Message d'Umbrosus démone.

De vielles bottes foulaient le sol à vive allure, une ombre passait au travers de la prairie.

Umbrosus ne restait jamais longtemps au même endroit. Elle passait son temps à marcher, elle marchait toujours.
Rare sont ceux qui la voie se reposer, d’ailleurs rare sont ceux qui la voie tout court.
Umbrosus est passé maître dans l’art de ne pas être vu, de ne pas être reconnu. Tel une ombre, elle passe, même
les animaux des prairies fleuries ne lui accordait un regard. Ni les biches, ni les buses. Tous continuaient leurs
occupations comme s’il elle n’était pas là.
Il ne restait bientôt de son passage qu’une allée de fleurs repoussées sur le côté, une trace que le vent aller
bientôt faire disparaître.

Cette même petit brise qui soufflait en cette fin de matinée faisait onduler les sombres  cheveux de la jeune démone.
Ses yeux tristes se fixaient sur le chemin qu’elle suivait et tout son visage était comme figé. Et bien qu’elle marchait
à vive allure, le haut de son corps paraissait presque immobile, seul le vent dans ses cheveux trahissait son mouvement.


Son petit rat gris se baladait sur ses épaules en agitant ses moustaches. Il émanait de lui une aura plus joyeuse et
pleine de vie, contrairement à celle de sa maîtresse.  Le rongeur observait les alentours tout autours de lui, et, comme
tout paraissait normal, changer d’épaules avant de recommencer.

Umbrosus et son rat marchaient ainsi depuis leur réveil, il y avait bientôt une heure lorsqu’un bruit étrange se fit
entendre dans leur dos à gauche. C’était un bruit comme l’on n’en entendait pas dans un environnement sauvage,
un bruit, un petit choc, comme seul peut le faire un être pensant. Sans perdre un instant, Umbrosus, courut, sans
faire le moindre bruit, jusqu’à l’arbuste le plus proche derrière lequel elle se cacha et observa.

Etrange, elle ne voyait rien, pourtant, elle était sure d’avoir entendu quelque chose. Elle resta donc cachée à attendre,
ni elle ni son rat ne bougeaient à présent, et tout les deux observait de manière attentive tout ceux qui bougeaient
dans les fleurs.

voilà, j'espère que j'ai pas était trop longue à pondre ce texte, j'aurai bien rajouter encore 5 lignes mais j'ai plus d’inspiration.  

Message de Wylliam raincraft, humain.

Deux nouvelles paires de bottes foulaient maintenant le sol de la prairie fleurie, et marchaient à vive allure, surement pour éviter de se faire repérer par quelqu'un. Les deux silhouettes traversaient la plaine depuis plusieurs heures, et décidèrent apparemment de s'arrêter pour prendre un petit temps de repos. Mais de là où nous sommes, nous ne voyons qui sont ces deux individus qui traverse la plaine à vive allure. Nous allons donc nous rapprocher pour voir qui sont donc ses deux personnes qui traverse la plaine. Elles sont vétues de cape cachant leur visages aussi bien que leurs vêtement, et la seule chose que l'on pourrait dire d'eux, c'est que ce sont deux jeunes adolescents qui traversent cette plaine. Rare étaient les personnes à s'y aventurer, et cela ne semblait pas bien costaud. Ah ! l'une des silhouette baisse sa capuche, et dévoile son visage. C'est un jeune garçon, qui devait avoir seize voir dix-sept ans tout au plus. il jeta un rapide regard dans la plaine, et ne semblant rien voir de dangereux, dit quelques mots à son compagnon de route. La capuche de la personne l'accompagna tomba, en même temps qu'une longue chevelure noir de jais attaché en une tresse. Le visage fin d'une jeune fille se dessina. Cette dernière possédait de magnifiques yeux verts émeraude qui se posèrent sur son compagnon de route, ce dernier regardant autour d'eux s'ils pouvait s'arrêter ici pour manger quelque chose, et semblant satisfait de ce qu'il voyait, s'assit sur une pierre non loin de sa protégée. Cette dernière sortait quelques truc à manger d'une sacoche qu'elle portait à la taille.

Maintenant rapprochons nous un peu plus pour savoir un peu ce que font ces deux jeunes adolescents au milieu de cette prairie sans aucune personne pour les protéger. Une nuée de corbeau se posa dans la prairie, dans une zone circulaire de quatre à cinq cents mètres. Voilà à quoi lui servait ses corbeaux. Il était lié à eux, et s'en servait d'alarme pour le prévenir des éventuelle attaque qui aurait put avoir lieux. Il gardait sa main sur la garde de l'épée posé à sa taille, semblant écouter tous les bruit que contenait la plaine à ce moment préçis. Rassuré, il se détendit, et prit le morceau de viande séchée que lui proposée son amie. là, ils entamèrent uen conversation :

-Alors, où somme nous Wylliam ? .... Oups, excuse moi, je voulais dire Charon.

-C'est pas grave Linoée. Nous sommes dans la plaine fleurie, connus pour ses fleurs magnifique et ses herbes curatives diverses. Elle est aussi connu pour ses animaux nombreux dont la plupart inoffensif.

-Tu est un vrai livre ouvert dit moi , dit elle avec un sourire en se rapprochant de lui.

-M...Mais non, c'est juste que j'ai étudier quelques livres, c'est rien du tout, bégaya t'il en rougissant de la voir se rapprocher si prés.

Le déjeuné se passa sans problème apparent, mais l'un des corbeau se mit a s'agiter en silence.


[désolé du temps de réponse]

Message d'Umbrosus démone.

Elle est son rat regardait et regardait encore de tous les côtés à la fois, mais d’où venait donc ce bruit ? Quand, au bout d’un petit moment,
le rongeur et la démone aperçurent deux silhouettes encapuchonnées. Comme elles étaient encore loin, quand l’une après l’autre, les silhouettes
enlevèrent leur capuchon, Umbrosus ne sut distinguer à quel peuples elles appartenaient. Néanmoins, à leur attitude, elle conclut qu’elles
n’étaient pas de caractère belliqueux.

Umbrosus continua à les observer. Peut de temps après, les deux silhouettes s’assirent et bientôt, toute une nuée d’oiseaux noirs, surgit
de nulle part,  se joignit à eux.  La couleur noire des corbeaux contrastait avec les belles couleurs vives des fleurs de la prairie, de quoi
donner à la scène une allure des plus étrange.  Cette arrivée inopinée de volatile n’était pas du tout du goût d’Umbrosus.
Quelle était donc cette magie qui incitait ainsi ces corbeaux à se placer en cercle autour de ces individus ? Il s’agissait peut-être de magicien ?
Non,  plutôt de sorcier, le corbeau est plutôt l’acolyte du sorcier.
La jeune démone n’aimait pas ça du tout. S’ils étaient réellement pacifiques jusqu’au bout, il n’aurait pas songé à établir une défense, surtout
pas au milieu d’un endroit aussi paisible. Les deux individus avaient donc déjà dû connaître les batailles et la guerre. Et peut importe le côté
dans lequel ils avaient pu combattre, tout les camps étaient contre elle.

Umbrosus se demanda ce qu’elle allait faire. Ils ne semblaient pas l’avoir vu, ne savaient pas qu’elle était là et visiblement, n’étaient pas là
pour la chassé. Elle n’était donc pas forcé de détaller. C'était plutôt une bonne nouvelle, la mauvaise était que, si elle partait, elle devait
quitter l’arbuste derrière lequel elle s’était réfugiée, et il y avait une chance qu’elle se fasse repérer, si ce n’était par les silhouettes, ce serait
par les corbeaux.
Alors, elle resta derrière l’arbuste. Ne sachant quand les silhouettes comptaient repartir, elle décida que, quant à rester un bon moment ici,
autant savoir à cause de qui sa journée avaient prit un tour si spécial. Elle envoya donc son rat en reconnaissance. Afin qu’il les observe,
sans pour autant se faire repérer. Umbrosus n’avait pas parlé, elle avait simplement regardé son animal dans les yeux pour communiquer
avec lui, elle faisait toujours ainsi car elle ne parlait que quant elle ne pouvait faire autrement.

Le rat, partit donc à petit pas rapide en direction du rond de corbeaux, Il se faufilait entre les brins d’herbes, sans se faire remarquer.
La jeune démone le regardait partir tout en ce demandant ce qu’il allait trouver. Elle euh un sursaut quand elle vu qu'un corbeau réagissait
au passage de son ami, heureusement, les silhouettes ne semblait pas allarmées par celà.

Message de Wylliam raincraft, humain.

Le repas de notre couple se continua sobrement, chaqu'un mangeant une plat qu'il avait préparé. Enfin, un plat, c'était beaucoup dire. Il s'agissait le plus souvent d'un morceau de viande séché, ou d'une plante plus que d'un véritable repas. Mais bon, ils s'en fichaient tout deux, et se contentaient de cela. William avait attaqué une poire lorsque l'un de ses corbeau bougea, comme s'il avait trouvait quelqu'un voulant l'approcher. Mais il ne fit pas de bruit, et il conclu à une bête s'approchant d'eux. La seule raison pour laquelle l'oiseau l'avait laissé passé, et pour laquelle cet animal n'avait pas fuit devant la masse de l'oiseau. Il n'y avait qu'une seule raison, c'est que cet animal soit envoyé par une personne qui veuille espionner notre couple, ou l'attaquer avec une bête métamorphosé ou piégé. Il laissa donc avancer le rongeur, et lorsque ce dernier finit par s'approcher trop près, c'est a dire au moment où Léonie, détendu, s'était allongée sur une pierre, pendant que notre guerrier s'était posé tranquillement sur un pierre, en fumant négligemment un pipe bourré d'herbe médicinale, dégageant une odeur douce. Le rongeur ne se trouvait plus que à quelques dizaines de centimètres de nos deux protagoniste, lorsque soudain la réaction de William fut foudroyante. le couteau qu'il lança atterrit à deux bon millimètres de la tête du rongeur, coupant une de ses moustaches. Il resta assis sur sa pierre, calme, pendant que sa compagnon de route s'était relevée, l'air hagard. Il ne se leva même pas lorsqu'il lança à la ronde :

-Merci de bien vouloir vous montrer si vous voulez participer à une discussion.

Léonie regardait toujours le rat, pendant que William prenait une bouffé de sa pipe.

[Désolé du temps de réponse]

Message d'Umbrosus démone.

Mais que faisait le rat, Umbrosus s’impatientait, elle l’avait perdu de vue. Curieux comme il est, il s’est encore
approcher plus près. Pah ! La pouasse, s’il se fait remarquer, je vais être maline moi ! Les minutes passèrent
sans que rien de notable se passe. Quand tout à coup, une silhouette fit un mouvement brusque, il se passait
quelque chose là bas, au milieu des fleurs !
Cette fois c’était sur, il s’était fait remarquer ! Et en plus, part des gens clairvoyant, puisque l’un d’eux cria, ils
avaient calculé que ce rat appartenait à quelqu’un. Et voilà, qu’elle était encore plus bloquée qu’avant, elle ne
pouvait même plus rester caché derrière son buisson, déjà qu’elle ne pouvait pas fuir.
Le rat revint en courant. Encore heureux, il n’avait pas fait une ligne droite qui aurait indiqué la position de la
démone. Elle avait au moins apprit ça à son petit compagnon. Pour autant, elle ne se faisait pas d’illusion, les
silhouettes savaient certainement maintenant où elle était.

Avant de se  monter, Umbrosus prit le luxe de « parler » avec son rat et de réfléchir. Parler, c’est beaucoup dire :
elle prit le rongeur dans ses  mains et le regarda dans les yeux ceci dura un petit moment, enfin quelques
secondes, or dans la situation actuelle, cela était déjà beaucoup.
La jeune démone apprit du rat que les deux silhouettes étaient des humains, un jeune-homme et une jeune-fille
et qu’il n’avait pas l’air méchant. Même si cette dernière affirmation était juste, les évènements venaient de  
montrer qu’il ne fallait pas s’y fier. Le rongeur fit partager à son amie, la tristesse qu’il avait d’avoir perdu un
bout de sa moustache. Comment allait-il faire en attendant qu’elle repousse ? Il ne capterait plus aussi bien
les signaux extérieurs et serra déséquilibrée quand il marchera.

Se joindre à la discussion, c’était la dernière chose dont elle avait envie, elle qui parlait si rarement et
qui n’aimait pas ça. Deux solutions s’offraient à elle : devenir à demi-invisible et tenter de partir discrètement
ou répondre à l’injonction de la silhouette.

« Je n’ai aucune envie de discuter. » Avait-elle fini par crier. « je ne fait que passer, et vous, que faites-vous. »

Sans s’en rendre compte, elle sortit son arbalète et était prête à s’en servir, comme un réflexe. Elle était restait
derrière le buisson, mais cette fois-ci prête à sortir, bondir. Elle fixait les silhouettes intensément.
Elle n’avait aucune idée de ce que les humains allaient faire. Elle attendait leurs réponses avec anxiétés.

Message de Wylliam raincraft, humain.

"Je n’ai aucune envie de discuter." leur avait répondu une voix de jeune fille non loin : "Je ne fait que passer, et vous, que faites-vous."

Et eux, que faisait il ? Il se baladait un peu dans tout le continents, pour que la jeune magicienne a coté de lui devienne plus puissante et acquière plus d'expérience. Mais bon, cela, il n'était pas question de le dire. Les mages pouvant payer une escorte n'étaient pas légion, et étaient souvent assez riche, ce qui attirait inmencablement les bandits de toutes sortes. Il leur fallait une histoire simple, à laquelle il serait possible de croire. Il regard léonie un instant, puis fit disparaitre son épée, et la remplaça par une guitare. Il allait docn jouer la carte du musicien qui voyagait ça et là avec sa soeur. Léonie serait parfaite dans ce rôle là. Il se leva donc, et répondit à leur interlocutrice toujours cachée.

"Hé bien, nous sommes des musiciens de passages, et nous faisons, comme vous, que passer."

Sur ce, ils attendirent de voir ce qu'allait faire la jeune fille caché, pour voir s'ils devrait l'attaquer ou partager quelques vivres avec elle. A moins qu'elle ne decide de disparaitre.

Message d'Umbrosus démone.

Des musiciens ? Cela déclencha de nombreuses réactions dans la tête d’Umbrosus. Que faisait des musiciens dans cet endroit perdu, il n’allait sûrement pas trouver d’auditoire ici ? Et que faisait-il sans escorte ni défense en dehors des territoires humains ? Où comptait-il se rendre, il n’y a aucune route fréquentée dans les parages ?! Comment des musiciens pouvaient contrôler des oiseaux et en aussi grande quantité ? Ah ! De la musique, dans un endroit aussi calme, serein et reposant, quel gâchis !
Du chaos de ses pensées, il en ressortit une évidence : ils n’étaient pas ce qu’ils prétendaient être. De là découlait deux questions : pourquoi mentir ? Etaient-ils dangereux ? Une chose est sure, ce n’est pas en restant derrière son buisson qu’elle allait le savoir. Le problème c’est qu’elle ne réussirait pas un combat au corps à corps contre deux personnes à la fois si jamais il devait avoir lieu.

Pendant qu’Umbrosus réfléchissait, son rat se frottait la figure sur les épaules de la démone. En effet, Umbrosus l’avait posé là, elle ne voulait pas qu’il se perde maintenant qu’il était déstabilisé par la perte d’une de ses moustaches.

Umbrosus s’imaginait en train de s’avancer vers les humains, avec son rat sur l’épaule –ou cacher dans ses cheveux- et son arbalète à la main, elle n’avait pas vraiment l’air amical, sur qu’ils allaient la repousser violemment en la voyant. La jeune démone ne voyait qu’une solution, elle avait prit son temps pour choisir mais finalement son instinct avait reprit le dessus. Elle essaierait de partir en cachette.
Et voici donc qu’Umbrosus rangea son arbalète qui disparut et utilisa son pouvoir pour devenir à demi-invisible, on pouvait maintenant voir au travers d’elle. Alors, doucement et à pas de loup, en évitant le moindre bruit, elle recula, pas à pas en laissant toujours le buisson entre elle est les humains.

La jeune démone se demandait ce que pouvaient penser les humains, elle n’avait pas donné de réponse, et cela faisait un moment qu’ils attendaient. Elle reculait toujours, avec lenteur pour ne pas faire de bruit. Elle fixait toujours le buisson, les silhouettes devenaient de moins en moins visible derrière les branches qui s’éloignaient. Elle était sur que les humains étaient toujours sur leurs gardes.

[Désolé, c’est le caractère de mon perso, j’y peux rien. Se verra-t-on finalement ?]