Madhin était à Palina, sous demande de certains agriculteur voulant améliorer la protection des champs et la production. L'homme dans la trentaine était arriver avec son tigre dans une de ces mains et regardais les récolte. Si certain légume avait pousser, d'autre ne semblais vouloir rien savoir et restais petit. Madhin demanda où était les éléments de défencent qu'il avait fais fournir à ces hommes et femmes devouer.  Quand il apprit qu'ils étaient un peux n'importe où, il demanda l'arrêt des travaux obliguatoire et place avec de quoi écrire,dessiner et faire des plans. Il alla dans la maison d'un homme asser ager qui continuait depuis des années son travaille. Il écrivit sur ces papier quelque note,avant de demander à l'homme d'aller lui trouver les plans exact des emplacements de piège et des légumes. Il continua en écrivant se qu'il savit, et environ 20 minute plus tard, il avais se qu'il avais de besoin.Il put, en regardant comme il faut et faisant des liens, que  un des pièges semblaient nuir à la plantaison , en effet, chaque plan près de se piège poussaient très mal. Le piège était plein de petit morceau de métale enduit dans le poison. Évidemment! Le poison devait sûrement s'infiltrer dans les plantes et les tuers de l'intérieur. Il avertit immédiatement le chef de champ, qui fît enlever avec précaution le poison. Madhin dut encore travailler, cette-fois,pour trouver qu'elque chose pour le remplacer et en plus pour renforcer la sécuriter, parce que semble t-il, certains plans de tomate et de maïs ont été voler et piétiner, et se sont les légumes qui se vendent mieu dans cette région. Madh demanda de recevoir les morceaux avec le poison dans des sacs. Il alla chercher de quoi faire des épouventailles et les mîts dans les champs. Il epliqua aux paysans qu'ils devront mettrent le poisoin sur les épouventailles, mais pas sur le bois qui les retiens pour ne aps re-contaminer le sol et les plantes. Les paysans le fîrent, et toud allèrent se coucher. Le lendemain, trois cadavre ont été retrouver près des épouventaille pièger. Madhin se fît un double du plan, salua les villageois et partît ,avec des fruits donner par les travailleur.