De retour chez les humains. (Grimnir - Kassandros - Sar)

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Message écrit par le nain Grimnir Ruvalk

Après plusieurs jours de marche sans fin, je suis enfin arrivé dans le royaume des humains, un royaume regorgeant de lacs et de prairies verdoyantes. La route avait été longue, pas un bandit, un escroc que mon marteau aurait pu frapper, juste le paysage dont la beauté me rappelait l'enfance que j'ai passé ici. Il y avait des champs de maïs, blé et autres céréales à pertes de vues, et bien sur, ma céréale préféré, le houblon. Le houblon, céréale pour la bonne bière du pays nain.
Sur le chemin, pas non plus une vieille maison abandonnée cachant peut-être des trésors inconnus? Non, j'ai du, toute les nuit de mon voyage, dormir sur le sol, frais, froid, humide. Je n'ai non plus croiser âme qui vive dans ce pays. Pas un voyageur, un vagabond, ni de troupes guerrières... Heureusement, j'aperçus au loin, derrière un champ, un petit village qui me semblait accueillant. Je marchais en sa direction. Je n'avais plus de vivres, seulement de l'eau, et l'eau, c'est pas bon, mais on se contente du nécessaire...

Je rentrais dans le village : enfin des gens! Des personnes travaillaient dans les champs à proximité du village, les bâtiments étaient fait de chaume pour les toits et de rondins de bois qui servaient de murs. Un village ma foi fort sympathique. Je m'approchais d'une villageoise:

"-Bonjour, ma petite! Où se trouve la taverne dans votre village, dis?' lui demandais-je.

La jeune fille parut effrayée. N'avait-elle jamais vu un nain de sa vie, nom de Dieu? Un vieil homme s'approcha alors de moi, et m'indiqua dans un charabia incompréhensible la direction d'une taverne.

"-Merci, mon bonhomme!" lui répondais-je après un salut de sa part.

Je me mis en route dans la direction de cette taverne. Elle semblait triste de l'extérieur : il y avait des trous sur le toit de chaume, il manquait des rondins, et ceux qu'ils restaient étaient mangées par les mites.
J'entrais à l'intérieur. La taverne était sombre, que peu de fenêtre, le bois pourri sur les chaises et les tables. Il y avait trois pelés assis autour d'une table, trois vieilles personnes, qui buvaient un liquide visqueux.
Je m'approchais du bar, et un homme vint me servir. C'était un grand homme, la cinquantaine, je dirais, chauve, et sans barbe.

"-Voulez-vous quelque chose à boire, monsieur? me demanda-t-il.
"-Oui, ça se voit pas? J'ai marché pendant plus de deux semaines, et mes rations sont épuisés depuis trois jours, donc si j'ai pas faim ni soif, nom de Dieu!" lui rétorquais-je, non sans une légère agressivité dans le regard, " Je veux ta meilleur bière, mon garçon!"

Il me servit, quelque minutes après. Je commençais à manger et à boire, cette bonne bière, quand la porte s'ouvrit et quelqu'un rentra...

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message de : Kassandros Magister

Cela faisait longtemps que je n'étais pas envoyer a Palina pour aider les fermier mais après tout une grande partie de nos cultures s'y trouve donc il faut bien aider les moissonneurs de temps en temps mais par moment j'aimerais plus me concentrer sur l'apprentissage de la magie divine et aussi pour continuer mes recherches sur cette étrange pouvoir que j'ai. Une fois arriver la bas j'allais direction la taverne pour manger j'avais le ventre totalement vide et faut dire que la nourriture de la taverne est la mieux de la région.

Je déposa Lady ma palefroi a l'écurie de la caserne puis vêtu de ma tenue de prêtre j'entra dans la taverne et alla m'assoir a une table prêt de la cheminer, le gérant me connaisser et comme je venais aider il fit comme d'habitude et m'offri le repas que je prend habituellement puis pendant le repas je me tourna vers le feu de la cheminer l'air pensif.

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Message écrit par le nain Grimnir Ruvalk

L'homme qui entra dans la taverne était un homme aux cheveux blonds brillants, bien plus grand que moi, bien sur, et qui se baladait dans sa tenue de prêtre. Un prêtre! Un croyant qui s'est mis au service de "Dieu", c'est plutôt rare dans les petits villages des campagnes, ce sont plutôt des moines dans les petits bourgs, et les prêtres dans les grandes villes telles Espalion, la grande ville humaine je crois, leur capitale...
Le serveur lui servit directement un plat. Ce devait être soit un habitué de cette taverne vide, soit un "message" envoyé par la Parole de "Dieu". Fichtre, quelles bêtises! Je n'y crois pas à tout cela!

Je mangeais tranquillement ma côte de porc à la sauce "Bière" accompagnée de ma chope de bière : quel repas de Roi! Puis je me sentit petit à petit observé par quelqu'un. Je me suis retourné, le jeune prêtre ne touchais pas à son plat, il regardait vaguement dans ma direction. En quoi l'intéressais-je? Pourquoi ce regard si vide me visait? J'allais me lever pour lui demander d'arrêter de m'observer quand le serveur s'approcha et me demanda la note. Une trentaine de pièces d'argent. Je lui répondis non sans gueuler :

"- La nourriture devient de plus en plus chère! Un jour, on ne pourra plus manger! Nom de Dieu! C'est pas possible! , je sortais les pièces, ses objets ronds si précieux à mes yeux que j'allais devoir donner à cet ingrat, Je vous jure! Trente petites pièces, c'est cher!"

Je me suis servis de mon marteau comme une canne pour me lever, et me dirigeais vers la sortie. Je remarquais que le jeune prêtre me fixait toujours avec les mêmes yeux vides. Je me suis dirigé vers lui, et lui déclara:

"-T'as un problème, mon petit esclave de Dieu? Tu veux que je te réveille?"

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message de : Kassandros Magister

alors que j'essayer de me rapeller le visage de ma mère bien que la dernière fois que je l'ai vu remonte a très longtemps un nain vint m'intérompre dans mes penser en me disant

"-T'as un problème, mon petit esclave de Dieu? Tu veux que je te réveille?"

Cette phrase était un peu agressive il est rare de voir des nains agressif envers les jeunes humains mais je garda mon calme après tout il n'y a pas raison de se battre vu que je suis ici pour travailler au champ.

-Heu non maitre Nain je me plongeai dans mes penser désoler si je vous ai troubler et je ne suis point esclave de dieux je suis juste un disciple de la magie divine même si je pris dieux par moment je ne suis point un de ses servant. Je m'appelle Kassandros Magister fils de Lilianne et de Magnus Magister noble de la cour d'espalion, je viens assez souvent ici pour aider les paysans a moissonner car après tout si nous vivons c'est grâce a eux en grande partie.

je souris et resta très amical avec le nain il est rare pour moi de voir d'autres personnes que des humains et je suis heureux de voir que Palina est toujours aussi beau et peuplé de différent visage avec les voyageurs.

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Message écrit par le nain Grimnir Ruvalk

Suite à ma déclaration, le jeune humain bredouilla quelques excuses. Il me demanda pardon s'il m'avait troublé, puis m'expliqua d'une voix sage qu'il n'était non pas un esclave de Dieu, mais un disciple de la magie divine. Encore un truc pas possible.... Je n'y comprendrais jamais rien à la magie. Tout ce qui est divin à la base, je n'y crois pas du tout. Les seules choses en laquelle je crois, ce sont les bières et les coups de marteaux : rien de tel pour tuer un monstre.
Il me dit son nom. Kassandro Magister, un fils de nobles d'Espalion. Il m'expliqua qu'il venait aider les paysans à moissonner car, d'après lui, c'est la base de notre grande patrie.
Après cette petite explication digne d'un Roi, il me fit un sourire niais.

"-Dit petiot, un noble, c'est pas sensé rester bloqué dans sa ville sous la protection de soldats? Parce que c'est dangereux ici, surtout pour un jeune comme toi. Enfin bon! À toi de voir. Je suis ici pour me reposer, mais je n'ai plus d'argent pour louer une chambre. Il n'y a pas un travail de chasse dans le coin? Des monstres où une traque, non? "

Je lui lançais un regard interrogateur.

"-Vu que tu viens assez souvent ici, peut-être tu peux me renseigner sur un quelconque monstre se trouvant dans les environs?"

Je m'assis à sa table, puis lui relançais un regard perçant, cherchant le secret caché dans ses yeux, peut-être. Est-ce un pourvoir divin?
Soudain, je vis un éclat sur le sol. Une pièce, une minuscule pièce! Je sautais de rage dessus, au cas où quelqu'un sauterais de même. Je l'ai attrapée et, heureux, suis retourné m'asseoir à la table du petit prêtre.

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Message de Sar, dragon.

Longtemps, cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas visité un endroit peuplé par les humains, et vu ses derniers souvenirs rempli d'imbéciles voulant sa mort et autre, Sar avait dût humblement prendre la fuite, pas la peine de rajouté de l'huile sur le feu, mais le souvenir persistait et il hésitait encore, de peur d'être contraint de tuer des humains cette fois là.

Faisant attention à rester assez haut pour pouvoir être confondu avec un rapace, il observa longuement les humains s'affairant autour de leurs misérables maisons hautement inflammables, il laissa passer environ trente minutes voire une heure, il ne voyait guère le temps passer de toute façons ...

Soudain, il infléchit légèrement sa trajectoire pour descendre doucement en planant, ne battant plus des ailes, sa descente dura environ dix minutes, sa trajectoire étant loin d'être abrupte, il atterrît près d'un champ et s'allongea à l'ombre, l'envie d'une sieste étant plus forte que sa curiosité, il plongea dans un sommeil assez rapidement, aussi il n'entendît pas le concert de cris allant crescendo des fermiers et autres péons qui se relayèrent le message "Un dragon était proche !"

Le dragon se réveilla dix minutes plus tard, entouré de fermiers et de miliciens qui se contentaient de le menacer qui d'une fourche, qui d'un arc, qui d'une lance, Sar se releva tranquillement et leur lança une raillerie mentale ou son ton ironique était clairement serein.

- Tiens, moi qui croyais que les humains étaient réputés pour leur hospitalité, je m'en vois déçu.

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Message écrit par le nain Grimnir Ruvalk

Le prêtre ne me répondit pas : il regardait le vide, ou l'infini. Il ne se préoccupait plus de moi. Tant mieux. Je suis sorti de la taverne, puis vis un attroupement de personnes autour d'une grosse masse noir grise. Les cris de stupéfactions et de pleurs se mêlaient. Certains villageois tenaient farouchement leur fourches, pelles, et autres outils paysans. J'essayais de m'approcher. Je poussais les gens pour voir cette chose aux premier rang. Mais rien n'y fit. Les personnes me poussaient, j'étais trimbalé par la foule.

"-Mais laissez-moi passez, Nom de Dieu! C'est pas possible!!!" M'écriais-je.

Les humains se poussèrent, me laissant un petit chemin qui me suffisait largement pour passer. Et là, quelle surprise! Un dragon était inconscient. Il était assez imposant, c'est sur, comparé à moi, et dégageait autour de lui une aura de puissance. Un dragon sur ces terres. Voila de quoi payer mon repas, dis!
Je me mis face à lui, ayant maintenant être libre de pouvoir me mouvoir comme je voulais, les humains ne voulant pas trop s'aventurer trop près. Le Dragon ouvrit les yeux et se leva. Il regarda l'assemblée, les humains le pointèrent avec leurs flèches, leurs fourches ou encore leurs carreaux d'arbalètes.
Il nous observa puis un son puissant se fit entendre dans ma tête. Une raillerie. Sa voix mentale était tellement puissante que certains humains s'écroulèrent à terre, d'autres lâchaient leurs armes pour pouvoir se boucher leurs oreilles.

"-Nom de Dieu! Eh Toi!, dis-je en le désignant de mon arme, parle moins fort, veux-tu!"

Il me regarda d'un air jovial, comme s'il se moquait de moi. Je n'en pouvais plus. Je soulevais mon marteau et m'approcha de lui, lentement, pour lui asséner un coup, qui, j'espère, lui fera ressentir au moins une petite douleur.

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