Un vieux souvenir... (Tsonerof - Zaïne)

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Message de Tsonerof, humain.

Les derniers ennemis se fessait tuer, les derniers cries de guerres retentisse, les larmes de souffrance des hommes coulées sur les joues.
Il marchait lasse de la bataille, trop de sang avait couler pour une et même personne. Un soldat ennemis blesser gisait sur le sol, criant de souffrance. L'elfe appela des brancardiers pour soigniez le soldat, il dit alors à haute voix de soigner tout les souffrants qu'il soit avec le démon ou avec l'alliance.
Il n'aurait jamais du avoir de guerre, c'est une terribles peste qui décimes des peuples et des familles complète, ayant appris pour la mort de son plus chère amis, il étais triste, très très mélancolique. Il décida d'aller dans le château de se grand démon, il n'y alla avec aucun soldat, seul pour se reposer. Il prévint quand même Noxx au passage avant d'entrer dans les couloirs de se grand bastion.

Les pas de seigneur elfe résonner dans le couloir, pensant à de nombreuse chose, il se disait qu'il allais établir l'armée des marches-mort ici, à Astria, pour un avant poste des armées de l'alliance, en cas d'invasion. Mais il se dit aussi qu'il ne resterais pas ici, il repartirais chez les elfes, et ne soulèverais ses armes quand grande nécessiter, la mort de bien trop de monde l'avait affaibli, il avait besoin de chose plus tranquille, la pêche, la cueillette des fruits de saison, l'agriculture. Il s'y mettrais, reprendrais son poste de seigneur ou il l'avait laisser et aiderais ses paysans au travaille des champs. Il chercherais la paix principalement et le repos, les ballades en forêts accompagné d'autre elfes l'avait manquer, il y a si longtemps de ça.
Il se rappela d'un vieux proverbe utiliser par des sages quand il était encore agé que de 20 ans [âge très jeune chez lui], se proverbe disait clairement:

"Faite l'amour, pas la guerre"

Et il n'avait pas tort, a cause de ça, il avait perdue son meilleur amis et plus fidèle allier.
Ses penser le tourmenter, il s'assit alors sur le trône du démon il commença à s'endormir. Au bout d'une petite heure il se réveilla difficilement et senti une présence étrangère, voulant porter la main sur la garde de son épée, son membre ne rencontra qu'un bout de tunique, il avait laisser toute ses armes au camp, il étais alors seul et désarmer face à un ennemi ou peut être un allier...

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne était descendue sur le champ de bataille pour mesurer les pertes tout en restant invisible. Marchant dans le sang parmi les nombreux morts et les blessés elle maudissait Ulquiorra d'avoir lancé cette guerre. Mais à présent il était trop tard et l'amour qu'elle éprouvait pour le démon trop puissante pour être anéanti par une guerre. S'envolant légèrement elle regardait horrifié le bain de sang dans lequel elle trempait. C'avait été une véritable boucherie et Zaïne eut envie de vomir. Se retenant elle continua triste l'étude des morts. Mais alors qu'elle continuait d'avancer elle sut qu'elle ne pourrait en supporter d'avantage. Elle prit alors son élan et partit dans les airs ce qu'il était advenu d'Astria. Il y avait encore quelques affaires à elle qu'elle aurait aimé récupérer. De vieux souvenirs et des plus récents. Malheureusement la tour avait été prise d'assaut. Elle allait devoir être discrète. S'avançant invisible elle passa par la fenêtre de sa chambre, resté ouverte, depuis qu'elle était passé à travers pour rentrer. Alors qu'elle fouillait parmi les différents objets, se demandant ce qu'elle allait prendre ou non. Son choix fait, ses effets personnels pris elle ne voulu pas partir comme une voleuse. Elle ne savait même pas où se trouvait Ulquiorra en ce moment. Soudain inquiète à son sujet elle se précipita en salle du trône. Il devait se trouver là, attendant sa mort ou sa victoire. Mais le lieu venait d'être pris et il devait être en train de se battre. Elle courut à travers les couloirs bousculant des guerriers en s'en moquant. Elle courait invisible et arriva devant la salle du trône. A l'intérieur pas un bruit. Seul le silence régnait. Cela ne pouvait signifier qu'une chose. Il n'y avait pas, en ce lieu de combat. Ne sachant si elle devait s'en réjouir ou non elle ouvrit la porte. Lentement. Jetant un coup d'œil à l'intérieur elle ne vit pas le démon. Non. Elle vit un homme, en train de se réveiller sur le trône de son amant. Mais le corps d'Ulquiorra n'était pas visible. Alors qu'est ce que ça signifiait? Zaïne s'avança de l'humain et distingua Tsonerof. Elle l'avait déjà croiser auparavant. Ce n'était pas un mauvais homme mais il lui devait des réponses.
Prenant une dague, la femme se rapprocha de lui et le regarda droit dans les yeux pour lui demander sans aucune pitié dans la voix:
- Tu vas me dire où est Ulquiorra. Mais n'espère pas ma pitié si tu l'as tué!

Posant lentement son arme contre la gorge de son adversaire elle prit un air menaçant et attendit sa réponse.

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Message de Tsonerof, humain.

La personne étrangère n'était autre que Zaïne, "l'ami" de Ulquiorra, elle s'approcha alors de lui, une dague à la main, elle lui posa une question distincte, demandant où était ce démon se croyant supérieur à tous. Je n'avait d'autre choix de lui répondre, mais la fatigue m'envahisse et un sentiment de faiblesse grandissant dans mon cœur me fessait valser, manquant de m'évanouir à chaque seconde je lui dit alors d'un ton tremblant, calme et doux:

"Alors, comme ça tu es devenue une démone... je te croyait plus loyal enver ton peuple, j'ai beau avoir l'apparence d'un homme je suis très vieux, et je suis un elfe, je me suis battue pour eux toute ma vie, et contre n'importe quel prix je n'ai jamais abandonner mon peuple ! M'enttentue Zaïne ! Crois tu me faire peur avec ton cure-dents ? Je ne sais pas où est ton amant, je suppose que tu... raaah ! Cela me dégoute"

Il se leva difficilement et chancelant il s'avança, il marcha difficilement jusque à un pilier, s'appuyant dessus il regarda la démone et dit:

"Si tu veut me tuer, c'est le moment. Un occasion comme celle là ne se représentera pas, le jour où Tsonerof à perdue toute force..."

Il s'effondra sur le sol, les larmes au yeux, le cœur gros:

"Tout se si est de ma faute, Snory mort ! Les elfes aussi ! Pourquoi ! Pourquoi c'est maleurs ?!"

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne furieuse semblait fusiller du regard l'homme mais lorsqu'elle entendit sa voix calme et douce elle baissa son arme et l'écouta parler:
"Alors, comme ça tu es devenue une démone... je te croyait plus loyal enver ton peuple, j'ai beau avoir l'apparence d'un homme je suis très vieux, et je suis un elfe, je me suis battue pour eux toute ma vie, et contre n'importe quel prix je n'ai jamais abandonner mon peuple ! M'entend tu Zaïne ! Crois tu me faire peur avec ton cure-dents ? Je ne sais pas où est ton amant, je suppose que tu... raaah ! Cela me dégoute"

Fronçant les sourcils face à la dernière allusion la jeune femme laissa Tsonerof se lever et partir. Il était vraiment en piteux état et semblait très faible. Celui-ci s'effondra au sol et émit encore quelques paroles:
"Si tu veut me tuer, c'est le moment. Un occasion comme celle là ne se représentera pas, le jour où Tsonerof à perdue toute force... Tout se si est de ma faute, Snory mort ! Les elfes aussi ! Pourquoi ! Pourquoi c'est malheurs ?!"

A son tour Zaïne s'affaissa au sol, devant le trône, s'adossant dessus. Pendant plusieurs minutes elle ne fit rien, respirant a peine, une larme . Puis elle se releva et s'allongea à côté de Tsonerof lui répondit:
-Mon peuple n'as jamais été celui des elfes. Mes parents m'ont abandonnée chez les hommes. J'ai vécu chez eux. Je n'ai aucun lien avec vous ne serais-ce que physique. Et je n'ai pas rejoins les démons par envie. Je me suis fait tuer. Et il y a Soren.. tu le connais? il a décidé de me ressusciter. Mais je suis devenu une démone. Voila le prix que j'ai payé. Et avec Ulquiorra je n'ai pas vécu que de bons moment. Au contraire. C'est l'une des dernières personne à lequel je tiens. Et je ne sais pas ce qu'il est devenu, tu comprends? Je ne veux pas le perdre. Je ne sais pas qui est ce Snory. Mais tu as l'air d'y tenir énormément. Et maintenant il est mort, tu ne peux plus rien faire. Alors que moi j'ai encore la chance de changer quelque chose à ce qu'il va se passer pour Ulquiorra! Laisse moi cette chance. Je ne veux pas qu'il meurt!

Tournant sa tête vers lui elle sourit, malgré les larmes qui coulaient, nombreuses sur son visage. Se relevant elle s'assit à côté de lui et essuya ses larmes. D'une voix amère elle lui dit:
- La faute n'est pas la tienne. C'est Ulquiorra qui a commencé cette guerre et commencé le massacre. Je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Mais il n'est jamais assez tard. Ne perds pas espoir. Jamais.

Un sourire sincère illumina le visage de Zaïne qui compléta:
-Je vais changer les choses. Autant que je peux. Les elfes, à partir de maintenant peuvent compter sur moi. Si tu me fait la promesse de ne pas te perdre en remords.. et de ne pas vouloir te tuer ou disparaitre. Reste celui que tu es. C'est ta destinée!"

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Message de Tsonerof, humain.

Quand il commença à parler, la jeune femme se calma, et l'écouta alors, baissant son arme, après ses paroles elle dit d'un ton doux et calme:

"Mon peuple n'as jamais été celui des elfes. Mes parents m'ont abandonnée chez les hommes. J'ai vécu chez eux. Je n'ai aucun lien avec vous ne serais-ce que physique. Et je n'ai pas rejoins les démons par envie. Je me suis fait tuer. Et il y a Soren.. tu le connais? il a décidé de me ressusciter. Mais je suis devenu une démone. Voila le prix que j'ai payé. Et avec Ulquiorra je n'ai pas vécu que de bons moment. Au contraire. C'est l'une des dernières personne à lequel je tiens. Et je ne sais pas ce qu'il est devenu, tu comprends? Je ne veux pas le perdre. Je ne sais pas qui est ce Snory. Mais tu as l'air d'y tenir énormément. Et maintenant il est mort, tu ne peux plus rien faire. Alors que moi j'ai encore la chance de changer quelque chose à ce qu'il va se passer pour Ulquiorra! Laisse moi cette chance. Je ne veux pas qu'il meurt! La faute n'est pas la tienne. C'est Ulquiorra qui a commencé cette guerre et commencé le massacre. Je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Mais il n'est jamais assez tard. Ne perds pas espoir. Jamais. Je vais changer les choses. Autant que je peux. Les elfes, à partir de maintenant peuvent compter sur moi. Si tu me fait la promesse de ne pas te perdre en remords.. et de ne pas vouloir te tuer ou disparaitre. Reste celui que tu es. C'est ta destinée!"

C'est paroles remontére le moral de Tsonerof qui dit ensuite:

"Je suis de tout cœur avec toi, je doit empêcher le meurtre de Ulquiorra, il aura l'exile, je ferais tout mon possible pour ça, il faudrait savoir où il est en se moment... Ton père c'est Le Vétéran ? J'en suis sur, j'ai déjà entendue parler de toi il y a longtemps, par contre ta mère je ne sais pas qu'y sais par contre ? Je crois que j'étais général des armées humaines quand tu étais chez les humains ? Tu n'doit pas être très vielle... Cherchons ton démon a présant je pense qu'il combat ton père, il m'avait parler de ça avant la bataille..."

Il se leva difficilement et pris une lance de bois, s'en servant comme canne il avança dans les coins de la pièce cherchant une sorti dissimuler...

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Message de Zaïne, fée.

Zaïne était resté sur le sol lorsque l'homme parla et le regard triste ressassait le passé. Mais celui-ci avait retrouvé du courage et encouragea la démone à se relever. Cependant celle-ci venait de réaliser que son père combattait son amant. Malgré la promesse que le Vétéran avait fait, il était prêt à perdre sa vie pour ce combat. Soupirant, une larme coula sur la joue de la femme et elle s'envola dans les airs. Il n'y avait qu'un endroit où ils auraient pu aller. L'endroit où tout avait commencer. Et où tout finirait.
Attrapant Tsonerof par le bras elle lui dit d'une voix lasse:
-Ne cherches pas ici. Cet endroit est trop petit et n'est pas assez bien construit pour résister à leur combat. Il n'y a qu'un endroit où ils ont pu aller. Pour marquer une fin mémorable. La prairie fleurie.

Détournant son regard de l'homme elle lui annonça:
-ils ont du partir par un portail. Et c'est bien trop long d'y aller à pied où en volant. Nous n'arriverons jamais avant la fin de combat.

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Message de Tsonerof, humain.

La démone le pris alors par le bras et l'emporta dans les aires lui disant :

"Ne cherches pas ici. Cet endroit est trop petit et n'est pas assez bien construit pour résister à leur combat. Il n'y a qu'un endroit où ils ont pu aller. Pour marquer une fin mémorable. La prairie fleurie. Ils ont du partir par un portail. Et c'est bien trop long d'y aller à pied où en volant. Nous n'arriverons jamais avant la fin de combat."

Tsonerof eux une idée un peut folle et débile, il dit à la démone de le remmener au sol, et arrivé à terre il s'approcha des statues, touchant chaque endroit, ne marchant pas il déplaça des tableaux représentant diverse chose, pour finir par les bibliothèques
Regardant les livres il s'arrêta sur un des nombreux et vit qu'il n'étais pas couvert de poussière noire comme les autres, il le pris dans ses mains mais il glissa tombant sur le dos. Un vent puissant fit tourner les pages s'arrêtant sur une pages.

"Oula ! C'est un coup de Eru ça !"

Il lisa alors la page écrit en ancien langage, le noire apparue, Zaïne et Tsonerof étaient alors d'un un endroit noire sombre, l'impression de vitesse se fessait ressentir, soudain il furent lâcher à 1 m ou 2 du sol et tombèrent sur un sol vert d'herbe fraiche.
Il regarda alors devant lui et vit à 500 mètres les deux adversaires se faire fasse:

"Faut les arrêters ils n'ont pas encore commencer, quoi qu'il en coute... Il vit aussi un homme sur une colline, il le reconnaissait ! C'était Cratéros son Maître d'armes ! " (^^)

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