La mort... Un bon parti ? (Tsonerof - Miya)

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Message de Tsonerof, humain.

Il marchait depuis quelques heures, avais déposé toute ses armures, et équipement de guerre au dépôt d’arme. Murof se fessait toujours soignez. Equiper d’un habit discret pour se fondre dans le paysage avec une capuche rabattue sur le visage, un tissus lui recouvré le visage ne laissant apparaître que ses yeux et quelques mèche de cheveux. Il porter l’épée de son père sur le côté et sur son dos se trouver son arc débander ainsi que des flèches. Décider de partir, il n’avait rien pris avec, même pas Murof, pas de compagnie de n’importe quel sorte. C’était la fin de Tsonerof le prince elfique… Tsonerof Sombrelune le rôdeur du Nord, voila son nouveau nom, laissant son ambassadeur gouverner Astria. il avait laissé pour Fanala une lettre contenant des informations sur lui ainsi avait t’il laisser c’est mots :

Fanala Eliana,

Je suis responsable de nombreux massacre entre autre à Astria,
Et dans le village de Palina. Etant le chef entièrement des Marche-Morts je prendrais,
Tout châtiment à la place de met soldats. Je par mais mon épée qu’y est rester au dépôt est Pour toi elle ne sera pas aisément maniable, Protége la du mal. Occupe toi aussi de mon Renard, se sont les dernières recommandations que je te fais tu gouverne le peuple avec une Bonne poigne, longue vie à toi. Sache que je me ferais passer pour mort et si jamais, tu as Besoin de moi, je serais là. En attendant j’espère que aucun ennemis viendras sur ton pays, j’en assurerais moi-même les frontière seul.

Tsonerof Sombrelune, Rôdeur du Nord

Il voulait revoir un endroit qu’il avait vu il y a un certain temps, où son père avait mit le pied sur cette terre depuis longtemps…
L’aire était sèche, les oiseaux s’envolaient tous, les branches cassées. Il n’y fit pas attention, concentres sur son chemin long, il lui rester une demi dizaine de lieux avant de sortir de la forêt. Un sifflement rapide se fit entendre et une flèche se planta dans la terre juste devant le pied de Tsonerof, reconnaissant les flèches il vit que c’était une flèche visiblement d’humain. La deuxième flèche finit dans son mollet droit et une dans son flan gauche. Il allait sortir son épée quand deux flèches se plantèrent dans son bras.
« Alors, ma fin est comme ça » dit il du sang dans la bouche, Sortant son épée avec l’épée gauche il fonça sur un adversaire repéré, enfin fonça, à vrai dire il rampait presque, car deux autres flèches se plantèrent dans son dos, alors qu’il allais asséner un coup sur l’homme, il senti un objet douloureux le transpercer et vit le bout d’une rapière sortir de son ventre, il perdit connaissance mais pour une raison obscure ne mourus pas, se qu’il regretta amèrement pendant quinze jours il étais allonger, et n’appela personne à l’aide, même Murof, qui lui avait ressenti le mal de son maître, mais il lui avait interdit de venir.
*Protége les elfes quoi qu’il en coûte Murof ! Tu m’as compris !
-Mais…
-Pas de mais, fait le !
-D’accord Tso*
La tristesse du renard se sentais dans ses paroles, même mental on voyait qu’il tenait à son maître mais lui obéissais coûte que coûte. La mort ne le pris pas, pourtant il resta encore 3 jours sur le sol, il plue quelques fois dans la journée se qui le désaltérer mais il avait encore toute les flèches planter sur lui, et les bandits ne lui avait rien pris.
« Quand vais-je enfin mourir ! Prenez moi, je veux mourir !!! »Dit il avec le peut de voix qu’il lui rester, il perdit connaissance sur le sol, gisait son corps, sortant toujours de sa bouche et de son nez une faible respiration. La mort ne le prendrais sûrement pas, il avait encore trop à faire dans se monde et les dieux lui vouez un intéressement certain, qu’il aurait reniez si il le pouvais mais il ne le pus.
Dans son rêve, des personnes lui parler calmement, disant qu’il ne devait partir et qu’il devait rester chez les elfes, mais lui refusait et insister pour qu’on le laisse vivre à sa guise. Tout devin noire, et Tsonerof eu du mal à ouvrir les yeux.

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Message de Miya, fée.

Miya se leva se matin si aussi tôt que d’habitude. Elle commença par s’habiller, puis elle se coiffa, prit son petit déjeuner, se lava les dents. Lorsqu’elle fût prête, elle sortit du royaume, et courut jusqu’aux portes de la ville. De là, elle réussis à sortir facilement, vu tous le monde qu’il y avait. Elle se promena dans la forêt. Enfin, Miya entra dans une partie de la forêt qu’elle n’aimais pas beaucoup entrer. Mais de toute façon, elle s’étais dit qu’elle allait tous droit, sans s’arrêter, suaf pour cas spécial. Elle était en train de chanter un doux poème en Elfe antique, d’une voix magnifique, dansant tous en avançant, lorsqu’elle repéra quelqu’un. Elle poussa un petit cri de surprise,e t courut jusqu’à la personne. Elle remarqua facilement que cela faisait un petit moment qu’il était là. Elle entendit une branche se cassait, elle tourna la tête vers le bruit, et vit que ce n’étais qu’uhn oiseau charognard qui attendait la mort du jeune homme. Miya s’agenouilla près du jeune homme, et son visage lui disais quelque chose. Tous en sortant une fiole avec une infusion magique guerissante dedans, elle demanda doucement :

-Bonjour, vous m’entendez ?

Lorsqu’elle eu sortit la fiole, elle retira les flèche de façon que cela fasse le moins de douleur aux jeunes hommes, enfin, elle lui donna l’infusion à boire. Les plaies ce cicatrisèrent un peu, et remarqua que le jeune homme devait avoir faim. Elle lui posa la question, et attendit.

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Message de Tsonerof, humain.

Depuis bien longtemps il l’attendait, la mort divine, apparemment elle ne viendrais pas, au lieux de ça les dieux avait envoyiez une elfe, la princesse elfe. Quel idée avaient ils encore, difficile de le savoir. Il était trop faible pour distinguer se qu’elle fessait, apparemment elle lui administrer des soins, retirant ses flèches plantées a de multiple endroit de son corps, il ne sentie pas la douleur, trop occuper par son états faible et déplorable, il ne devait pas apparaître devant une si haut personne ainsi démuni et dans un si pitoyable physique. Surtout qu’il ne ressembler plus du tout à un général d’armée mais à un de ses rôdeurs dunedain protégeant les pays des petits-gens comme il avait entendue dans un très célèbre conte connus sous le nom de « Le Seigneur des Anneaux ».
Elle lui fit boire une potion qui lui redonna quelque peut de force, sa seul présence lui avait étrangement redonner du moral. Voyant clairement il pu distinguer les traits fin de l’elfe, ces beaucoup cheveux long, la rendant irrésistible, par toute les personnes qu’il avait vue au par avant, c’était bien elle qui l’avait le plus marquer, il n’avait eu qu’un cour moment pour l’apercevoir entre les guerres et les cavales forcées. Aurait t’il trouver une raison de vivre ?... Non, il n’était que prince, et même par son vielle âge, il ne pourrais épouser la sœur de la reine. Il avait beau être respecté et honore par les elfes en tant que soldat, il s’avait bien que le peuple n’aimait pas les bâtards de sa race. Et puis déjà, il ne devait pas penser à ça ! Elle l’avait sauvé parce qu’elle avait un bon cœur rien d’autre ! Il ne faut pas se faire de fausses idées qui pourraient nuire encore plus à son moral déjà bien détériorer. Quand elle parla alors d’une voix mélodieuse et envoûtante en posant une bref question lui demandant si il l’entendez, pour sur qu’il l’entendais. Comment ne pas l’entendre, il se le demander bien, il s’assit alors et dit alors du mieux qu’il pouvait « Oui, je vous entend, mais Vous ne devriez pas être ici jeune demoiselle, si les pillards qui m’on agresser étaient encore là je n’ose penser quel sort ils vous auraient réserver. Ne devriez vous pas être dans le palais et protéger de vos gardes. Vous ne devez en aucun cas sortir de vos appartement, imaginez qu’il vous arrive malheurs le chagrin de la reine serais inconsolable et… »
Il s’était arrêter de parler, ayant croiser son regard, un sourire illumina son visage lugubre et tacher de quelque goûte de sang et débris de terre. Comprennent qu’il devait lui faire un sermon qu’elle devait entendre à longueur de journée, il n’avait pas cette habitude de sermonner les gens sur leur devoir et les risques qu’il encourait à sortir de leur protection, il fessait exactement la même chose quand il été encore très jeune, « foutre le camp pendant des jours » lui arriver souvent. Mais il s’était toujours cultiver et savait fort bien se battre.
Regardant son corps svelte il voyait qu’il prenne peut à peut les formes féminines très attirante et dit sur un ton d’humour « J’vous embête bien avec tout ceci hein ?! Sachez que, le protocole, je m’en moque beaucoup et en temps normal je ne vous aurez jamais fait de reproche sur ça, je vous aurez juste mit en garde… Merci beaucoup de m’avoir sauvé la vie, même si j’aurais voulu mourir… »
Il pris sa main et y déposa un doux baiser disant « Je suis Tsonerof Sombrelune, Prince elfique, et aussi Chef des Marches-Mort, et il y a longtemps, Général des armées Humaine et Chevalier de l’ordre d’Emeraude, du quel je fait toujours partie, Sujet très proche de Aernologeth ancien roi d’Espalion maintenant décédé, et je vous fait toute met éloge, si je vous dissez tout met titre on en prendrez toute une journée. Je puis vous dire que vous êtes devenue bien belle, depuis la première fois que je vous est vue, rapidement, du coin de l’œil il y a longtemps a vrai dire… »
Les beaux yeux de la jeune elfe, d’un bleu somptueux était magnifique à contempler. Espérant que rien au monde ne viendrais le déranger, pas même un ennemi ou l’a mort de quelqu’un.
Il reçu un message télépathique de Murof lui disant .
*Toi, y a une sensation de bonheur qui t’envahi j’le sens !
-Murof ! Arrête de lire met penser ! Et d’analyser mon cœur, va draguer une dragonne !
-Oh ! Monsieur s’énerve et …*
Tsonerof lui coupa alors le lien télépathique qui les unissait avec un sourire moqueur, le gardant pour lui-même, il ne le révéla pas sur son visage…

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Message de Miya, fée.

Miya attendit que l’inconnu réagisse à ses paroles, puis elle le vit se relever, s’asseoir et commençait à parler. Elle l’écoutait avec patience lui faire un sermont. À vraie dire, elle avait l’habitude de recevoir des sermonts, avec tous les gardes, les messagers de sa sœur, et tous cela. Au bout d’un moment, Miya sourrit, et ce moment était lorsqu’il parla de sa sœur. Et, bizarrement, tous de suite après, leurs regard se croisèrent. Miya regarda les beaux yeux verts de l’inconnu et son sourrire s’agrandit légèrement. Elle venait de se rendre compte qu’elle avait déjà vu cette personne. Le silence règnat, Miya regardait toujours l’inconnu. Puis il rompit le silence, et parla un petit moment, puis prit la main de Miya, y déposa un baiser et se présenta. Miya était étonnée de voir Tsonerof Sombrelune devant elle, lui dont beaucoup d’histoire dont il était un des pesonnages les plus important lui avait été racontées, à Miya. Elle n’en revenait pas, mais écoutait tous de même la fin du dialogue. Ensuite, Miya aperçut Tsonerof qui parler sans doute mentalement avec quelqu’un, puis celui-ci rompit sans doute le lien. Et c’est à partir de se moment que Miya commença à parler d’une voix mélodieuse :

-Bonjour à vous Tsonerof Sombrelune, je suis Miya Eliana, et comme vous l’avez remarqué, je suis la sœur de la reine des Elfes et des Fées. Je suis honorée de vous avoir sauver la vie, et je m’étonne que vous vouliez mourir. Je sais beaucoup de chose sur vous, tel que vous n’êtes pas un Elfe complétement, je veut dire qu’un de vos parents n’était pas Elfe, mais certainement pas tout. Et d’ailleurs, cela ne me gêne pas que vous n’êtes pas cent pour cent Elfe, vous êtes comme vous êtes. J’ai remarqué que vous avez beaucoup de titre, et vous m’envoyez ravis, dites moi si je peut faire quelque chose pour vous, et j’essayerais de le faire. À près tout, vous êtes un héro, et moi, qui suis-je comparé à vous ?

Miya s’arrêta de parler. Les dernières paroles résonnèrent encore un epu dans la forêt. Miya se demanda si les brigands qui avaient attaqué Tsonerof étaient toujours là, mais elle n’osa pas tourner la tête. Elle regardait Tsonerof, elle l’aimait bien. Mais était-ce seulement aimer-bien ou plus fort encore ? Elle ne savait pas mais de toute façon de voulait pas rompre ce moment. Miya se demandait aussi ce qui était arrivé à Tsonerof, car elle ne savait pas qui l’avait attaqué, enfin juste des brigands mais il pouvait avoir d’autre expliquation,et pourquoi il était là. Le doux vent faisait danser les cheveux de Miya derrière et légèrelment devant son visage, augmentant encore sa beauté. Le contact avec la main de Tsonerof était merveilleux, elle était dans un bonheur complet. Miya se demandait pourquoi Tsonerof voulait se tuer, et elle voulait pas qu’il meurt, sans savoir trop pourquoi, sans connaître la raison donc. Elle savait juste qu’elle pourait se sacrifier pour qu’il ne meurt pas.

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Message de Tsonerof, humain.

Le silence régnait dans la forêt seule, le doux bruissement des arbres. Des oiseaux voler dans le ciel bleu, et sans nuage. Un jour beau, un jour bon, un calme après la tempête. Les animaux se cacher pour certain dans leurs cachettes, d’autre chasser. Les ecureille se balader d’arbres en arbres fessant bouger les branches.
Enfin, Tsonerof ne se préoccuper pas, toute ses intentions étaient concentrés sur Miya, mesurant la profondeur de son regard, ses traits, l’ondulation de ses cheveux. Sans l’avoir vraiment fait exprès il tenait toujours dans sa main la main de la jeune princesse. Quand elle lui parla d’elle, il l’écouta attentivement et quand elle dit « À près tout, vous êtes un héro, et moi, qui suis-je comparé à vous ? » , il la regarda attentivement et lui dit d’un ton certes amicale : « Vous êtes d’une caste bien supérieur à la mienne, plus important que moi. Un Héro, moi. J’ai fait beaucoup de chose mais un Héro ne faiblit jamais, se bat bravement contre des ennemis en supériorité numérique et surtout : N’est jamais atteint à sont Moral. A vrai dire, si je voulais me donner la mort, c’est parce que ma vie est constituer de bataille, jamais de repos et j’ai perdu le seul ami que je respectais : Snory… »
Une larme coula sur son visage, il allait éclater en sanglot mais se repris. Sans se contrôler plus il se retrouva dans les bras de la jeune elfe. Les larmes coulants sur ses joues, se comportement n’était digne d’un chevalier, n’y d’un guerrier, même d’un noble. Mais ça n’avait plus trop d’importance. Il se sentais bien dans ses bras, voulant que ça dur le plus possible… Mais son devoir l’en empêcha et il se releva, les yeux rouge et dit « Se…se n’est pas un comportement digne de moi, excusez moi. Je n’aurais pas du… »
Il se sentais gêné d’avoir exprimer ses sentiments clairement…
« Snory était un nain brave, audacieux et courageux. Loyal, aussi. Je lui doit la vie, mainte fois il ma sorti de pétrin. Un allier comme celui-ci on en trouve pas à tout les coins de rues… mais c’est plutôt à moi, de vous dire… Si vous avez besoin d’un homme de bataille, un protecteur, un allier, tous se que vous voulez… Je viendrais vous aider, rarement j’ai accordé cette aide. Sauf à met soldats et à votre Sœur, en qui je doit un totale respect… »

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Message de Miya, fée.

Miya regardait droit dans les yeux de Tso. Elle n’entendait même pas les quelques écureuils qui sautaient d’arbre en arbre à la recherche des noisettes en bougeant les branches donc en faisant du bruit, qui été rajoutté au bruti des oiseaux battant leurs ailes mais restaient perchés. Le soleil était d’un azur magnifique.
Mais même avec cette beauté du paysage, Miya regardait toujours Tsonerof tous en parlant. Puis, il répondit lorsqu’elle avait finit sa dernière phrase. Une larme coula le long de la joue de Tsonerof, qui se retenait, mais sans le vouloir il se jetta dans le bras de Miya et pleura. Miya était contente de se rapprochement, son cœur battait plus vite. Elle se sentait bien dans ses bras, et ne savait pas si s’était la même chose pour Tsonerof. Puis, sans doute le devoir qui l’obligea, Tsonerof se releva les yeux rouge, et demanda pardon. Puis il continua a parlait, et lorsqu’il eu finit, Miya se leva aussi et dit d’une voix douce, tout en essuyant les larmes de Tsonerof :

-Ne vous inquiétez pas, tous le monde a le droit d’être triste un moment ou un autre. Et puis c’est dûr de perdre son meilleur ami. Ne vous excusez pas. Je vous remercie pour ce que vous me proposez.

Miya se rapprocha doucement, et, sans le vouloir, embrassa légèrement Tsonerof. Elle le trouvait si beau.

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Message de Tsonerof, humain.

Etre avec cette fille, c’était très réconfortent, il se sentais bien et heureux. Ne voulant jamais que ça finisse…
Sa nouvelle amie était d’une beauté rarement égaler, Tsonerof n’en avait pas vue d’aussi belle depuis le début de sa vie. Il ressentait pour elle un sentiment de compassion, qu’il n’avait jamais eux au par avant, rare était l’occasion de le captivais autant. Lui qui n’avait jamais pris le temps de s’attarder sur les femmes. Celle la lui plaisait bien, mais elle devait être déjà promise à un autre seigneur…
Cette dernière fessait une tête de moins que lui, avait de beaux cheveux blonds, un corps féminin très attirant.
Elle lui dit qu’il n’avait pas besoin de s’excusez et quel accepter ses services. Puis elle lui déposa un doux baiser sur les lèvres, il en fut d’abord étonner. Ne s’attendant pas à une telle situation. Comprennant soudainement les sentiments qu’il éprouvais pour la prinsses il lui rendit son baiser. Mais se retint et ne peut que dire !

« Je…je ne peut pas… Si votre sœur vient à le savoir, son courroux serait imprévisible… je ne veut pas vous mettre dans l’embarra et vous devez déjà avoir des prétendants… »

Il l’aimais c’était maintenant sur mais il ne pouvais se permettre de lui prouver son amour…

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Message de Miya, fée.

Lorsque le contact de ces lèvres et ceux de Tsonerof commencèrent, Le Vétéran comprit enfin. Le Vétéran venait de comprendre qu’elle ressentait quelque chose pour Tsonerof, qu’elle l’aimait. Lorsque Tsonerof rompit le lien, elle avait vécu le meilleur moment de sa vie, le moment le plus heureux. Mais lorsqu’il lui dit ses paroles, son cœur se rompit, elle avait le sentiment d’être abandonné, et cela était juste : pour elle, la seule personne qu’elle aimait ormis sa famille ne l’aimait pas. Enfin tous cela était son avis, car sinon, pourquoi refuserait-il ? Elle était trsite, de même, des larmes coulaient sur ses joux partant de ses yeux, et venaient tolber par terre, mouillé le sol pour être quelques secondes plus tard absorbée par celui-ci. Pour elle, tous cela n’étais que des excuses, et elle dit d’une voix tramblante et remplis de tristesse :

-Vous… pouv… pouvez… dire direc….tement que… vous ne m’aim….ez pas… En tous… cas je v…ous aim…es.

La tristesse avait pris le deçus, mais elle aimait toujours Tsonerof, et elle l’aimerais sans doute à jamais.

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Message de Tsonerof, humain.

Ce fut un moment doux en réconfortent, a cause de son devoir il avait du stopper se moment magnifique. La jeune princesse quand elle entendit ses mots devint triste, et le cœur de Tsonerof ressentie sa tristesse. Elle lui avoua alors ses sentiments. Elle pleurer et il ne pu se retenir plus longtemps. Il passa sa main sur sa nuque et l’embrassa tendrement, relâchent toute attention, relâchent toute méfiance. Il aurait pu se faire aisément poignarder par n’importe qui. Son amour pour Miya était plus fort que la raison et lui faisait perdre tout ses moyens. Son épée devait être à une vingtaine de mètres de lui mais il s’offrit à elle corps et âme. Le contacte de son corps lui était très agréable. Le contacte des lèvres chaudes était plus que réconfortant. Il voulais ne plus jamais avoir a faire la guerre et voulais restait à ses côté « Au diable le protocole, je veut restez avec vous jusque à la fin de ma vie qui n’en a pas, tout comme vous. Je vous aime… mais cessez donc de me vouvoyez »
Dit il avec un sourire amical, et ravie.
Il n’avait pas l’intention de revenir a la capital tout de suite et aller maintenant suivre cette princesse dans les plus horribles endroit, parce qu’il l’aimais…
Le soleil était haut dans le ciel, le vent souffler légèrement et fessait voler les mèches de son amie, au château on devait déjà se demander où était passer la jeune princesse, pour ne pas gâcher le moment il dit à Murof:
*Empêche les soldats de venir !
-Ok mais...*
Puis il recoupa le lien, Murof savait que son maître, ou plutôt ami n'aimais pas être déranger surtout dans se moment unique...

~~~Murof~~~

Murof était un hybride renard, aussi vieux, même voir plus que Tsonerof, ça il ne lui avait jamais dit. Traînant dans la ville, a peut près tout le monde savait que cet animal était l'allier et la monture du légendaire Seigneur Tsonerof. Tout le monde le respectais, il vu qu'il y avait un grand ra fut dans la garde avec des « Allons ! Il faut retrouver la princesse »
A se moment il reçut le message télépathique de son maître et compris tout de suite avec qui il était il alla donc devant les gardes, se transformant en dragon il dit « Laissez là ! Elle est en sûreté, sur ma parole… »…

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Message de Miya, fée.

Miya pleurait, la tête regardant le sol. Elle était triste, lorsque, soudain, une main chaude se posa sur sa nuque. Elle releva sa tête pour voir qui s’était lorsqu’elle vit Tsonerof s’avançait pour l’embrassais. Miya fût tout d’abord étonnée, puis réconfortée car elle savait désormais qu’il l’aimait réellement, et enfin heureuse, joyeuse. Elle espérait que rien ne gâcherait se moment joyeux, rien, même pas les gardes. Elle se disait que si une personne gâcherait se moment, il se retrouverait mort, ou gonisant avant d’vaoir pu dire « ouf ! ». Miya était heureuse, peut l’importer. Le soleil était haut dans le ciel azur pur sans défaut, sans nuage, le vent faisait danser les cheveux de Miya derrière et devant son visage, la rendant encore plus belle. Les oiseaux chantaient se moment heureux de leurs belles voix, tout en faisant frémir le feuillage de leurs ailes. Et tous cela, sans que Miya s’en rende compte. À quoi bon y prêtait attention si on vivait en se moment même le moment le plus heureux de sa vie ? À rien, cela n’aurait servit à rien. Même si un troupeau d’éléphant arrivait en courant jusqu’à Tsonerof et Miya, elle ne les entendraient pas, ce qui n’était tous de même pas très bien car si un danger arrivait, elle ne le verrait pas, elle ne le saurait pas. Tout en embrassant tendrement Tsonerof, son amoureux, elle se laissa tomber doucement en arrière, de sorte à ce qu’elle soit allongée le sol contre son dos, et que Tsonerof soit sur elle. Miya posa ses mains sur la peau chaude du dos de Tsonerof, en dessous de ses vêtements.[i]

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Message de Tsonerof, humain.

Le doux parfum se Miya était agréable, le contacte de sa peut était magnifique, plongeant ses yeux dans se de son aimé, d’un bleu magnifique il continua de l’embrasse. Sa peau était douce comme de la soie, son corps sylvestre l’entraîna alors sur le sol et il se retrouva au-dessus d’elle. Ces douces mains se posèrent sur son dos. Il continua de l’embrasser puis descendit plus bas et l’embrassa dans le cou. L’amour qu’il ressente pour cette fille était devenu en une heure même pas, sans limite. Il aurait pu tout faire pour elle. Contre elle, son corps était le sien, son épée était à son service, son amour serait gardé vivant pour toujours. Pourquoi il n’avait jamais pensé aux femmes, à l’amour même. Sa il ne le savais pas, sûrement a cause des guerres qui s’enchaînais. Il s’entait battre le cœur de la princesse, en elle couler le sang royal, un sang chaud. Par un moment normal, il aurait eux quelques peut froid, mais là, la chaleur réponde présente. La tendresse de ses lèvres embrassant les siennes, il lui glissa un « Je t’aime Miya » puis continua de l’embrasser, la prenant par les hanches, il se rapprocha plus d’elle, cette princesse changerais sa vie pour toujours, ça il en était sur...

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Message de Miya, fée.

Miya voyait que Tsonerof se laissait tomber sur elle, je veut dire se laisser faire. Miya était contente, ce moment était tou simplement une pure joie. Elle plongea dans le regard de son amoureux, ces yeux étaient couleur vert émeraude, ils étaient beau. Miya était follement amoureuse de Tsonerof, elle aurait pu faire n’importe quoi pour lui, même se suicider douloureusement. Puis, soudain, Tsonerof embrassa dans le cou de Miya, et un cri de joie sortit de la bouche de Miya. Ce cri était magnifique, plutôt un rire. On aurait dit un cygne magnifique poussait un cri aussi beau que son plumage, mais c’était bien Miya. Puis une pensée lui traversa la tête : si les gardes du palais les voyaient là, et puis elle chassa cette idée, car elle s’en fichait de leurs réaction, et puis c’était le futur, elle préférait ne pas gâcher cet instant féérique par ses pensées. Miya caressa sensuellement le dos de Tsonerof qui était aussi doux que de la soie, Miya l’aimait plus que tous.

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Message de Tsonerof, humain.

Le corps chaud de son aimé le réchauffer et ses douces mains caressant son dos le faisait
rougir. Mais, toute les bonnes choses on une fin, il entendit de faible bruit de voie d’homme, sûrement des sentinelles, les fourbes, détruirent un moment si beau. Il l’embrasse et lui dit à l’oreille « J’crois qu’on devrait partir … » Il la prit dans ses bras et parti en direction de la capital. Puis dit d’un ton narquois « Vous êtes très discret, Sentinelles » Sur c’est mots deux hommes apparurent, encapuchonné, ils regardèrent la princesse et puis le seigneur elfique. Leurs visages montrés un air grave, des questions devait les tourmentés, se qui les déranger le plus c’est qu’il avait étaient repère car ça ne leur arrivais jamais. Passant juste à côté d’eux il dit « Pas besoin de me présenter… » un sourire amical s’étira sur son visage. Les deux guerriers ne bouger plus et ne réagir pas, il y eu juste un « Bonjour » sortirent de leur bouches.
Il continua a marcher avec la princesse lover dans ses bras et dit en souriant « Raah ! C’est soldats son très fort et très discret, mais j’arrive toujours à les repérés… hé hé. »
Après quelques minutes de marche, l’elfe s’arrêta, et embrassa la princesse avec ardeur et dit « Tu es magnifique… j’peut pas m’empêcher de t’embrasser . » Il rougit, mais se fut sûrement une erreur d’embrasser la princesse, a se moment quatre soldats elfique faisait leur tour de garde sur les chemins et regardaient les deux amoureux, ne sachant que faire…

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Message de Miya, fée.

Miya sentait aussi le corps de Tsonerof sur le sien, et elle aimait se magnifique moment, lorsque Tsonerof répéra deux sentinelles, et Miya aussi, ils s’arrêtèrent donc, Tsonerof la prit dans ses bars et partit, leurs adressent un sourrire. Miya restait contre Tsonerof un osurrire aux lèvres. Elle ne dit rien, fit aucun signe, mais était heureuse, enfin pas que les gardes avaient gâché se moment si beau et si heureux ! Mais bon, c’était leurs boulot de surveiller… Puis Tsonerof partit avec Miya dans ses bras, et lorsqu’ils furent hors de vue des deux sentinelles, il l’embrassa et lui adressa des mots doux. Sauf que quatre sentinelles étaient là, et les virent. Miya vit que s’était à elle de réagir, se plaça devant Tsonerof, mais lui « montrant le dos », coller à lui, tenant dans sa main droite la main droite de son amour et dans la main gauche la main gauche de la même personne. Elle dit enfin d’une voix douce, calme :

-Pourquoi nous regardez-vous ainsi ? Partez, continuez votre chemin. Après tout, j’ai le droit d’aimer un Elfe, et vous ne pouvez me l’interdire. J’aime cet Elfe, et rien de ce que vous fairez ne m’en empêchera. Et si il lui arrive malheur à cause de vous, vous entendrez parler de moi !

Et sur ce, Miya se retourna et embrassa sans hésitation Tsonerof avec amour. Et puis quoi encore ? Ils voulaient l’en empêcher d’aimer quelqu’un ? Et alors, elle leurs montra qu’elle ne se gêne pas.

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Message de Tsonerof, humain.

Les soldats elfiques n’avais pas mal réagit, ils avaient l’aire plutôt âgé et quand ils virent que la princesse n’était pas en danger, ils continuèrent leur chemin sans faire plus attention au deux elfes. Un des gardes échangea un sourire à un de ses collègues proche de lui et ils reprirent leur discutions, Tsonerof n’y fit pas plus attention. S’adressant a sa princesse il dit avec un sourire « Quel poigne ! » puis il lui rendit son baiser à la belle elfe, qui partagerais sûrement le reste de sa vie. Prenant sa main droite dans les siennes, il la regarda droit dans les yeux qui reflétait la douceur et la gentillesse. Après l’avoir embrasser une dernière fois il dit « Miya… veut tu partager l’éternité avec moi ? » Il l’aimait trop… Jamais il ne s’était autant attacher à une personne, la guerre, il n’avait fait que ça. Il n’avait jamais connus le repos. La princesse et lui avais le sang immortel, et pourrais faire durée leur amour aussi longtemps que le permettrais le destin. Sans y faire attention, Murof était à 50 mètres d’eux et rigola intérieurement. Se fessant discret il passa derrière Tsonerof et lui mit un léger coup de patte dans sa jambe droite, l’air de dire « Y en a qui prenne du bon temps pendant que d’autre travaille ! » et Murof parti dans la forêt et disparut entre les arbres .l’elfe pensa *Enfin parti…*. Se laissant bercer par le doux son des oiseaux, qui les regardais et chanter joyeusement. Caressant sa main, il avais envie de la prendre dans ses bras et de l’embrasser mais il ne le fit pas… Attendant avec impatience une réponse positive. Les secondes paraissait une éternité, il regardait chaque parti du corps de Miya. Même un déesse n’égaler pas sa beauté…

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Message de Miya, fée.

Miya vit que les gardes aprtirent voyant que Miya n’était pas en danger, et un des gardes fit même un sourrire à son voisin. Mais quelques instants plus tard, leurs discution reprirent, alors qu’ils s’éloignaient de plus en plus. Miya, elle, était en train de sourrire à la remarque de Tsonerof, puis elle embarssa son amour, Tsonerof, dont elle était follement amoureuse. Quelques instants plus tard, le jeune Elfe rompit le baiser, prit la mains droite de Miya dans les siennes, et lui demanda si elle voulait partager sa vie avec lui, la demanda en mariage quoi. Là, Miya fu prit d’une joie incroyable, ce n’était pas la première fois qu’elle le rencontrer, mais elle l’avait vu que rarement, et elle l’aimait déjà, ça ne faisait que peu longtemps qu’elle l’aimait. Miya dit d’une voix remplis de joie et de bonheur :

-Avec joie, je t’aime tellement !!!

Et là, un renard de grande taille essaya de se cachait et de pousser Tsonerof de façon affecteuse, mais Miya le vit direct. Ensuiite, lorsqu’il fut partit, elle s’aprocha de smon futur-époux, et l’ezmbrassa tendrement.

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