

Et le destin nous oblige à
nous battre...

elle attrapa le poignet du Vétéran et le serra a la limite du craquement et dans un mouvement de colère non réfléchit lui brisa une côte d'un coup de coude.

-"Si duran ce combat tu fait le moindre mal a cette mignone petite Elf qui est ma fille que je vien de retrouver, je te tue."

Elle avait une sorte de flame rouge au fond des yeux et elle sentait cette flame grandir a chacune de ses crise. Plus elle grandisait, moin l'ancienne Déesse se controllait.
Son attention revint se fixer sur sa fille et comme par magie, la flame momentanément disparut. Mais réaparaissait assitôt que son reguard ne la fixait plus.

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Message de Zaïne, fée.

La fée soupira dans les bars de sa mere et se dégagea. Ansi elle preferait rester avec elle et enduré Ulquiorra plutot que de s'en séparer.
Ensuite Zaïne écouta ce que son pere lui disait. Et plus il parlait plus elle se mortifiait. Il ne pouvait pas lui faire ça! Cela était immoral! Un jour il disait qu'il l'aile et l'autre jour il fallit qu'elle la combatte. Il se trompait de cible et sa mère en était conscicnete tout aussi bien qu'elle. La déesse se facha soudain et tordit le poignet de son pere en lui cassant une côte.
La jeune fée se savait quoi dire. Il ne pouvait pas. Sa fille n'atit pas son enenmie. Mais il avait fait son choix. Elle devait maintenant assurer les conséquences de ses actes. Baissant la tête elle émit, d'une faible voix:
-Si c'est ton choix... Je ne peux pas le contester. Mais si tu me tue lors du combat tu n'honoreras pas ton gage envers moi. Et tu deviendras ton propre ennemi.

Zaïne lui prit le bras et lui montra la cicatrice de la promesse qu'il avait fait lorsqu'elle avait appris que c'était son pere. Il ne le savait pas encore mais elle savait ce qu'il avait fait. Elle l'avait vu.
Alors, se tournant vers sa mere elle hocha la tête la tête et lui répondit:
-J'en ai marre de tous cela. J'ai envie d'arreter de tout encaisser! Je pars.

Se tournant vers la sortie elle s'envola dans les airs et disparut. Elle était parti pour fuir ce qui l'as blessait. Elle ne voulait plus qu'une chose à présent. Retourner auprès d'Ulquiorra. Plus que jamais, son père l'avait convaincu. Il fallait qu'elle choisisse. Et elle avait pris sa résolution. Elle voulait vivre heureuse tant que la mort ne la toucherait pas. Et ce moment arriverait pus tot qu'elle le souhaitait. Alors elle ouvrit la porte se tourna une derniere fois vers ses parents, désemparés et sortit s'envolant dans les airs pour faire une dernière chose remercier une derniere personne avant de passer dans l'ombre.

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Message de l'elfe nommé "Le Vétéran".

Ses côtes souffraient le martyre mais il n' y pensait qu'à peine, et pu dire ces quelques mots pendant que la porte s' ouvrait:

"- Je serais à Astria dans quelques jours, et je commencerais par ce démon, ou je finirais par la mort dès le début. Au revoir, ma fille...

Le Vétéran se laissa tomber sur un tabouret, en regardant la plaie de son avant bras où le sang séché ne voulait inexorablement pas s' effacer. Il tint ensuite le poignard dont le sang restait toujours frais malgré les jours passés, puis le rangea contre son cœur, tout comme Zaïne y résidait. L'elfe tourna un regard grave vers Aphrodia:

"- Pauvre enfant, chaque jour passe et je suis un peu plus son bouc émissaire, être immonde que je suis. Il est certain que ces souffrances ne continueront plus, car je pense vivre les dernières heures soit de ma vie, soit de mon âme, ou pire, de ma facette actuelle. Je n' ai plus qu'une destination: Astria, ville du dernier tournant de Zaïne..."

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Message d'Aphrodia, ex-déesse.

Aphrodia laissa sa fille partir et ne répondit pas aux remarques de l'elfe. Elle ne put que tomber dans un profond sanglot et y noya son âme. Comment pouvait elle pleurer, elle la déesse du plaisir de la joie ......... Depuis qu'elle avait rejoins les mortels, elle changeait radicalement. Elle qui au par avant aurait sans aucun remord, juste pour s'amuser fait se rejoindre amoureusement deux ennemis. Elle maintenant croyait en l'amour. Chose insensée venant de la déesse de l'amour. Elle sait que c'est elle enfait l'amour mais elle était là maintenant et seul la nature pouvait maintenant se charger de ce sentiment si volatile et imprévisible. Un sentiment si fort que même elle qui en possédait le pouvoir avait cessé d'analyser. Elle se leva et sortit pour errer dans ce monde qu'elle ne comprenait plus.

Prête à découvrir. (Zaïne -Aphrodia - Le Vétéran)

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