Message d'Anzekos, elfe.

Depuis près d'un ans qu'Anzekos avait suivit son premier rituel et il n'avait toujours rien accomplie pour la réalisation de son rêve. Il se contentait de rester seul dans sa chambre à méditer,  à entraîner son esprit où à lire, comme il faisait justement à l'instant. Il fallait continuellement qu'il garde un bon niveau mental, pour ne jamais laisser dominer sur lui son pouvoir. Pour le moment, il n'avait pas encore senti le mal de se rituel se manifesté, son pouvoir devait être encore trop faible pour ne serais-ce qu'égratigner sa pensée. Malgré le fait qu'il soit largement puissant pour contrôler cette force, Anzekos ne voulait pas prendre de risque, et avant de tenter une nouvelle fois le rituel sacré, il comptait endurcir son esprit pour qu'il soit toujours cent fois supérieur à cette "malédiction".

Toute fois, il ne pouvait se contenter de méditer et de jouer à quelques jeux intélectuel, il se devait de commencer à mettre son plan à execution. La seule autre chose utile qu'il pouvait faire pour le moment c'était de se trouver des alliers. Des alliers sur qui il pourrait compter pour héradiquer le mal. Un allier aussi pur que lui, voir même plus, serait l'idéal. Il y avait longuement réfléchi les dernières nuits, il avait envisager plusieurs options. Parmis toutes ces options il n'en choisi qu'une seule. Sa décision se fit la nuit passé.

Cette nuit là, il n'arrivait pas à trouver sommeil, il fixait, tout en réfléchissant, le haut plafond de sa chambre. Il envisageait fortement l'idée de se bâtir une armée avec des êtres plus que nuisible pour se monde. Des démons, des hommes, qu'ils manipuleraient. Ils meneraient ses troupes et celles de ses ennemis à la mort, une pierre deux coups comme on dit. Après tout, les êtres malsain étaient si facile à manipuler, tu leurs parlent de sang, d'or et de sex et ils te suivent sans hésitation... Ce qui l'embêtait c'était le fait de s'allier avec la raquaille... Il ne savait pas s'il serait en mesure de les suporter. Après ils pourraient difficilement les ignorer, ils ne cesserait d'entendre leurs pensé malsaine, et devrait rester là sans réagir...

D'autres solutions lui trotait en tête. Par exemple, ne trouver que quelques alliers pures et loyaux et former un petit groupe... mais un petit groupe face à toutes les fores du mal qui raignait... c'était un combat incensé...

tranquillement, Anzekos se leva de son lit et alla à la fenêtre. Il écartilla les longs ridaux qui séparait sa vue du monde extérieur, de la beauté de la citée elfique. La lune, pleine, illuminait suffisament pour lui permettre de contempler le paysage qui s'offrait à lui. Là il compris que son allié, celui qu'il cherchait, était tous à l'entour de lui.

La décision qu'il avait pris la dernière nuit était sans aucune doute la bonne. Certe les elfes étaient trop bon pour attaquer le mal, mais ceci n'était que pour l'instant. Ses parents étaient autrefois, avant que la faucheuse de viennent les chercher, des nobles respecté chez ce peuple, il ne devrait donc pas avoir de mal à intégrer un haut rang. Les choses prendrait surement encore du temps, mais ce n'était pas ce qu'il lui manquait. il était encore jeune, il n'avait que 22 ans...

Il lâcha son livre, et allat se vêtir convenablement. Il avait l'intention d'aller rencontrer la reine de sa race pour lui proposer ses services, il se devait donc d'être présentable. Présentement, à moitié nu, ce n'était pas l'idéal... même son linge habituel n'était pas permis pour une rencontre de se genre. Il était difficile rencontrer une personne aussi importante, mais Anzekos ne voulait pas douter de ses chances d'y parvenir. Il ne lavait encore jamais rencontrer personnellement, mais d'après ce que l'on disait d'elle, elle était très compréhensive. L'elfe fouilla sa demeure mais ne trouva rien de présentable. Il mit donc sont acoutrement habituel et sortie faire un tour dans la cité pour trouver quelque chose de mieux.

Il connaissait justement un très bon tailleur, Jazil,  qui habitait près de chez lui. Il était très demander par les riches, c'était l'un des meilleurs du royaume après tout. Anzekos avait assez d'argent pour payer, peu importe le prix. Sa famille était très fortuner, et maintenant, étant le seul héritier, anzekos se retrouve avec toute cette fortune.

Comme il le pensait, Jazil semblait fort occupé. Sa porte ouverte, il était entré sans cogner au préalable pour l'appercevoir courir dans tous les sens, tissus en mains. Il se sentait mal de lui demander de l'aide dans la situation stressante qu'il semblait être. Il partie donc, sans que l'autre ne remarque qu'il était venu.

Anzekos regarda un coup ses vêtement et se dit, finalement, qu'ils n'étaient pas si pire que sa. Au pire, cette fameuse reine devra s'y faire, on ne peu pas tous être aussi bien habillié... Il se dirigea donc ainsi vers le palais royale.

Message d'Anzekos, elfe.

Il avançait d'un pas décidé vers la demeure de celle qui dirigeait se peuple. Celle avec qui il avait la possibilité de réellement changé le monde. Il pouvait voir le palais devant lui, il en était encore loin, mais si immense qu'il était visible de tous le royaume. Pendant qu'il marchait ainsi vers son objectif, ses pensées elles s'envolaient ailleurs, occupé par la beauté de se royaume. En chemin, l'elfe passait à côté de nombreuse personne de sa race et interceptait, sa le vouloir, leurs pensée. Toute, pour la plupart, était si pure, qu'il se sentait mal de vouloir impliquer ce peuple dans une guerre contre le mal.  Certains d'eux étaient si innocent, un peu comme lui lorsqu'il était jeune. Inconscient des danger de l'extérieur, de l'obscurité des âmes de leurs voisins....

Il marcha un moment, la tête penché vers le sol, se questionnant encore. Soudain, il se rendit compte que tous ici n'était pas aussi pur qu'il le pensait. Certains semblait avoir le coeur sombre, pas autant qu'un humain, mais trop pour avoir la prétention de rester au pays des elfes et fées... Il compris, qu'avant d'appeler à l'aide le peuple elfique, il devait l'aider à faire le ménage dans ses rangs.

Il releva aussitôt la tête pour se rendre compte qu'il était déjà arrivé au palais. Son voyage n'avait pas été si long et pénible finalement. Il lui avait même permet d'être encore plus sur de lui quant à ses projets.

Devant la grande porte aux formes arrondit se tenait deux garde pour surveiller l'entrée. Normal pour un palais d'être surveiller. Il s'avança près des deux gardes pour leurs demander s'il pouvait entrer, où au moins avoir rendez vous, un jours, avec un haut dirigeant. Il avait des choses, leur dit-ils, importante à parler avec eux. Comme il le pensait, n'ayant pas un haut titre, ou du moins, rendez vous, il ne pu passer. Il n'insista pas d'avantage et alla simplement s'asseoir près de l'entrée en espèrent que quelqu'un d'important sorte et qu'il puisse l'intercepter pour lui parler.

Message d'Anzekos, elfe.

L'elfe resta assis sur l'herbe, près du palais royal, pendant des heurs et des heurs, sans voir une seule personne sortir où entrer. Faut croire qu'Anzekos n'avait pas énormément de chance. Il serait bien rester plus longtemps, mais il se rendait compte que ceci ne donnait rien, et qu'il n'y avait aucun espoir pour la journée. La jours disparaissait peu à peu pour faire place à la nuit, d'autres gardes virent pour échanger leurs places avec leurs confrères. Définitivement, il n'y avait plus d'espoir pour le pauvre elfe qui avait perdu sa journée à attendre pour rien.

Il retourna donc tranquillement chez lui, déçu de ne pas avoir réussit à rencontrer un haut dirigeant. Tout de même, il garda espoir d'un jour avoir cette chance. En attendant il continuerait à s'entraîner mentalement, et revenir ici de temps en temps, tenter sa chance. Si d'ici la prochaine saison rien n'avait avancer, il changerait ses plans pour que son rêve puisse continuer de progresser.

Message d'Anzekos, elfe.

Plus le temps passait, plus il en avait marre de ne pas avoir de réponse. Il avait l'impression de s'entraîner en attend pour absolument rien, que tous les efforts qu'il mettait à l'accomplissement de son oeuvre n'aboutirait jamais, simplement car les hauts dirigeant de se royaume semblait inapte à diriger et écouter leurs peuples. Il était actuellement impossible pour lui de leurs toucher un mots, et ceci l'exaspérait au plus haut point.

Anzekos décida qu'il lui fallait ce changer les idées. Depuis plusieurs semaine il ne faisait qu'attendre devant le palais, ou rester enfermé dans sa chambre à lire ou autre activité toute aussi ennuyante à la longue. Pour une fois, une petite journée tranquille dans la nature ne lui ferais pas de tors. Ne plus penser à rien, sauf à se reposer, cela ne lui était pas arrivé depuis fort longtemps.

Il sortie donc de la capital pour aller prendre une petite marche en forêt. Il suivait le sentier dessiner devant lui, sans trop savoir où il aboutissait. Il n'avait apporter avec lui aucune arme, il était après tout ici pour se reposer. Il avança sur se chemin pendant plusieurs heurs, jusqu'à arrivé près d'un petit étang. Il n'était pas si loin que sa de la capital, mais il avait pris son temps sur le chemin, avançant à une vitesse franchement lente, voir presque nulle. Le plan d'eau était magnifique et bien dégager. L'elfe s'assit en face, se mit nue pied et trempa ceux si dans l'étang tout en se penchant par en arrière pour observer le ciel et les grands oiseau qui y volait librement.

Message d'Aiyleirma, fée/démone.

La guerre étant terminée, Aiyleirma et le rassemblement de dragons s'étaient séparés. La jeune fille était partie en direction de la capitale en espérant trouver une occupation, mais sans trop vraiment y croire. Elle avait marché quelques heures la veille au soir, avant de s'érrêter au pied d'un grand arbre. Recroquevillée entre les racines, Aiyleirma s'était endormie profondément.
Au matin, elle avait repris sa marche. Les minutes s'écoulaient, silencieuses. Depuis quelques temps, la jeune fille avait toujours accompagné Kaliste, une amie chère pour elle. Et maintenant qu'elles s'étaient séparées, la solitude lui pesait.
La demi elfe se mit rapidement à chantonner, de manière à se sentir moins seule. Un petit moineau  qu'elle avait prénommé "Piou-Piou" virevoltait autour d'elle, l'accompagnant de temps à autre dans ses vocalises.  Elle arriva bientôt sur les bord d'une rivière. Elle la suivit inconsciemment, se perdant dans ses pensées.

- " Maintenant que la guerre est finie les filles sont reparties à leurs occupations. Que devrais-je faire Piou-Piou? Je n'ai pas tellement envie de revenir à ma routine habituelle... De toutes façons, les elfes ne voudront plus d'une hybride démon comme médecin pour encore quelques temps! Je pourrais peut-être reprendre mes recherches en herboristerie? Mais il me faut un accès à la bibliothèque nationale, et ce n'est pas gagné..."

Elle soupira et continua à déblatérer jusqu'à ce que la rivière la mène aux bords d'un étang. Aiyleirma, s'arrêta de marcher et scruta les environs. Quand elle aperçut le jeune homme assit sur un rocher, les pieds dans l'eau, le corps de la jeune fille se tendit.

** J'ai trop parlé... M'a-t-il entendu? Peut-être bien que non... En tous cas il n'a pas l'air d'avoir envie de bouger... Encore un noble tiens! Il vaut mieux que je file avant de me faire amenée pour interrogatoire... Je vois ça d'ici : "As-tu pris part à la guerre? Es-tu en contact avec les races démoniaques? Que fais-tu en contrée elfique? Pourquoi n'es-tu pas recensée dans la population de notre terre?" et blablabla, et blablabla... Je préfère être en vadrouille toute ma vie que de devoir subir ça! **

Aiyleirma rabattit délicatement sa capuche et fit demi-tour, silencieusement.

Message d'Anzekos, elfe.

Anzekos resta assis ainsi à fixer le ciel, faisant semblant de rien, tout en espionnant son "invitée". Elle ne semblait pas vouloir rester très longtemps malheureusement, l'elfe avait pourtant fort envie de la connaître, bien qu'il était ici au départ pour avoir la paix. Quand elle semblait enfin sur le point de partir pour de bon, il parti à rire suffisamment fort pour qu'elle puisse l'entendre. S'il riait ainsi, ce n'était pas seulement car il trouvait drôle cette personne, mais bien plus pour que son attention revienne vers lui.

Il se retourna ensuite tranquillement, se leva et marcha lentement en direction de la jeune elfe, de la jeune démon, avec un sourire aux lèvres. Il avait envie de courir vers elle à toute vitesse pour lui démontrer à qu'elle point il tenait à lui parler, mais il avait peur de la faire fuire avec une t-elle attitude.

Message d'Aiyleirma, fée/démone.

Un rire chaleureux mais bruyant fit sursauter Aiyleirma alors qu'elle s'apprêtait à partir. Elle se stoppa net, et rentra les épaules comme dans l'attente d'une sentence. Elle entendit les pas de l'inconnu se rapprocher dangereusement derrière elle.  Les gestes qui suivirent ne furent pas réfléchis. Les reflexes sauvages reprirent le dessus. L'arc qu'Aiyleirma portait dans le dos se pointa en direction du noble, une flèche prête à être décochée. Le regard de la jeune fille s'était obscurcit. Ses yeux rouge-sang s'éclairèrent à la lumière.  Elle ouvrit la bouche et parla d'une voix ferme.

- "Noble, je ne te veux pas de mal, mais si tu approches plus près je me sentirai obligée de tirer. Je ne te veux rien, et tu n'as rien à recevoir de moi, à part si tu es malade mais ça n'a pas l'air d'être le cas. Je ne pensais pas rencontrer quelqu'un si profond dans la forêt... Laisse moi partir en paix et tu n'entendras plus parler de moi."

Message d'Anzekos, elfe.

Anzekos repris semblait avoir repris son sérieux un moment quand la jeune femme pointa vers lui son arc et leva ses mains en l'air pour lui montrer qu'il ne comptait pas répondre par la force à ses menaces, il n'avait, de toute façon, aucunement les moyens pour riposter. L'elfe la regarda froidement dans les yeux et lui dit d'un ton peux amicale :

- J'aurais quelques questions à vous poser. Que faites vous dans une contrée elfique ? Êtes vous en contact avec les races démoniaques ? Avez vous prix part à la guerre ?

Avant même d'avoir quelconque réponse de la jeune créature en face de lui, Anzekos perdu son sérieux et parti à rire encore une fois, mais cette fois si son rire était plus honnête.

- Non je plaisante, lui dit-il ensuite avec le sourire, je ne vous veux absolument rien de se genre, contrairement à ce que vous croyez.

En théorie il était noble, c'était vrai, mais en pratique les chose était différente. Il n'avait aucun réelle pouvoir, car il n'avait jamais rien fait concrètement pour son peuple encore. Son titre de noble n'était qu'un titre décoratif car son père avait été lui, un véritable noble. Anzekos fixa encore plus profondément dans les yeux celle qui le menaçait de son arc, espérant qu'elle réussisse à voir en lui du bien, puis il continua sur un ton des plus calme:

- Je ne vous veux aucun mal, j'aimerais simplement apprendre à vous connaître. Vous me semblez être une personne fort intéressante, fort sympathique... bien qu'un peu paranoïaque. Je peux concevoir qu'un peu de solitude de temps à autre fait du bien, mais un peu de compagnie de temps à autres aussi.

En réalité, ce n'était nullement car elle semblait sympathique que l'elfe souhaitait apprendre à la connaître, bien au contraire, en se moment elle lui faisait plutôt peur.  Le menacer ainsi, lui qui était simplement venu lui parler. Il pouvait comprendre qu'une vie partager entre elfe et démon pouvait être difficile, mais ce n'était pas une raison pour ainsi faire peur aux autres.

Message d'Aiyleirma, fée/démone.

L'attitude du jeune homme destabilisa quelque peu Aiyleirma. Elle abaissa son arc pour le ranger. Mais son compportement n'en demeura pas plus decontracté. Après quelques minutes à regarder en silence l'elfe en face d'elle, la jeune fille s'assit en tailleur et se dechaussa pour mieux sentir l'herbe tendre sous sees pieds. Elle prit une seconde pour déguster se moment avant de prendre la parole. Sa voix était plus calme qu'auparavant et elle gardait le regard dans le vide, fixant un point inexistant au loin.

-" Il vous sera difficile d'apprendre quelque chose de moi. Ma vie n'est pas bien passionante vous savez. La seule chose que je pourrai transmettre serait la science des soins. Mais je suis loin de l'excellence... Enfin, si vous avez des questions allez-y, j'y répondrai si je le peux."

Aiyleirma avait maladroitement essayer de se mettre à l'aise mais ce n'était pas encore gagné. Et elle n'avait pas non plus l'intention de répondre à toutes les questions qu'allait lui poser l'inconnu. Son seul but était de pouvoir continuer à errer seule dans les bois afin de faire un point sur ce qu'il s'eétait âssé depuis quelques temps.

Elle attendit que l'homme s'exprime sans bouger.